DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

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UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

lundi 16 mars 2009

106. DARWIN

Vu à la tv

Documentaire intéressant sur Darwin et l’école de pensée qui porte son nom. Qui est le dogme officiel des scientifiques « sérieux ». Il y a bien des adeptes de la religion qui essaient maladroitement d’y mettre aussi leur nez avec le « créationnisme ». Puisqu’on est en bonne compagnie. Qui s’assemble se resemble? Heu!

Dans le genre : si Dieu n’a pas créé le monde, c’est le cahos qui l’a créé ce qui explique l’homosexualité. On voit qui parle. Non que la théorie n’ait pas l’air d’un gros fromage Suisse, pleine de trous et bien tentante pour les souris. Mais c’est le doge officiel, il y a toujours un avant que quelqu’un ne fasse tomber les colonnes du temple. Et s’il n’y a pas ce surhomme, un lot de termine la rongera de l’intérieur avec le temps.

Darwin a vu dans ses voyages et a pris 30 ans pour le comprendre que les animaux (et les humains?) s’adaptaient à leur environnement. Quitte à modifier leurs corps. La même espèce d’oiseau, puisque les changements sont moins le fait d’un individu que d’une espèce qui fixe définitivement ou provisoirement les changements favorables survenus à quelques animais déficients. Le bec d’un oiseau changera s’il va dans une île voisine qui lui offre une alimentation différente.

D’où l’idée de la survivance du plus aptes. On pourrait dire du plus chanceux. Ou le déviant qui avait l’infirmité la plus adéquate. On ne s’en vantera donc pas. On a dit « du plus fort ». On le dit encore.

Les petits malins, les intellectuels organiques, toujours à la recherche de justification pour faire plaisir à leurs maîtres et recevoir, en échange - tu me grattes où ça pique et je te flatte - des subventions et des perchoirs douillets , ont tout de suite vu les avantages pour perfectionner les mots de leur dogme officiel, celui qui fait marcher la société. Ils ont transformé en survivance du plus fort. Ce qui a bien plaisir aux sociopathes maniques et psychopathes qui dirigent la société et ses institutions.

Les plus forts étant eux-mêmes bien sûr ce qui leur permettait d’utiliser tous les moyens nécessaires pour survivre, grossir et se protéger des nombreux. Comme s’il se gênait avant. D'où le beau concept si utile de sélection naturelle. Qui a fait si bien pour les oiseaux. Et qui fera encore mieux pour les millionnaires. Puisque ne survit que le plus apte. Et ne prospère que l'encore plus apte. Et de plus apte en plus apte, d'adapté en mieux adapté on a eu les dinosaure et les Tyrannosaures, les plus et les mieux de tous. Il est normal que les lapins louanges les Tyrannosaures.

Mais parvenu à un certain niveau de civilisation, il faut plus qu’un coup de poing sur la gueule pour avoir raison. Quoique ce soit bien suffisant la plupart du temps. Mais si on peut éviter et employer des mots à la place, pourquoi pas. Le coups de poing sur la gueule pourra toujours resservir au besoin.

Le but est aussi de faire comprend aux nombreux qui sont très nombreux que le système social est bien comme ça. Que ceux qui sont en haut le méritent. Comme ceux qui sont en bas ne méritent que ce qu’ils ont. Tant mieux s’ils le gardent.

Le Darwinisme devenu religion officielle a remplacé la vieille religion qui avait fait son temps et s’était un peu émoussé. Elle avait très bien servi ses maîtres successifs, démon y compris, sa survivance étant devenu sa première priorité. Mais son système coûtait cher. Et il y avait peut-être mieux et plus simple.

Parmi les déviances utiles, il y a eu le Libre Marché (qui devait décider de tout), le néolibéralisme, le néoconservatisme. Les 3 mots étant la même chose mais venant de becs différents.

Le Libre Marché de la Chambre de Commerce. Le néo-libéralisme d’anciens professeurs universitaires gauchistes. Le néo-conservatismes d’anciens professeurs universitaires droitistes. Tout ce petit monde pas très nombreux s’entendant pour expliquer le comportement des riches et des puissants en tapant des 2 mains comme font les partisans des Canadiens devant une belle bagarre. Et quand le type est par terre et que l’autre varge dessus. Avant que le maudit arbitre intervienne et les prive de leur plaisir.

Mais avec des mots puisque les affairistes font des affaires et ne parlent pas. Le résultat de tout ceci, on le voit maintenant. Le fusible a sauté. Et certains ont encore le culot de dire que ce n’est que provisoire et que l’explication du problème est encore l’intervention du gouvernement et le trop de lois.

La Nature laissée à elle-même ne laisse rien en état. Tout va à son terme qui est la destruction, la réduction en particules infinitésimales et la dispersion de l’énergie. Entropie, force centrifuge. Rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme tout le temps. En passant par une phase de destruction-digestion. La Nature n’en a rien à foutre que les riches s’enrichissent sans cesse et s’imaginent vivre toujours de plus en plus riche.

Une sauce à spaghetti libre dans un chaudron ouvert sur un rond de poèle allumé vous fera le plus beau dégât.

La Nature ne comprend rien à la liberté. La queue ne dirige pas les chien ni les puces qui l’habitent. Aussi orgueilleuses soient-elles.

Ce qui résume tout ça : Un renard libre dans un poulailler libre avec des poules libres. De la viande sur pattes et de grandes dents appréciant la viande sur pattes avec de petites pattes.

Et ceci devait durer éternellement. Le renard de plus en plus gras. Les poules de plus en plus confiantes en leur avenir puisqu’on ne cesse de leur dire qu’elles sont libres. Et même quand elles se faisaient bouffer, elles trouvaient encore le souffle de soupirer la chance qu’elles avaient la chance de vivre dans le plus beau pays du monde. Chanceuses va!

La religion ou la science qui deviennent les livres de recettes d’une société amènent toujours à ce que les pessimistes appelleront des catastrophes et à ce que les esprits curieux qui s’amusent souvent d’un rien désigneront simplement comme des nouveautés intéressantes.
On revient au savant. Et au documentaire tv.

Si Darwin a pris son exemple sur quelques oiseaux dans quelques îles. Il a pu dire que ces espèces avaient sans doute un ancêtre commun qui a muté selon l’environnement. Comme le temps est bien long, des millions d’années ont pu suffire. Comme il était un peu humble, il pensait à un oiseau-père ou mère. Il n’aurait jamais osé aller aussi loin que ceux qui se prétendent ses disciples.

Et de nos jours, on a retrouvé des squelettes qui montrent la ressemblance et les transformations ou le bricolage subi par l’homme moderne. Dans toutes les étapes qui le relient à son lointain ancêtre le singe. Celui-ci étant à son tour lié par d’autres transformations à un ancêtre encore plus primitif, une variété de mulot. On saute d’une série de raisonnement à une autre.

On aligne les différentes versions comme on alignerait les autos depuis les premiers essais à vapeur du XVIIIe jusqu’à la Porshe. Si on nous disait que les autos se sont faîtes toutes seules, se sont perfectionnées, on le croirait mais on sait que ce n’est pas vrai.

Si on trouve les liens d’un singe à un autre jusqu’au singe modernes : nous. On ne trouve pas vraiment ceux qui relient notre lointain ancêtre à son encore plus lointain ancêtre : le mulot. Vivant au temps des dinosaures. Mais comme c’est sans doute ce qui s’est passé, dit-on, on trouverait certainement cette autre série d’ancêtre si on cherchait mieux.

Un peu comme les mathématiciens ont calculé qu’il devrait y avoir une planète nouvelle entre les planètes visibles. Sinon les calculs étaient faux et il était plus simple de prédire un nouvel astre que de tout recalculer. Les moyens de l’époque ne permettaient tout simplement pas de le voir. Les moyens actuels ont permis de la voir. Mais rien ne dit que ce soit aussi simple pour les mulots.

On a pu en observant les squelettes voir comment la Nature est parcimonieuse. Une main était une aile d’oiseau ou de chauve-souris ou la nageoire d’un dauphin. Comme si on se servait sans cesse des mêmes éléments une fois qu’on les avait trouvés efficace. On fait du neuf avec du vieux. Et le vieux disparaît dans du neuf.

Le cerveau humain est un empilage de différents cerveaux d’espèces l’ayant précédé.
Et le fœtus dans sa transformation passe d’œuf de poisson, à tétard, etc. Si on n’est pas déjà humble, on le devient. À moins d’être irrécupérable.

On se rend aussi compte de la force de ce qu’on appelle Nature, faute d’autre nom plus adéquat. Il y a trop de sens poétiques attachés à ce nom qui faussent le jugement.

Autrefois, pendant très longtemps, on l’appelé Dieu. Jusqu’à ce que le mot ait encore trop de sens poétiques paratistes.

Chaque espèce ayant un ancêtre commun. L’Oiseau primitif ayant produit tous les oiseaux. Les oiseaux ayant produit les dinosaures. Les dinosaures étant retournés à l’eau ayant donné naissance aux phoques, dauphins, baleine.

Tous les animaux venant de la mer.

Un animal marchant à quatre pattes sur terre puis de temps en temps sur 2 et finalement, définitivement. Et voilà l’homme.

Et on retombe dans la poésie. Non que la vraie poésie comme la musique ou la peinture ait à y voir. On parle de la « poésie » savante. Comme Céline Dion qui danse.

Le singe qui marchait alternativement à 4 puis à 2 pattes aurait, notez, acquis la position verticale en quittant la forêt protectrice pour la savane. On ne sait pas vraiment pourquoi il aurait eu cette idée de fou car les singes actuels préfèrent encore les arbres sécuritaires qui les protègent de leurs ennemis. Il leur suffit de sauter de branches en branches au besoin. Puis de dormir tout en haut. De tendre la main pour attraper une banane.

Et leur cousin « humain » aurait décidé de quitter ce paradis pour les champs de foin. On ne sait quelle folie lui a pris.

Mais du point de vue évolutif, comme expliqué par les savants, ce fut une très bonne chose. Malheureuse pour lui pendant des millions d’années mais chance pour nous qui avons hérité sans se forcer de ses talents. Écoutez le raisonnement comme il est beau. Il vaut la peine de prendre votre plus belle plume d’oie de votre plus belle volaille et de l’écrire sur vélin à l’encre violette.

Notre ancêtre, dans son nouvel environnement, ne pouvait éviter les tigres et autres carnivores qui trouvaient tout à fait appétissant ce nouveau gibier au goût exquis. Sans poil. Les plus petits félins n’avaient plus à grimper aux arbres et le plus gros à attendre qu’un singe leur tombe entre les dents. Et quelle défense avaient ces nouveaux arrivants de petits ongles et de petites dents. Il fallait donc que nos ancêtres quittent définitivement la marche à 4 pattes pour la marche à 2 pattes. Ce qui a permis au cerveau de se développer ce dont nous profitons encore. Sans doute pas assez selon certain. Comme il fallait sans cesse étirer le cou pour voir au-dessus du foin, nous avons grandi. Notre œil s’est amélioré ce qui a perfectionné le cerveau.

Et le fait de s'étirer le cou les aurait oblié à rester debout. Le fait d'être debout aurait développé leur cerveau. Il fallait voir loin - les lions encore et ils étaient encore plus gros que les plus gros que l'on connaît. Mais pas des dinosaures!- et leur vision aurait encore amélioré leur cerveau.

Les singes utilisaient déjà des outils. Il en a fallu de meilleurs pour tuer le gibier qu’on avait appris à apprécier. Car contre toute attente, nos ancêtres qui étaient comme des guimauve sur étalage à portée de mains des enfants sont devenus plus redoutables que les singes qui ne sont pas si sympathiques que l’on veut bien le croire.

Les pierres servaient d’outils. Les os. Les branches. Il fallait creuser pour trouver des racines. Si on tapait sur une pierre plus fine, elle pouvait couper et voilà une arme. Si le gros animal ne vous mangeait pas, vous le mangiez et vos femmes pouvaient prendre sa peau et faire des vêtements. Ou quelque chose du genre.

Probablement qu’un éclair a tombé dans le foin provoquant un incendie et qu’un de nos ancêtres était au milieu. Comme ses voisins n’étaient pas très regardant sur l’alimentation, on a dû trouver que malgré l’apparence dégeux, il sentait meilleur que d’habitude. Comme les singes sont parfois cannibales, on l’était sans doute encore plus n’ayant pas toujours une banane sous la main. Ayant goûté son cousin et l’ayant trouvé bon, on se dit que cette chose brillante qui n’avait pas de nom valait la peine d’être préservée. On a sans doute ramassé des branchages et fait une torche qu’on a amené à l’abris dans la grotte humide où on avait dû se résigner à habiter.

Si la savane est très bonne pour l’évolution de l’espèce, elle est très mauvaise pour la survie des individus. On a beau se tenir sur 2 pattes et être de plus en plus grand, on ne voit pas toujours le lion qui rôde. Et si le jour, on peut surveiller, la nuit, il y a d’autres prédateurs qui rôdent aussi. Et il faut dormir. Au bout d’un moment, quand à chaque matin, il manque quelqu’un du clan, on commence à comprendre qu’il faut modifier sa façon de faire.

On a donc quitté la forêt pour la plaine et comme on avait la chienne, il a fallu trouver une grotte.
Le singe était déjà omnivore. La plupart du temps végétarien mais ne dédaignant pas un cadavre ou l’un des siens si la chance venait. On est resté omnivore parce qu’il fallait survivre et bouffer n’importe quoi. Mais on aimait bien la viande surtout attendrie par le feu et bien juteuse. Et qui se digérait mieux que crue quoique le steak tartare c’est bien aussi.

Pendant ce temps notre cerveau se développait et notre belle agressivité. Ceci est le scénario écrit par les savants. Quant à la petite marmotte qui a précédé le singe, on sait pas. L’idée est là mais il faut la développer.

Encore mieux. Même si le calendrier n’était pas aussi méticuleux que les nôtres, en calculant gros, pas lot de millions d’années, cette fameuse marmotte qui prendrait bien tout ce temps pour devenir un singe ne pouvait que vivre dans un terrier, c’était une toute petite marmotte, ou un rat, au temps des dinosaures. C’est le calendrier que le veut.

Elle n’aurait jamais survécu si un cataclysme planétaire n’avait décimé les dinosaures. Mais pas les marmottes. Ou les rats. C’est le raisonnement qui veut ça. Sinon, une autre espèce aurait évolué à partir des grosses bêtes et auraient pris la place des singes. On aurait donc comme PDG d’entreprises ou d’État des sortes de lézards carnivores. Certains diront qu’il n’y a pas grand changement. Sauf l’apparence.

La sélection naturelle a créé les bactéries puis les amibes et les poissons puis les dinosaures et les humais puis les politiciens, les chefs d'entreprises et, finalement, les chefs d'entreprises, sommet de l'évolution.

Les idées sont de bonnes choses. Comme on est bien parti, on cherche même l’ancêtre commun à toutes les espèces. Selon l’idée de pourquoi pas? Ce serait une si bonne chose. Et tellement logique. Alors ce doit être comme ça que ça s’est passé.

Puisqu’on n’a pas de preuves, il suffit de les imaginer. On a bien les os qui amènent à des raisonnements possibles. Mais sans os, il faut sauter dans tous les possibles. Les idées comme des blocs de Lego.

Car dans le jeu de blocs, on peut faire ce qu’on veut. On va poursuivre les recherches. Et on trouvera ce qu’on a deviné.

Et on devine quoi? On pense que l’ADN, encore une fois par la faignantise de la Nature qui, il faut le comprendre était une mère bien occupée, on dit que l’ADN qui permet de différencier chaque espèce avec le plut petit échantillon de débris, cet ADN même différents selon les espèces remonteraient tous à un seul ADN primitif. Ce qui est tout à fait logique selon le système Darwinien. Darwin est mort et il ne peut pas protester.

C’est là que ça coince. Les biologistes même archéologue ont des collègues. On nous dit que lors de la fabrication de la terre, rien ne vivait. Différents produits chimiques, des éclairs, des gaz, une pression incroyable on est un peu dans le film du docteur Frankeinstein lorsqu’il redonne la vie à sa créature. Avec les rires déments du savant fou déterreur de cadavres en moins.

Eux-aussi ont de l’imagination. On ne sait pas comment mais on a également une bonne explication. En est résulté une « soupe biologique ». Un moment, il n’y avait rien. Tout à coup, il y avait des « choses » dans l’eau qui n’étaient plus du sable et qui flottaient puis bougeaient. Avant, il a fallu que l’eau soit. Et l’air. Parce que pendant longtemps il n’y avait que de l’acide sous forme de gaz ou de liquide sur de la lave fondue.

Petit problème. Rien qu’un peu de raisonnement ne puisse venir à bout. Il y avait un début, il y en a sans doute eu un puisqu’on ne peut plus croire que le Monde ait été fait dans 3 jours par un vieillard barbu colérique. Et, vu d’ici, le début devait être comme ça. Puisqu’on vous le dit.
Oh! J’oubliais. Il y a d’autres savants qui aiment les débuts. Non qu’ils collaborent ensemble mais ils s’impressionnent mutuellement. Un peu comme une fille dans un club de danseuse. Elle est nue, il y a un poteau de fer et elle… Mais ici, tout est au niveau des idées. Pour un intellectuel, c’est presque aussi excitant. Presque…

On a remarqué avec les instruments modernes que la lumière venant de l’espace changeait de couleurs, ce que des calculs compliqués fait par d’autres savants, expliquaient par un mouvement. Les astres se déplaçaient. On voit actuellement ceux qui sont proches. Et ceux qu’on croit voir ne sont pas vraiment là. C’est leur image dans le passé. Puisqu’on vous le dit.

C’est comme un effet de perspective à un point. Le grand paysage est actuel mais plus vous regardez loin, plus ça fait triangle. Certains ont dit : c’est comme si tout venait d’un seul point.

D’autres ont dit : Si ça se déplace, c’est qu’il y a eu comme une explosion. Si on relie tous les points de l’effet de fuite, tout viendrait d’un seul point. Et il y aurait eu comme une grande explosion qui aurait fait exploser le point – il n’y avait rien ailleurs- qui aurait précipité ses débris partout. Et il précipite encore.

Pourquoi il y aurait un point? Pourquoi il n’y avait rien autour du point? Si tout l’univers actuel était de la grosseur du point, quelle était la grosseur de ce point. S’il était minuscule, on le dit, presque invisible, comment… hein! Hein!

L’Église qui se modernise. On ne brûle pas de sorcières et d’hérétiques pendant des millénaires sans apprendre à s’adapter a dit que les savants qu’elle respecte – elle s’est excusé pour Galilée- (et non pour Giordano Bruno, un ça suffit!). L’Église parlant par le Saint Père a dit que les savants avaient toute liberté d’étudier l’univers en utilisant l’intelligence que leur avait donné le Créateur mais ils ne pouvaient pas aller au-delà du Bing Bang.

Le point. L’explosion primordiale. On a appelé ça la théorie du Bing Bang!

Il reste des tas de problèmes parce qu’on n’a aucune preuve de rien. Sauf des calculs. Ça c’est passé il y a des milliards d’années. Allez voir.

Mais c’est comme ça que ça aurait dû se passer.

Un point contenant toute l’énergie et la matière à venir explose et se répand dans le « vide ». Heu! Il n’y avait pas de vide non plus. Et pas d’univers. Et ce fameux point d’où vient-il ?

L’Église qui s’adapte toujours dit : C’est Dieu qui l’a fait. Le point était Dieu. C’est juste un peu plus compliqué que dans les anciennes versions qu’il ne faut pas prendre au pied de la lettre mais qui était une histoire imagée destiné à des gens plus simples.

Ensuite, il y a eu la formation de l’univers. Et de la terre. Imaginez des forces colossales, des énergies inconnues et inimaginables, pour les amateurs de BD, Druillet en collaboration avec Jack Kirby. Autant dans l’univers que sur le tas de poussière stellaire qui s’est aggloméré et amalgamé pour devenir une des innombrables galaxies renfermant les innombrables systèmes solaires, le soleil étant une étoile banale. Et dans tout ça la petite terre. Et le même phénomène incompréhensible reprenait à une autre échelle sur la terre : montagne, mer, océan, atmosphère. Ce serait dans tout l’univers la seule fois où cette recette fonctionna?

La sélection naturelle de la poussière qui donna des étoiles.

Et un fois que la Terre fut crée commença en encore plus minuscule le même processus de transformation qui a donné la vie. Mais la vie à ce moment, c’était vraiment rien du tout. Et c’est le seul endroit dans tout l’univers où ce serait produit?

Et finalement nous. Nous serions les seuls êtres vivants de l’univers. On croit même penser.
On revient un peu en avant. Lorsque le yogourt se fabrique.

On ne sait pas encore si ça vivait. Ça ressemble à du pollen, des amibes, des bactéries, des virus? Des êtres, on ne dira pas vivants, unicellulaires. Qui bougent et mangent. Le plancton, nourriture des baleines est compliqué par rapport à ça.

Spore, germe, protozoaire, amibe, pollen, virus, bactérie, molécule, microbe, cellule, ADN, poussière, protéine, parasite, acide aminé, catalyseur, base, acide, mucus. Nommez-les. Le plus petit faisant le plus grand en se regroupant. Le plus simple faisant le plus grand.

Renommons-les. Chromosomes, acides aminés, algues, molécule. On croit que le méthane, l'ammoniac sont à la base de la vie mais on n'a aucune idée du comment. Il n'y avait que ça à ce moment. Et de la lave en fusion. Il s'est bien passé quelque chose entre le stade poussière, acides brûlants, gaz toxiques et ADN et la cellule.

C’est tellement bien imaginé. Et il y a nous tout au bout. C’est nous qui prévoyons tout ça. Parce qu’il fallait que la Nature avec le hasard, le jeu de combinaisons incalculables de chances, d’essais et d’erreurs, fabrique le monde que nous connaissons. Et nous !

Parce que la Nature ou le hasard fait que tout fonctionne parfaitement. Et en plus crée de la vie de plus en plus, de plus en plus tout, et nous au bout.

Pourquoi?

C’est l’évolution.

Les organismes unicellulaires sont des êtres éternels qui se reproduisent en se divisant. Ils sont très heureux comme ça et leurs descendants existent encore. Ils sont parfaits dans leur genre et ne voient aucune raison de changer.

Et pourquoi l’auraient-ils fait?

Mais, selon les Darwinien de stricte observance, c’est d’eux que provient tous les êtres qui ont vécu par la suite.

Problème. Comment le code ADN d’une amibe qui a une cellule peut-il donner celui d’un dinosaure qui a des tas de cellules. Un code simple et un code ultracompliqué. Un rien d’ADN et un tas. On n’est pas subtil là.

Et le gros bobo. Comment la matière non vivante peut-elle donner la vie? Et la pensée?

Par hasard.

Le hasard essayant toutes les possibilités dans un temps infini ne pouvait que nous créer. Parce que nous le valons bien. Comme dans l’annonce.

Et l’univers où tout fonctionne sans anicroche a été créé par le hasard qui le fait fonctionner encore.

Quoique des savants se divisent entre ceux qui pensent que l’univers est en expansion continue depuis le Bing Bang. Et d’autres qu’il va s’arrêter un jour de s’étendre et revenir comme un élastique à son point de départ. Un super point dans le… heu!... vide. Et un autre Boum cosmique.

On ne sait pas non plus comment un chaudron de sorcière qui ressemble à un volcan peut donner autre chose que de la pierre fondue. Encore moins des organismes mobiles et encore moins des êtres vivants qui remuent, mangent, se reproduisent.

Quand on explique, on comprend bien. Tout semble si bien fait si logique. C’est quand on regarde les mots que ça va plus.

Mais le seul problème, il y en aura d’autres, pourquoi? Pourquoi ce changement? Continu, incompréhensible.

Comment un organisme (on ne parle pas encore d’être) (on ne sait pas si c’est vivant non plus), ça peut bouger, au moins remuer ou flotter ou rester immobile. C’est le genre de truc qu’on voit dans un microscope. Peut –il passer d’une recette de cuisine simple, digne d’un étudiant de cégep. 2 ingrédients, de la chaleur et remuer. Ce n’est pas bon mais ça se bouffe. Il y a bien mieux chez McDo mais c’est plus cher.

À une recette compliqué avec des tas d’ingrédients. D’où ça vient. Un frigo d’étudiant avec une boite de yogourt (ça doit être une fille) ne se remplit soudainement pas d’une épicerie du mois sans l’intervention extérieure. Des parents. Une mère inquiète.

On passe de rien à presque rien. D’une cellule à beaucoup. Puis c’est la division cellulaire. On ne s’intéresse pas à quoi ça ressemble. Mais la cellule avec son noyau toute heureuse de son sort devient des tas de cellules qu’on dit différenciées. Cellules du cerveau, de l’œil. Qui se rassemblent pas myriades pour former un organisme relié à d’autres organismes. Un œil à un autre puis un poumon puis un estomac. Le tout formant un organisme majestueux.

Incompréhensible. Et une telle perfection bien momentanée puisque mortelle. Alors que certains organismes primitifs sont immortels. Toujours les mêmes un peu différents suite à leurs innombrables divisions.

Barjavel dans la Faim du Tigre décortique l’oreille interne. Cette série de petits mécanismes différents dont l’assemblage parfait produit du son à partir de vibration dans l’air et le transmet. Son qui sera décodé par le cerveau entre bruit, bruit sans intérêts ou menaçants ou paroles.
Et c’est le hasard qui aurait fait tout ça. le hasard aurait eu le temps, des milliards d’années d’utiliser d’infimes modifications pour faire du changement, non seulement ça, mais en améliorant chaque fois l’être suivant.

Et si on le dit, il faut le croire.

Car penser autrement serait trop effrayant. Essayons donc!

Comme s’il y avait un programme qui transformait une chose en une autre, sans faute – il y a sans doutes des erreurs mais elles meurent et on n’en parle plus- une bactérie en un dinosaure de 100 tonnes.

On comprendrait mais pas vite qu’un programme puisse transformer du sable, des choses dans la roche en du béton, du métal, un édifice de 100 étages. Mais il y a des centaines d’ouvriers qui ont fabriqué l’immeuble. Avec des produits venants d’usines avec des milliers d’ouvriers. Des machines fabriquées par d’autres milliers d’ouvriers. Et plans, machines, calculs pour faire la machine et l’édifice élaborés au cours de siècles de perfectionnement. On comprend.

Personne de censé qui regarde un édifice de 100 étages ne dira que c’est venu là par hasard. Qu’au bout de quelque milléaires du sable et des minéraux se sont joints pour provoquer un immeuble. Ce serait à être interné.

Le hasard ne produit que du désordre. Ou rien du tout. Le hasard dans un organisme élaboré risque davantage de déconstruire l’organisme que de l’améliorer. Un avion qui tombe avec tous ses passagers ne se transforme pas en piste d’atterrissage parce que le besoin s’en fait sentir.
Si on est scientifique, on dira encore que c’est le hasard.

Si on est peureux, on dira que c’est la nature. Avec un N.

Il suffit de lui donner du temps et elle vous transforme une larme en banquise. Et les phoques dessus. Et les chasseurs de phoques en plus. Avec les cordonniers. Et Brigitte Bardot et un Beatle en prime.

Si on est scandaleux, on dira qu’il y a une volonté qui est intervenu ou intervient encore pour faire passer l’organisme d’un stade à un autre. Le complexifiant à chaque fois d’avantage. Et effaçant sans remords ses expériences passées.

Je ne dis pas Dieu, extra-terrestre ou Nature. Toute personne qui s’essaie à la cuisine comprend plus ou moins douloureusement qu’un gâteau ne se fait pas tout seul. Même la meilleure volonté du monde n’y suffira pas. À moins de pouvoir faire des miracles.

Et transformer la matière selon son bon vouloir sans que l’être complexe ne devienne de la morve.

Et on peut tout aussi bien changer ce qui vit dans la salive car il y a des êtres là-aussi comme dans les larmes en géants.

Il y avait un Bon Dieu qui en faisait des miracles, tant qu’on en voulait. Mais on ne veut plus de lui.

Pourtant le monde n’a jamais eu autant besoin de miracles?

Comme cette explication est inimaginables, du moins de nos jours, on dira que c’est le hasard avec les mathématiques.

Parce qu’autrement…

Autrement, on retombe dans le miracle nécessaire.

Ou, pire, chez Rael et ses extraterrestres créateur du Monde.

C’est à devenir fou.

Et on préfère la folie qu’on dit la plus raisonnable parce qu’on s’est habitué finalement au mot.

Et il y a Darwin qui sort de sa boite.

Les cellules se sont regroupées. Bon. Mais comment?

Comment se fait-il que les différents organismes du corps collaborent? Parce que. C’est une bonne réponse.

Et le hasard aurait créé une femme?

Mais on n’a pas de réponse. L’autre arrivera avec son Dieu. C’est lui qui a tout fait. Parce que son Dieu est bon. Hein?

Tous ce qui vit dans la nature sert de nourriture à d’autres vivants. Tout ce qui vit mourra. Sans remords. Et comme rien ne se perd rien ne se crée (on sait pas) la machine complexe se séparera en ses éléments divers. Avec entre temps un stade de dévoration où les petites bêtes mangeront les grosses et les chieront. Le sol en sera enrichi et des plantes pousseront mieux.

Et si l’Homme est au sommet de l’évolution comme on est tenté de le voir. Et ceux qui nous dirigent sont au sommet de tous les hommes.

L’Homme au-dessus de la femme et celle-ci au-dessus des animaux mais tout juste.
Et cet homme est un parfait crétin. Il n’y a vraiment pas de quoi être fier.

Si Dieu a créé l’Homme a son image et à sa ressemblance, il n’y a pas de quoi se vanter.

C’est une belle bête, soit. Mais pas plus. On peut reconnaître à Dieu un grand talent. Faire à partir de rien, puisque c’est de ça qu’il s’agit une sculpture qui bouge, pas mal. Mais le dicton vaut sans doute plus pour la créature bien fière d’avoir un tel créateur puisqu’il est aussi Dieu si Dieu a créé l’Homme a son image.

Et si on est à l’image de notre créateur, rien de surprenant à notre Histoire. Une série de monstruosités et de catastrophes parfois bien méritées.

Ou Dieu ou la Volonté ou la Nature ou le Programme ou les savants extraterrestres sont fascinés de jouer dans leur labo et de voir sans cesse de nouvelles créatures surgir comme les horticulteurs avec leur croisement et boutage. L’important est la découverte et l’observation. Comment le débile va-t-il s’en sortir. On regarde et prend des notes.

Rien n’empêche qu’il puisse se transformer et s’améliorer et se perfectionner. De façon que les humains actuels paraissent comme une variété de presque-singes. Si on regarde, rien de suprenant.

Sans doute l’organisme qui va suivre l’Homme sera plus … plus quoi? Et on enterrera avec joie les ébauches précédentes.

Bien des questions puisque les réponses ne fonctionnent pas. Il faut essayer des idées nouvelles.

Est-on plus heureux?

Ou dire que le Monde est incompréhensible.

Et regarder comme on écoute un enfant les explications touchantes qu’il a imaginé pour expliquer.

Dire comme les anciens sceptiques que l’esprit de l’Homme est bien trop limité pour comprendre la plupart des choses et qu’il faut se retenir de juger. Et même de penser.

Tout serait une série d’illusions, un jeu d’apparences qu’on peut choisir d’observer ou non.