vendredi 20 novembre 2009
1448. COMMENTAIRE DU PROFESSEUR BULLE AU SUJET DU NO. 1445
Toute question méritant d'être posée, il va de soi qu'elle mérite une réponse. Réponse qui peut entraîner une autre série de questions.
On remarquera des particularités intéressantes aux attentats célèbres qui ont marqué le début de notre nouveau siècle et l'ont amené bien loin de l'époque de paix et de prospérité que prévoyaient les visionnaires de l'an 2000.
Comme la majorité des gens qui avaient une tv, le professeur Bulle a suivi sur toute la planète le début de la première journée du nouveau millénaire. (Qui n'était d'ailleurs pas à la bonne date.) Le soleil se levant de pays en pays et de continent en continent.
Les commentateurs d'alors prévoyaient tant de belles choses.
Le début d'une nouvelle ère.
Et la fin d'un siècle qui avait mauvaise réputation.
Et la fin d'un millénaire qui laissait un vilain goût sur la bouche.
Le professeur Bulle qui est un philosophe ricaneur était partagé entre cette jovialité universelle et un sombre pressentiment. Comme d'habitude, il avait raison.
Revenons aux attentats.
On remarquera que les célèbres attentats du 11 septembre à New York, ceux de Londres, de Madrid et le quasi de Toronto ne visaient que des civils. Les mêmes questions que dans le commentaire précédent se posent.
On parlera de l'attentat du Pantagone comme exemple de la fausseté de cette philosophie. Il est même difficile de dire qu'il s'agit de l'exception habituelle à toute règle.
Et pourtant.
Comme centre de pouvoir, c'était en fait la cible idéale. On fera d'abord remarquer qu'il est bizarre qu'un plan si bien préparé (le secret puis l'excellente de son exécution) n'a pas amené les 4 avions sur cette cible.
Et que le seul avion qui y soit finalement parvenu a pris des précautions extrêmes pour faire le moins de dommages possibles.
Il y a d'autres questions à poser mais on va s'essoufler un peu.
On remarquera des particularités intéressantes aux attentats célèbres qui ont marqué le début de notre nouveau siècle et l'ont amené bien loin de l'époque de paix et de prospérité que prévoyaient les visionnaires de l'an 2000.
Comme la majorité des gens qui avaient une tv, le professeur Bulle a suivi sur toute la planète le début de la première journée du nouveau millénaire. (Qui n'était d'ailleurs pas à la bonne date.) Le soleil se levant de pays en pays et de continent en continent.
Les commentateurs d'alors prévoyaient tant de belles choses.
Le début d'une nouvelle ère.
Et la fin d'un siècle qui avait mauvaise réputation.
Et la fin d'un millénaire qui laissait un vilain goût sur la bouche.
Le professeur Bulle qui est un philosophe ricaneur était partagé entre cette jovialité universelle et un sombre pressentiment. Comme d'habitude, il avait raison.
Revenons aux attentats.
On remarquera que les célèbres attentats du 11 septembre à New York, ceux de Londres, de Madrid et le quasi de Toronto ne visaient que des civils. Les mêmes questions que dans le commentaire précédent se posent.
On parlera de l'attentat du Pantagone comme exemple de la fausseté de cette philosophie. Il est même difficile de dire qu'il s'agit de l'exception habituelle à toute règle.
Et pourtant.
Comme centre de pouvoir, c'était en fait la cible idéale. On fera d'abord remarquer qu'il est bizarre qu'un plan si bien préparé (le secret puis l'excellente de son exécution) n'a pas amené les 4 avions sur cette cible.
Et que le seul avion qui y soit finalement parvenu a pris des précautions extrêmes pour faire le moins de dommages possibles.
Il y a d'autres questions à poser mais on va s'essoufler un peu.