DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

dimanche 1 mars 2009

25. QU'EST-CE QUI SE PASSE?

On nous dit tout le temps que nous vivons en démocratie. Est-ce pour nous rassurer? Pour que nous en soyons certains au cas où quelqu'un aurait des doutes?

La démocratie, quoiqu'on dise, n'est pas la liberté de parole ou le droit de vote, deux choses agréables qui en font aussi partie.

La base de la démocratie est le pouvoir du peuple qui ne se réalise que si le peuple est maître de l'économie et est donc propriétaire principal des moyens de production. Et de l'argent. C'est le propriétaire que commande depuis toujours. Et le possédant qui comande au propriétaire.

Mais la majorité de la population dépend depuis toujours du petit nombre qui commande. Esclaves, ilotes, serfs, femmes, les noms ont changé avec le temps. De nos jours, 90% de la population est mineure, employée ou dépendante des employés du petit nombre. Et le but du petit nombre est que cette situation qui leur est si profitable perdure. Que rien ne change vraiment.

Mais on vote, dira t-on! Tous les 4 ans ou quand il en prend l'envie au gouvernement, celui-ci doit se représenter devant le peuple pour se faire réélire. Si les sondages secrets et coûteux dont il a seul accès le lui ont promis.

Nous vivons donc dans une démocratie diront les âmes simples. La preuve: on nous le dit tout le temps. Ce sont les autres qui ont la malchance de vivre dans une dicature non démocratique.

Mais si rien ne change même lorsque la majorité pense faire quelque chose dans ce sens, est-ce une démocratie? Comme chasser l'eau à marée basse qui revient à marée haute.

Si ce n'est pas ça, qu'est-ce que c'est? En gardant à l'idée que ce sont les autres qui vivent dans une dictature, pas nous.

En effet, il faut nommer les choses, trouver les noms. Nous vivons dans une démocratie-bonbon destiées aux âme simples et sensibles. Et parce que nous sommes occidentaux-blancs, on nous permet d'exercer ce privilège occasionnellement à condition que nous n'en abusions pas.

Il faut qu'à chaque fois, rien ne change mais que nous ayons l'impression que presque tout a changé. Sentiment agréable mais on veillera à ce que nous n'en abusions pas.

À chaque fois, malgré le changement visible, il l y toujours et encore le petit nombre qui possède presque tout. Le même petit nombre qui se transmet pouvoir, influcence, argent de génération en génération. Il y a bien quelques nouveaux privilégiés qui rejoignent les pharaons. Et quelques rois secrets qui sont déchus. Mais si l'identité des rois secrets peut varier, leur pouvoir demeure.

Le gouvernement et l'État ne sert qu'à diriger la majorité de façon à ce que les intérêts du petit nombre soient préservés.

Et les députés que l'on éli au lieu de transmettre les volontés de leurs électeurs, reviennent bientôt leur appendre ce que le gouvernement et le parti au pouvoir a décidé. Des fonctionnaires élus.

Dans le reste du monde, le même jeu se poursuit de millénaires en millénaires mais on n'a pas la même douceur envers le bas peuple. On ne tient pas à ce qu'il s'imagine diriger quelque chose. On ne ménage pas ses illusions. Car les pauvres sont si nombreux. Au besoin, on en tuera le nombre nécessaire. Il en restera bien assez.

On peut donc dire qu'en Occident, un niveau supérieur de civilisation a été atteint puisqu'on ne juge plus nécessaire de décapiter les gens en public ou de défoncer leur porte à 3 heures du matin. Alors, un groupe d'inconnus en cagoule leur mettra un sac sur la tête. Ils se retrouveront dans la cave d'un poste de police, nus, suspendus par les pieds, la tête au dessus d'une chaudière de sang, de vomis, d'urine et de merde. Des électrodes sur les gencives et les testicules. Ou, plus économiquement, une torche à souder dans le dos. Puis disparaîtront après avoir avoué. Dans ces pays-là, tout le monde avoue tout le temps.

Cette forme d'éducation permêt aux parents et voisins de se tenir tranquille. Ici, les journaux nous disent quoi penser et comment. Après l'école. Et l'église. Et les parents. Une fois que l'on sait quoi penser et comment et quand et surtout quoi ne jamais imaginer, la vie va toute seule. Chacun a sa place. Comme sur des rails. Jusqu'à ce que l'utilité de la personne utile achève. Ensuite, on recommence.

Le fils et la fille d'employés pond un autre employé ou une autre pondeuse d'employés. Et, quelque part, dans un nid plus douillet, naît un fils de patron.

Il ne faut surtout pas attirer l'attention sur le petit nombre de ceux qui dirigent et possèdent. Et le grand nombre de la multitude de ceux qui sont dirigés et à qui on a laissé un peu ou rien.

Savamment dressé depuis l'enfance, ce genre de scandale ne viendra jamais à l'esprit de la plupart des gens de la majorité. Et ils ne verront à peu près jamais ce genre d'idée écrite. Et si jamais le hasard fait qu'ils la lise ou l'entende, ce sera à un âge où l'éducation permanente aura fait son effet. Ils verront plutôt ces mots comme un scandale contre l'ordre social immuable. Un danger contre leur illusion. Car ceux qui ont peu craignent le désordre encore plus que ceux qui ont beaucoup et qui, au pire, peuvent aller partout dans le monde recommencer une vie nouvelle dans leurs nombreuses maisons.

Et la plupart des gens ne sont pas assez intelligents pour comprendre quel est leur sort. C'est l'explication la plus simple au fait que rien ne change alors que bien des choses changent un peu.

Le jour où une grande partie de la majorité comprendra, sera le début des véritables changements.

Il ne sert donc à rien de convaincre qui que ce soit. Ceux qui savent ont devinés. Les autres seront remplacés par des semblables. Jusqu'à ce que le nombre de ceux qui devinent augmentent.