samedi 14 novembre 2009
1292. LE VOCABULAIRE TOURISTIQUE
Une armée envahit un pays indépendant. Renverse le gouvernement. En mêt un autre à la place. Et tuent toute personne qui n'est pas d'accord et trouve que cette idée est impolie.
Il y a d'un côté une armée moderne avec des employés bien équipés et payés et de l'autre des bénévoles.
L'avantage étant tout entier d'un côté, l'autre côté qui n'est pas aussi bête qu'on l'espérait utilise de vieilles méthodes qu'on trouvait chez les tribus indiennes puis au Vietnam: la guérilla.
Il attend qu'un soldat passe et tire dans le dos. Ou il a placé un explosif sous terre et attend que l'autre marche dessus. Il attend qu'un groupe de soldats passent pour tirer sur le dernier de la file. Il enterre un gros explosif et attend qu'un convoi de véhicules passent et en fait exploser un au hasard avec toutes les unitées de vies qu'il contenait.
On dira que ce genre de précédé est hypocrite et impoli et qu'il vaut mieux combattre dans les règles de l'art comme avait fait l'armée Irakienne, en rang dans le désert jusqu'à ce que les avions les bombardent et leur tire dessus. La défaite de l'armée Irakienne fut tout à fait normale.
Pour combattre les tactiques de guérilla (on dit aujourd'hui «insurrectionnelle») on utilise parfois en Amérique du Sud les commandos de la mort. Ils envahissent les villages soupçonnés abriter des «terroristes». (Tout est une question de vocabulaire.)
Ils tuent leurs familles et en enlèvent certains membres qui seront torturés comme ceux qui ont dénonçés les gens de ce village ce qui amènera le commando dans le village voisin.
Il faut répandre la terreur.
On peut tuer un % de villageois pour leur faire comprendre où est leur intérêt.
Car le membre bénévole de la guérilla ne combat que dans ses temps libres. Le reste du temps, il peut mener une existence banale et non héroïque. Laboureur, enseignant, ect. Il est impossible de le distinguer de la population indigène. Et lorsqu'il fait du bénévolat, il le fait de nuit, humblement, sans qu'on le remarque.
Ce n'est qu'à la suite d'une attaque, lorsqu'on ramasse les morts et les blessés qu'on peut avoir enfin une idée de qui est qui. On identifie les morts et les commandos de la mort iront massacrer incognité sa famille et détruire sa maison. Comme il est coutume en Israël.
Quant aux blessés, on les torturera pour qu'ils avouent. Qui est leur chef, où est leur base. Qui les ravitaille. Qui les cache.
Ils diront la vérité parce qu'ils sont sincères ou n'importe quoi parce que ce sont des lâches qui ont peur de souffrir.
Dans tous les cas, on ira arrêter les gens dénoncés et leurs familles. On peut torturer les femmes et les enfants de ceux qui résistent mieux à la douleur.
Ainsi se passe une guerre anti-insurrectionnelle.
Vous êtes content?
Il y a d'un côté une armée moderne avec des employés bien équipés et payés et de l'autre des bénévoles.
L'avantage étant tout entier d'un côté, l'autre côté qui n'est pas aussi bête qu'on l'espérait utilise de vieilles méthodes qu'on trouvait chez les tribus indiennes puis au Vietnam: la guérilla.
Il attend qu'un soldat passe et tire dans le dos. Ou il a placé un explosif sous terre et attend que l'autre marche dessus. Il attend qu'un groupe de soldats passent pour tirer sur le dernier de la file. Il enterre un gros explosif et attend qu'un convoi de véhicules passent et en fait exploser un au hasard avec toutes les unitées de vies qu'il contenait.
On dira que ce genre de précédé est hypocrite et impoli et qu'il vaut mieux combattre dans les règles de l'art comme avait fait l'armée Irakienne, en rang dans le désert jusqu'à ce que les avions les bombardent et leur tire dessus. La défaite de l'armée Irakienne fut tout à fait normale.
Pour combattre les tactiques de guérilla (on dit aujourd'hui «insurrectionnelle») on utilise parfois en Amérique du Sud les commandos de la mort. Ils envahissent les villages soupçonnés abriter des «terroristes». (Tout est une question de vocabulaire.)
Ils tuent leurs familles et en enlèvent certains membres qui seront torturés comme ceux qui ont dénonçés les gens de ce village ce qui amènera le commando dans le village voisin.
Il faut répandre la terreur.
On peut tuer un % de villageois pour leur faire comprendre où est leur intérêt.
Car le membre bénévole de la guérilla ne combat que dans ses temps libres. Le reste du temps, il peut mener une existence banale et non héroïque. Laboureur, enseignant, ect. Il est impossible de le distinguer de la population indigène. Et lorsqu'il fait du bénévolat, il le fait de nuit, humblement, sans qu'on le remarque.
Ce n'est qu'à la suite d'une attaque, lorsqu'on ramasse les morts et les blessés qu'on peut avoir enfin une idée de qui est qui. On identifie les morts et les commandos de la mort iront massacrer incognité sa famille et détruire sa maison. Comme il est coutume en Israël.
Quant aux blessés, on les torturera pour qu'ils avouent. Qui est leur chef, où est leur base. Qui les ravitaille. Qui les cache.
Ils diront la vérité parce qu'ils sont sincères ou n'importe quoi parce que ce sont des lâches qui ont peur de souffrir.
Dans tous les cas, on ira arrêter les gens dénoncés et leurs familles. On peut torturer les femmes et les enfants de ceux qui résistent mieux à la douleur.
Ainsi se passe une guerre anti-insurrectionnelle.
Vous êtes content?