vendredi 7 août 2009
838. MAÎTRES DU MONDE
Principe de Peter.
Toute entreprise ou organisation hierarchisée à tendance à poussser chaque individus devenu son employé vers son seuil d'incompétence.
Niveau 1.
Dans une entreprise, organisation, gouvernement mâture, chaque poste de direction sera occupé par un incompétent. Seuls les cadres intermédiaires encore dans leur escalade de l'échelle sociale et non encore parvenu à leur propre niveau de stagnation font marcher ou remuer le système.
Niveau 2.
Dans une entreprise, organisation, gouvernement, civilisation décadente tout poste de direction est occupé par un incompétent.
En lisant les livres d'Histoire, on se dit que ça va mal finir. Et lorsqu'on arrive à la fin du livre, en effet, ça a généralement mal fini.
Du moins, c'était le cas dans les passé. En regardant la tv qui montre l'Histoire en train de se faire - tout en n'ayant aucune idée de ce qui se passe et en disant la plupart du temps n'importe quoi (0n parle des petites gens dans la boite qui parlent) - on se dit que ça va mal finir.
Mais personne ne semble au courant et tout le monde semble content ce qui est l'attitude idéale pour un mourant ce que vous affirmeront toutes les personnes (compétentes) qui travaillent aux soins intensifs ou «palliatifs» (mot du vocabulaire de Peter signifiant «mourant») car le vocabulaire semble redonner du moral au «patient». Du moins, provisoirement.
Toute entreprise ou organisation hierarchisée à tendance à poussser chaque individus devenu son employé vers son seuil d'incompétence.
Niveau 1.
Dans une entreprise, organisation, gouvernement mâture, chaque poste de direction sera occupé par un incompétent. Seuls les cadres intermédiaires encore dans leur escalade de l'échelle sociale et non encore parvenu à leur propre niveau de stagnation font marcher ou remuer le système.
Niveau 2.
Dans une entreprise, organisation, gouvernement, civilisation décadente tout poste de direction est occupé par un incompétent.
En lisant les livres d'Histoire, on se dit que ça va mal finir. Et lorsqu'on arrive à la fin du livre, en effet, ça a généralement mal fini.
Du moins, c'était le cas dans les passé. En regardant la tv qui montre l'Histoire en train de se faire - tout en n'ayant aucune idée de ce qui se passe et en disant la plupart du temps n'importe quoi (0n parle des petites gens dans la boite qui parlent) - on se dit que ça va mal finir.
Mais personne ne semble au courant et tout le monde semble content ce qui est l'attitude idéale pour un mourant ce que vous affirmeront toutes les personnes (compétentes) qui travaillent aux soins intensifs ou «palliatifs» (mot du vocabulaire de Peter signifiant «mourant») car le vocabulaire semble redonner du moral au «patient». Du moins, provisoirement.