lundi 3 août 2009
764. LU
NOIR
Facile de philosopher, un café à la main, sur ce que devrait faire le Canada, Les États-Unis, la Grande-Bretagne et tous les autres pays impliqués.
Facile de mettre la faute sur un, sur l’autre, sur tout le monde et personne.
Facile de aussi de dicter nos valeurs à notre famille, nos enfants, nos ami(e)s, faire valoir notre point de vue dans un 5 à 7 ou un party de Noël. Facile aussi de se lever le matin, d’avoir le droit de prier le Dieu de notre choix, de prendre un transport en commun sécuritaire, de s’habiller comme on veut, de manger ce que l’on veut, d’avoir des routes, des autobus, des taxis, des écoles, des marchés qui n’explosent pas aux quatre vents en plein jour… et on peut même dire notre façon de penser à un policier et s’en sortir avec un minable « ticket » chez nous!
Vous imaginez un peu vivre un jour en Afghanistan en région de conflit?
Avec le système… ou plutôt le non système en place. Avec les règles... ou les non règles en place.
Autant d’année de conflit et ça sort encore d’un trou en quelque part au fond de nulle part pour tirer sur un convoi militaire.
Il se pause encore des bombes en bordure des routes plus que nous voyons de panneaux orange de construction chez nous.
Et vous vous dites que la meilleure idée serait de retirer toutes nos troupes?
Qu’en est-il de l’être suprême qu’est Barak Obama que tout le monde voyait comme le sauveur des sauveurs il y a quelques mois? Voyons ce qu’il en pense…
Même celui-ci s’est rendu compte qu’il est impossible de quitter le pays dans les conditions actuelles, qu’il y a encore suffisamment de travail à faire pour justifier non pas seulement d’y rester plus longtemps, mais de s’y donner d’avantage car la situation n’est pas moins critique qu’au début du conflit.
Oui c’est triste pour nos soldats et honnêtement, je serais triste de voir un ami, un parent… ou même moi-même partir là bas!
Toutefois je crois que quiconque s’est enrôlé, à le recherche d’assouvir une soif de faire la différence en apportant sécurité et mieux-être à des gens dans le besoin, il est à la bonne place basé là bas… car besoin il y a! Pas d’accord?
BLANC
Facile aussi de dire qu'il faut continuer quand on est mis dans la position de ne plus pouvoir sortir parce qu'on aurait pas du y aller en premier.
En fait de philosopher "un café à la main" j'ai eu l'occasion de travailler au Soudan de façon totalement pacifique pour les "aider" mais on ne peut pas tous les aider, c'est la première chose que disait mère Térésa aux arrivants qui voulaient l'aider.
J'ai eu aussi l'occasion de travailler au développement économique autonome du Burkina Faso, de façon pacifique et j'ai pu en aider quelques uns.
J'ai aussi travaillé en Algérie de façon pacifique et je crois aussi en avoir aidé quelques uns.
Ce sont tous des pays ou l'islamisme est prédominant, ce sont tous des pays qui ont vraiment besoin d'aide de façon pacifique même si les peuples sont opprimés, réduits à l'esclavage par leurs dirigeants corrompus.
Même s'il y a de la violence gratuite à l'endroit des plus pauvres il n'est pas possible de vouloir tout régler par la force, ça ne fonctionne pas.
Même ceux que l'on veut aider se retournent contre nous qu'ils considèrent comme des envahisseurs.
Et la corruption continue.
J'ai aussi travaillé en Chine, en Europe de l'est et en Amérique Centrale après le passage des sauveteurs/envahisseurs (choisissez votre camp selon vos conviction) des États-Unis, et j'ai probablement réussi à en aider d'autres.
Ça c'est beaucoup plus efficace que les canons surtout lorsqu'on doit se battre contre des ennemis invisibles, ce que sont exactement les Talibans.
Comme philosophe de terrasse il faudra repasser
Facile de philosopher, un café à la main, sur ce que devrait faire le Canada, Les États-Unis, la Grande-Bretagne et tous les autres pays impliqués.
Facile de mettre la faute sur un, sur l’autre, sur tout le monde et personne.
Facile de aussi de dicter nos valeurs à notre famille, nos enfants, nos ami(e)s, faire valoir notre point de vue dans un 5 à 7 ou un party de Noël. Facile aussi de se lever le matin, d’avoir le droit de prier le Dieu de notre choix, de prendre un transport en commun sécuritaire, de s’habiller comme on veut, de manger ce que l’on veut, d’avoir des routes, des autobus, des taxis, des écoles, des marchés qui n’explosent pas aux quatre vents en plein jour… et on peut même dire notre façon de penser à un policier et s’en sortir avec un minable « ticket » chez nous!
Vous imaginez un peu vivre un jour en Afghanistan en région de conflit?
Avec le système… ou plutôt le non système en place. Avec les règles... ou les non règles en place.
Autant d’année de conflit et ça sort encore d’un trou en quelque part au fond de nulle part pour tirer sur un convoi militaire.
Il se pause encore des bombes en bordure des routes plus que nous voyons de panneaux orange de construction chez nous.
Et vous vous dites que la meilleure idée serait de retirer toutes nos troupes?
Qu’en est-il de l’être suprême qu’est Barak Obama que tout le monde voyait comme le sauveur des sauveurs il y a quelques mois? Voyons ce qu’il en pense…
Même celui-ci s’est rendu compte qu’il est impossible de quitter le pays dans les conditions actuelles, qu’il y a encore suffisamment de travail à faire pour justifier non pas seulement d’y rester plus longtemps, mais de s’y donner d’avantage car la situation n’est pas moins critique qu’au début du conflit.
Oui c’est triste pour nos soldats et honnêtement, je serais triste de voir un ami, un parent… ou même moi-même partir là bas!
Toutefois je crois que quiconque s’est enrôlé, à le recherche d’assouvir une soif de faire la différence en apportant sécurité et mieux-être à des gens dans le besoin, il est à la bonne place basé là bas… car besoin il y a! Pas d’accord?
BLANC
Facile aussi de dire qu'il faut continuer quand on est mis dans la position de ne plus pouvoir sortir parce qu'on aurait pas du y aller en premier.
En fait de philosopher "un café à la main" j'ai eu l'occasion de travailler au Soudan de façon totalement pacifique pour les "aider" mais on ne peut pas tous les aider, c'est la première chose que disait mère Térésa aux arrivants qui voulaient l'aider.
J'ai eu aussi l'occasion de travailler au développement économique autonome du Burkina Faso, de façon pacifique et j'ai pu en aider quelques uns.
J'ai aussi travaillé en Algérie de façon pacifique et je crois aussi en avoir aidé quelques uns.
Ce sont tous des pays ou l'islamisme est prédominant, ce sont tous des pays qui ont vraiment besoin d'aide de façon pacifique même si les peuples sont opprimés, réduits à l'esclavage par leurs dirigeants corrompus.
Même s'il y a de la violence gratuite à l'endroit des plus pauvres il n'est pas possible de vouloir tout régler par la force, ça ne fonctionne pas.
Même ceux que l'on veut aider se retournent contre nous qu'ils considèrent comme des envahisseurs.
Et la corruption continue.
J'ai aussi travaillé en Chine, en Europe de l'est et en Amérique Centrale après le passage des sauveteurs/envahisseurs (choisissez votre camp selon vos conviction) des États-Unis, et j'ai probablement réussi à en aider d'autres.
Ça c'est beaucoup plus efficace que les canons surtout lorsqu'on doit se battre contre des ennemis invisibles, ce que sont exactement les Talibans.
Comme philosophe de terrasse il faudra repasser