samedi 14 mai 2011
5339. QUELQUES MOTS SUR GOOGLE.
QUELQUES MOTS SUR GOOGLE. ET MÊME QUELQUES PHRASES DE PLUS.
L’internet est un outil remarquable.
Et Google a mis au point un système remarquable de communication (ou a permis de mettre à la portée de simples humains à l’intelligence limitée ce que seuls de grands sages pouvaient utiliser. )
Nous remercions donc les créateurs d’Internet (peu importe les intentions inavouables des ingénieurs militaires) et ceux de Google.
Mais le progrès a ses inconvénients. Les ondes ne sont pas physiques et n’ont rien du papier (qui peut se brûler, se mouiller, pourrir, être mangé par les insectes ou les affamés). Une onde va et vient et s’évanouit.
Et parfois revient.
Ou c’est le code?
Qui est presque aussi éphémère que l’électricité. Ou que les traces des écritures anciennes illisibles.
Pour qui utilise le Blog Google, le hasard lui rappelle souvent les inconvénients du progrès. Chaque chose ayant ses désavantages comme s’il s’agissait d’une loi physique. Ou spirituelle.
Un temps, le système avait du mal à comprendre la numérotation. Pourtant, on dit que c’est la force des ordis qui sont à la base des machines à calculer élaborée. De gros bouliers modernes. Comme les interventions du professeur Bulle sont numérotées (système simple utilisé dès la création du site Douteur – sinon c’est la pagaille) (idée banale que le professeur se félicite tous les jours d’avoir suivi dès le départ. Surtout qu’au départ, il ne devait pas y avoir plus de quelques bizarreries amusantes du jour, faute d’idée plus brillantes. Ou même tout à fait ordinaire. ).
On conçoit que les chiffres les plus grands ou plus élevés sont plus grands et plus élevés que les petits). Conception qui a semblé flou pour le logiciel de maintenance.
Le programme prévoit que les interventions (pas toujours des textes) les plus récentes sont en haut de la page succédant aux interventions précédentes qui descendent graduellement. Selon ce principe, il semblerait normal que le texte no. 100 soit avant le texte 99 qui serait lui-même avant le 98. Ceci destiné aux esprits à peine subtil.
Mais la machine à calculer ne l’entendait pas ainsi. Et souvent le sujet tout chaud, au numéro le plus haut se ramassait quelque part dans la file arrière, comme un resquilleur malchanceux. Il fallait le copier et le publier de nouveau dans une autre intervention. Qui, cette fois, le placerait en haut de la file.
Peut-être?
Et, alors, c’était une intervention déjà ancienne qui prenait du pic et s’élançait vers le haut.
C’est comme s’il y avait un conflit (?) entre la marche normale des choses (ou du système) qui prévoyait que l’intervention la plus récente ou immédiate se trouve en haut de la file et le fait qu’on la numérote.
Tant bien que mal, le système essayait de mettre de l’ordre dans la numérotation comme le dyslexique de base.
Cette erreur (?) est heureusement du passé.
Malheureusement, il reste l’erreur de base qui survient inopinément pour mettre à l’épreuve les caractères faibles. Vous écrivez un texte dans la page qui convient et au moment de le publier le texte disparaît. Parfois, vous le retrouver partiellement dans un brouillon. Et souvent rien.
Ce qui vous rappelle qu’il est préférable de préparer votre texte dans le logiciel Word ou autre dactylo synthétique. En n’oubliant pas de sauvegarder. Erreur primaire qui afflige tous les amateurs. Et assez souvent pour qu’ils finissent par en faire une discipline personnelle. À défaut de toute autre.
Vous perdez le côté primesautier et presque artistique de composer à la volée selon l’inspiration du moment. Et l’amusement de la chose vous fait tenter encore une fois le Diable. Qui vous pardonne souvent. Et, longtemps, comme il se doit, le texte créé apparaît tel quel sur le Blog. Jusqu’à ce qu’il disparaisse dans le cosmos. Ce qui vous rappelle que vous avez joué avec le feu. Une fois de trop. Et que, décidément, tout est bien éphémère dans ce bas monde. Et que vous ne vous êtes pas brûlé. Vous avez simplement travaillé pour rien. Comme le novice qui ne sauvegarde rien. Et qui ferme l’ordi à la fin de sa session sans penser… Pfff! Ses textes sont disparu. Ru. Ru.
Tout récemment, pendant la campagne électorale Canadienne (ça n’a sans doute aucun rapport mais permet de situer la chose dans le temps). Ce furent les fonctions de fin de ligne et d’alinéa qui disparurent. Le texte s’écrivait comme de coutume. Sauf qu’au moment de mettre sous presse (de publier dans le Blog), tout se ramassait en un bloc de lettres presque indéchiffrables. On en revenait au début de l’écriture grecques quand les signes de ponctuations n’avait pas été encore inventés ni les fins de lignes, ni les sauts de lignes, lignes doubles, ni les paragraphes.
Ce qui donne un roman de Marie-Claire Blais (Dans la foudre et la lumière) ou du Jonathan Littell ( Les Bienveillantes). Phénomènes typographiques mais si vous n’êtes pas collectionneur de livres vous êtes un brin déçu.
L’une a la politesse de s’en tenir à 250 pages. L’autre vous assomme d’un menhir sur les nazis de 1000 pages. Mais les critiques apprécient l’une et l’autre. Alors nous ne les contrediront pas. Et ce n’est pas le sujet.
Si on aime la clarté (manie personnelle) et la simplicité. Le fait d’être obligé de les imiter de force est désagréable.
Il fallut endurer cette perte de certains codes HTML (ceux qui font des fins de lignes ect.) pendant quelques temps.
Et cette erreur fut réparée.
Pour faire place à une autre plus grande.
On nous avertit que le système devait être ajusté mais que ceci ne modifierait en rien les publications des membres. Et que rien ne serait perdu.
Voire.
Le texte 5337 disparut comme un nouveau né au moment de la naissance ne survivant pas au passage de l’ombre (utérine) à la lumière (de la salle d’opération). Je me sens poète.
Étant particulièrement taquin (et faisant à ample dose de la distanciation ironique) on put croire qu’il s’agissait que quelque punition divine pour s’être moqué de nos élites dirigeantes qui nous veulent tant de bien.
Ce n’était pas la première fois et comme on dit, il faut ou fallait ou aurait fallu prendre son mal en patience. Et mordre son clavier comme le faisait les blessés amputés à vif à qui l’on fourrait une sangle de cuir dans la bouche (faut d’alcool – non disponible ou réservé au mess des officiers) ou parce que l’éther n’avait pas encore été inventé (ou le stock réservé aux femmes du monde neurasthéniques).
Ensuite, Blogger qui gère tous les journaux personnels des membres devint inaccessible quelques jours.
On nous informa que quelques mises-au-point étaient devenues nécessaires à la suite de précédentes mise-au-point qui s’étaient particulièrement mal passées.
On pouvait tout de même lire le site et tout semblait normal sauf le no. 5337 toujours (et probablement à jamais) disparu.
Au retour, on découvrit que d’autres numéros avaient disparus. Qui, pourtant avaient été publiés. Et qu’on avait vu en consultant le site. La disparition se faisant aléatoirement. 2 ou 3 numéros évanouis puis tout devenait normal. Ensuite une autre disparition inexpliquée et inexplicable. Les dernières disparitions ne dépassant pas le travail de quelques jours avant la panne générale.
Frustrant.
Le Net est un peu une bulle de savon. Et ce qu’on y met peut éclater dans l’air à tout moment. Vos plus jolies bulles ne sont que cela.
Ce qui correspond tout à fait avec ma philosophie personnelle et devrait donc me mettre en joie puisque la réalité prouve que j’ai raison mais ce n’est pas le cas.
Heureusement, j’ai pu retrouver avec Yahoo (mais pas grâce à Google) les textes manquants. Dans les caches. Et les copier et replacer de nouveau. Ou va le faire prochainement. Pas à leur place originale mais avec les nouveautés du moment.
Ainsi va la vie.
Ce moment permit de philosopher un peu sur le peu d’importance qu’il faut accorder aux choses du monde. À ses «idées». Et à soi-même en particulier.
Et, comme d’habitude, quand on n’a plus rien a dire, on s’arrête.
Pour revenir plus tard si on est vivant.
Ou pas.
*
Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois donc il lui arrive d'être. Enfin... peut-être...
L’internet est un outil remarquable.
Et Google a mis au point un système remarquable de communication (ou a permis de mettre à la portée de simples humains à l’intelligence limitée ce que seuls de grands sages pouvaient utiliser. )
Nous remercions donc les créateurs d’Internet (peu importe les intentions inavouables des ingénieurs militaires) et ceux de Google.
Mais le progrès a ses inconvénients. Les ondes ne sont pas physiques et n’ont rien du papier (qui peut se brûler, se mouiller, pourrir, être mangé par les insectes ou les affamés). Une onde va et vient et s’évanouit.
Et parfois revient.
Ou c’est le code?
Qui est presque aussi éphémère que l’électricité. Ou que les traces des écritures anciennes illisibles.
Pour qui utilise le Blog Google, le hasard lui rappelle souvent les inconvénients du progrès. Chaque chose ayant ses désavantages comme s’il s’agissait d’une loi physique. Ou spirituelle.
Un temps, le système avait du mal à comprendre la numérotation. Pourtant, on dit que c’est la force des ordis qui sont à la base des machines à calculer élaborée. De gros bouliers modernes. Comme les interventions du professeur Bulle sont numérotées (système simple utilisé dès la création du site Douteur – sinon c’est la pagaille) (idée banale que le professeur se félicite tous les jours d’avoir suivi dès le départ. Surtout qu’au départ, il ne devait pas y avoir plus de quelques bizarreries amusantes du jour, faute d’idée plus brillantes. Ou même tout à fait ordinaire. ).
On conçoit que les chiffres les plus grands ou plus élevés sont plus grands et plus élevés que les petits). Conception qui a semblé flou pour le logiciel de maintenance.
Le programme prévoit que les interventions (pas toujours des textes) les plus récentes sont en haut de la page succédant aux interventions précédentes qui descendent graduellement. Selon ce principe, il semblerait normal que le texte no. 100 soit avant le texte 99 qui serait lui-même avant le 98. Ceci destiné aux esprits à peine subtil.
Mais la machine à calculer ne l’entendait pas ainsi. Et souvent le sujet tout chaud, au numéro le plus haut se ramassait quelque part dans la file arrière, comme un resquilleur malchanceux. Il fallait le copier et le publier de nouveau dans une autre intervention. Qui, cette fois, le placerait en haut de la file.
Peut-être?
Et, alors, c’était une intervention déjà ancienne qui prenait du pic et s’élançait vers le haut.
C’est comme s’il y avait un conflit (?) entre la marche normale des choses (ou du système) qui prévoyait que l’intervention la plus récente ou immédiate se trouve en haut de la file et le fait qu’on la numérote.
Tant bien que mal, le système essayait de mettre de l’ordre dans la numérotation comme le dyslexique de base.
Cette erreur (?) est heureusement du passé.
Malheureusement, il reste l’erreur de base qui survient inopinément pour mettre à l’épreuve les caractères faibles. Vous écrivez un texte dans la page qui convient et au moment de le publier le texte disparaît. Parfois, vous le retrouver partiellement dans un brouillon. Et souvent rien.
Ce qui vous rappelle qu’il est préférable de préparer votre texte dans le logiciel Word ou autre dactylo synthétique. En n’oubliant pas de sauvegarder. Erreur primaire qui afflige tous les amateurs. Et assez souvent pour qu’ils finissent par en faire une discipline personnelle. À défaut de toute autre.
Vous perdez le côté primesautier et presque artistique de composer à la volée selon l’inspiration du moment. Et l’amusement de la chose vous fait tenter encore une fois le Diable. Qui vous pardonne souvent. Et, longtemps, comme il se doit, le texte créé apparaît tel quel sur le Blog. Jusqu’à ce qu’il disparaisse dans le cosmos. Ce qui vous rappelle que vous avez joué avec le feu. Une fois de trop. Et que, décidément, tout est bien éphémère dans ce bas monde. Et que vous ne vous êtes pas brûlé. Vous avez simplement travaillé pour rien. Comme le novice qui ne sauvegarde rien. Et qui ferme l’ordi à la fin de sa session sans penser… Pfff! Ses textes sont disparu. Ru. Ru.
Tout récemment, pendant la campagne électorale Canadienne (ça n’a sans doute aucun rapport mais permet de situer la chose dans le temps). Ce furent les fonctions de fin de ligne et d’alinéa qui disparurent. Le texte s’écrivait comme de coutume. Sauf qu’au moment de mettre sous presse (de publier dans le Blog), tout se ramassait en un bloc de lettres presque indéchiffrables. On en revenait au début de l’écriture grecques quand les signes de ponctuations n’avait pas été encore inventés ni les fins de lignes, ni les sauts de lignes, lignes doubles, ni les paragraphes.
Ce qui donne un roman de Marie-Claire Blais (Dans la foudre et la lumière) ou du Jonathan Littell ( Les Bienveillantes). Phénomènes typographiques mais si vous n’êtes pas collectionneur de livres vous êtes un brin déçu.
L’une a la politesse de s’en tenir à 250 pages. L’autre vous assomme d’un menhir sur les nazis de 1000 pages. Mais les critiques apprécient l’une et l’autre. Alors nous ne les contrediront pas. Et ce n’est pas le sujet.
Si on aime la clarté (manie personnelle) et la simplicité. Le fait d’être obligé de les imiter de force est désagréable.
Il fallut endurer cette perte de certains codes HTML (ceux qui font des fins de lignes ect.) pendant quelques temps.
Et cette erreur fut réparée.
Pour faire place à une autre plus grande.
On nous avertit que le système devait être ajusté mais que ceci ne modifierait en rien les publications des membres. Et que rien ne serait perdu.
Voire.
Le texte 5337 disparut comme un nouveau né au moment de la naissance ne survivant pas au passage de l’ombre (utérine) à la lumière (de la salle d’opération). Je me sens poète.
Étant particulièrement taquin (et faisant à ample dose de la distanciation ironique) on put croire qu’il s’agissait que quelque punition divine pour s’être moqué de nos élites dirigeantes qui nous veulent tant de bien.
Ce n’était pas la première fois et comme on dit, il faut ou fallait ou aurait fallu prendre son mal en patience. Et mordre son clavier comme le faisait les blessés amputés à vif à qui l’on fourrait une sangle de cuir dans la bouche (faut d’alcool – non disponible ou réservé au mess des officiers) ou parce que l’éther n’avait pas encore été inventé (ou le stock réservé aux femmes du monde neurasthéniques).
Ensuite, Blogger qui gère tous les journaux personnels des membres devint inaccessible quelques jours.
On nous informa que quelques mises-au-point étaient devenues nécessaires à la suite de précédentes mise-au-point qui s’étaient particulièrement mal passées.
On pouvait tout de même lire le site et tout semblait normal sauf le no. 5337 toujours (et probablement à jamais) disparu.
Au retour, on découvrit que d’autres numéros avaient disparus. Qui, pourtant avaient été publiés. Et qu’on avait vu en consultant le site. La disparition se faisant aléatoirement. 2 ou 3 numéros évanouis puis tout devenait normal. Ensuite une autre disparition inexpliquée et inexplicable. Les dernières disparitions ne dépassant pas le travail de quelques jours avant la panne générale.
Frustrant.
Le Net est un peu une bulle de savon. Et ce qu’on y met peut éclater dans l’air à tout moment. Vos plus jolies bulles ne sont que cela.
Ce qui correspond tout à fait avec ma philosophie personnelle et devrait donc me mettre en joie puisque la réalité prouve que j’ai raison mais ce n’est pas le cas.
Heureusement, j’ai pu retrouver avec Yahoo (mais pas grâce à Google) les textes manquants. Dans les caches. Et les copier et replacer de nouveau. Ou va le faire prochainement. Pas à leur place originale mais avec les nouveautés du moment.
Ainsi va la vie.
Ce moment permit de philosopher un peu sur le peu d’importance qu’il faut accorder aux choses du monde. À ses «idées». Et à soi-même en particulier.
Et, comme d’habitude, quand on n’a plus rien a dire, on s’arrête.
Pour revenir plus tard si on est vivant.
Ou pas.
*
Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois donc il lui arrive d'être. Enfin... peut-être...