DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

jeudi 12 mai 2011

5336. UN MAÎTRE DU MONDE EN CHÔMAGE PROPOSE DE NOUS GUIDER VERS LE BONHEUR CE QUI FERA ÉGALEMENT LE SIEN, COMME PAR HASARD !

L'ADQ S'EN VA-T-EN GUERRE CONTRE LE SYNDICALISME QUÉBÉCOIS

Martin Ouellet

06 mai 2011
La Presse Canadienne
Québec
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201105/06/01-4397030-ladq-sen-va-t-en-guerre-contre-le-syndicalisme-quebecois.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4384561_article_POS2

L'Action démocratique du Québec (ADQ) se campe encore plus à droite et prépare une attaque sans précédent contre les grandes centrales syndicales.

Le chef de l'ADQ, Gérard Deltell, a présenté vendredi les propositions qui seront débattues les 14 et 15 mai à Trois-Rivières à l'occasion du 21e Conseil général du parti.

Les mesures suggérées -privatisation, concurrence et mise au pas des syndicats-

vont assurément heurter les défenseurs du «modèle québécois».

Qui plus est, elles sont aux antipodes des valeurs de gauche défendues par la cohorte de députés du NPD élus au Québec il y a moins d'une semaine.

Le chef Gérard Deltell n'y voit nullement un fossé entre l'ADQ et la population québécoise.

«La réalité, c'est qu'il y a des députés du NPD partout et des députés conservateurs ici également. Cela dit, nous estimons qu'il n'y a pas eu de vote de droite ou de gauche parce qu'il n'y a pas eu de débat entre la droite et la gauche pendant la campagne»,

a dit M. Deltell, en conférence de presse à Québec.

Pour mettre un terme à ce qu'ils appellent «la dérive syndicale», l

es adéquistes veulent restreindre le champ d'intervention des syndicats à la stricte négociation des conventions collectives et à la défense des salariés.

[Il serait plus simple de les abolir!]

[Rétablissons l'esclavage.]

Les FTQ, CSN, CSQ et autres organisations syndicales doivent cesser d'utiliser l'argent des cotisations des travailleurs pour faire de l'action politique, a soutenu le chef de l'ADQ.

[Et d'ex-journaliste comme monsieur Deltell (qui semblait faire un bon travail à TQS, du temps où il y avait encore de l'info à la place de l'humour subtil du gros cave (marque déposée!) (Monsieur André Arthur a protesté vivement quand on a voulu l'associer à cette marque de commerce édifiante. Mais qui le décrit pourtant si bien. D'où lamentation. Plaintes et procès. Ainsi l'animateur de Tout le Monde en Parle a été convoqué devant le juge. Monsieur Arthur qui a passé toute sa vie et sa carrière professionnelle à pisser et chier sur les pauvres et s'essuyer le cul avec (se torcher), s'est senti blessé dans son intimité. Il y a tant de gens sensibles. Et si peu d'âmes délicates. Ainsi, on a pu voir monsieur le maître du monde Péladeau et fils (qui vout à la porte des centaines de journalistes et d'employés divers) poursuivre le patron de Radio-Canada qui l'avait traité de... hum! voyou! Sa chère épouse à la voix de charnière qui grince en avait perdu le sommeil. Bref! Enfin, pas bref!) (L'insulte ne venait pas du fait de foutre à la porte des inutiles qui peuvent bien crever de faim mais de refuser de payer une cotisation à la tv généraliste ou quelque chose ça.) On ne manque pas de politiciens, il en pleut! Mais on manque de journalistes. Et d'ex-journalistes devenus politiciens et donneurs de leçons, il en pleut!]

[Souvenir et anecdote d'un vieux sage. Qui comme par hasard, réunit messieurs Deltels et Arthur dans le même souvenir. Anecdote entendu à la tv. Et aussi vue. Ce qui est mieux. Monsieur Deltel rappelait l'époque où là ou ailleurs, où il y avait eu des revendications salariales. Et des projets de réunions, unions et syndicats. Pour le moment, il ne semblait nullement conter la chose. Monsieur Arthur, encore apprenti prêcheur, était allé immédiatement bavasser à la direction. Et l'apprenant, ses «collègues» ont pissé dans son café et l'ont regardé boire. Ce qui prouve que ce n'est pas nécessairement mauvais pour la santé. Monsieur Deltel trouvait la farce savoureuse. Et des années après en riant encore tout en disant quelques bons mots au sujet de monsieur Arthur qui à ce moment sévissait à la radio. On s'ennuie de lui. (Pas de monsieur Arthur.) Mais pas comme politicien. Des Frères Maristes, des Jésuites et des curés, on en a eu assez.]


[Il va de soi qu'un homme de goût ne peut que désapprouver ce geste antihygiénique comme le fait qu'une secrétaire colérique pisse sur le fauteuil de cuir de son patron.]



«Quand on voit la FTQ prendre position dans les débats politiques en campagne électorale en disant: «nous allons appuyer ce parti», je m'excuse, mais cela n'a rien à voir avec son mandat de défendre les travailleurs. Que les syndicats s'occupent de leurs choses»,

a-t-il fait valoir.

«Nous voulons retourner aux sources du mouvement syndical et redonner le pouvoir aux travailleurs à l'intérieur de leur syndicat»,

[Humour. On en a mal aux côtes. On sait que la Droite déteste les syndicats et toute forme d'association d'esclaves qui menacent la richesse des patrons. Les eslaves bossent. Et les femmes retournent à la maison faire des petits. La Droite a des idées fermes. ]

a poursuivi le chef de l'ADQ, accompagné entre autres par le président du parti, Christian Lévesque, et du président de la commission politique, Claude Garcia.

Sous une gouverne adéquiste, les campagnes syndicales à caractère politique ou idéologique ne seraient pas interdites, [On y a sans doute pensé. Mais c'ést prématuré pour le moment. Comem la devise: une femme, un lit, un bébé.] mais devraient être exclusivement financées par des contributions volontaires plutôt qu'avec les cotisations.

Aussi, dans le but de «protéger les droits des travailleurs», un gouvernement adéquiste exigerait un scrutin secret pour toute demande d'accréditation syndicale

et faciliterait la «désyndicalisation» des salariés qui le désirent.

[Tiens! Le grouin commence à dépasser!]

Quant à la «formule Rand», le mécanisme qui permet à un syndicat de prélever des cotisations auprès de tous les salariés d'une unité d'accréditation, elle serait maintenue, a assuré le vice-président de la commission, Adrien Pouliot.

[Pourtant, la formule Rand qui oblige tous les syndiqués (et tous les employés d'une entreprise à se syndiquer) à payer leurs cotisations ce qui donne du pouvoir ($) à leur syndicat est détestée par tous les gens de son point cardinal. Pour précisément cette raison. Sans $, le syndicat est faible. (Faute de pouvoir l'abolir immédiatement, il vaut mieux l'affaiblir graduellement. Et on rendra la syndicalisation des non-syndiqués plus difficile. Comme savent si bien le faire messieurs WallMart et CoucheTard.) Il ne peut payer les chômeurs qui font le piquet de grève devant leurs entreprises. On l'a fait pendant 2 ans pour ceux du Journal de Montréal. Et un an pour ceux du Journal de Québec. Propriété de monsieur Péladeau qui a le coeur si sensible.]

«On garde la formule Rand, c'est une formule qui a du bon sens parce qu'elle permet aux syndicats d'avoir les moyens de négocier la convention collective. Mais on dit que l'employé devra donner son autorisation pour que ses cotisations servent à d'autres fins (que la négociation)»,

a-t-il expliqué.

À cette contrainte s'ajouterait l'obligation pour les organisations syndicales de divulguer publiquement une fois l'an leurs états financiers.

[En apparence, bonne idée. Mais d'un autre côté, l'employeur pourra calculer le fond de grève. Information toujours utile lors du renouvellement de la convention collective. Dans le cas des entreprises qui ont eu l'imprudence de laisser entrer le loup (syndical) dans la bergerie (capitaliste). Idée laineuse et si confortable. Métaphore bienvenue qui contraste avec l'aridité calviniste du capitaliste efficace qui traite son employé comme son chien. Ou, pire. Car s'il a un chien, il aime son chien.]

L'ADQ ne se limite pas à vouloir restreindre l'influence des syndicats.

Elle souhaite réduire la taille de l'État, un thème récurrent dans ses propositions.

Un gouvernement dirigé par M. Deltell privatiserait donc graduellement un pan d'Hydro-Québec, la division TransÉnergie, pour garantir l'accès du réseau de distribution aux entreprises privées.

[Actuellement, les entreprises qui produisent de l'électricité le font à perte... Une telle situation en apparence miraculeuse s'explique par le fait que l'État les subventionne. Lors de la construction de leur mini-centrale et lors de l'achat de leur électricité. On ne sait trop pour quelle raison. Il va de soi que le fantasme de la privatisation d'Hydro fait saliver et bander tous les parasites sociaux de la province et du pays. Une fabrique d'$. Même chose pour la privatisation de l'eau déjà rêvée par certains poètes du capital.]

L'ADQ suggère également d'introduire la concurrence du secteur privé à la Société des alcools, chez Loto-Québec et dans le transport en commun.

[On a déjà parlé de la privatisation de la SAQ. Une centaine de millionnaires instantanées. Sans se forcer.]

La formule controversée des partenariats public-privé (PPP) a par ailleurs la cote auprès des adéquistes qui préconisent le recours aux PPP pour les grands projets d'infrastructure.

[On s'en doutait. Encore un moyen de subventionner les riches.]

Aux grands maux, les grands remèdes, a insisté le chef de l'ADQ.

«Si on continue comme ça, on sait qu'on s'en va dans le mur. On est la cinquième nation la plus endettée au monde, je m'excuse, mais je suis trop fier pour accepter cela et c'est pour ça qu'on propose des mesures pour redresser le Québec»,

a-t-il dit.

*

Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois donc il lui arrive d'être. Et il se réveille, regarde autour de lui et se demande d'où viennent tous ces crétins. (Marque déposée.)