DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

dimanche 4 juillet 2010

4046. LE PROFESSEUR BULLE ENSEIGNE

Les textes sur l’école sont intéressants. Chacun a son idée sur la déchéance du système. Tandis que les gens du système proclament son amélioration constante. Comme les 2 ne peuvent avoir raison avec des idées si opposées, on va y mettre encore notre grain de sel.

Le but de l’école- partout- depuis toujours- quand l’«école» n’existait pas encore mais qu’on «enseignait» déjà est de reproduire la société. Faire des nouveaux arrivants (qui ne savent pas encore ce qu’on leur réserve) (on fait le même coup avec les immigrants et gens des «communautés culturelles») des doubles des citoyens existants.

Anciennement, comme les sociétés changeaient très lentement, avec la lenteur d’un glacier en marche, il était très facile d’avoir une méthode et de s’y tenir.

Ceux qui ne parvenaient pas à s’«intégrer» étaient chassés ou tués. Et de nos jours, ils se suicident.

Chaque société avait son image. Que les ethnologues racontent pour les sociétés disparues. Les historiens font la même chose pour nos sociétés qui existent encore mais qui se sont transformées de telle manière que les gens du passé n’y trouveraient plus leur place. Leurs descendants en seraient bien embarrassés. Pas plus que les gens d’aujourd’hui ne seraient accueillis avec ferveur par leurs ancêtres.

On parle de changement mais on ne voit que le flou des modes ou des gadgets qui se remplacent sans cesse.

À moins de s’arrêter de suivre le courant et de regarder autour de soi, on n’a aucune idée de la société dans laquelle on vit comme le poisson n’a probablement aucune idée de l’eau et du courant et de l’air au-dessus qu’il ne peut voir qu’au travers de son élément.

Probablement que tout ce qu’on peut dire de tout ça est aussi flou et imparfait que ce que le poisson dirait s’il pouvait parler. Ou s’il parle déjà, si on pouvait le comprendre.

On ne peut le voir que par comparaison.

On voit avec quelle minutie chez les primitifs se fait la préparation (mentale et physique) des nouveaux qui les remplaceront un jour. Le but est que la société (on le voit encore plus facilement par leur religion «bizarre», ect) dure encore une autre génération.

Les sorciers juifs avec leurs écoles souterraine (illégale). Les enfants à couettes qui deviendront des vieux à chapeaux.

Comment arriver à faire qu’on trouve normal de lapider une femme?

Bien sûr, des gens diront qu’une fois qu’on connaît les femmes, on a envie de les tuer. Pourquoi pas? C’est humain! Mais les lapider!

Si on veut tuer une femme, il y a toutes sortes de moyens que déjà toutes sortes de personnes utilisent. Lapider, c’est compliqué, bruyant, encombrant et salissant. Ça fait primitif!

Tandis qu’une balle dans la tête est moderne. Presque scientifique.

Et pas par caprice. Pour des raisons précises.

Et que la femme en question tout en se lamentant sur son sort : pourquoi moi? Qu’est-ce que j’ai fait au ciel? Accepte son sort.

Ou qu’on égorge sa fille pour nous avoir «déshonoré». Le mot est très fort, conduisant à l’égorgement mais les circonstances, la cause amenant la conséquence peut être variée : ne pas porter le voile, enlever le voile, parler à un homme qui ne vous a pas été présenté.

Leur société a pu «convertir» le bébé en futur lapideur ou coupeur de gorge de femmes. Ce qui n’a pas été facile.

Notre société, évidemment, ne veut pas une telle chose parce que tout le monde qui y vit trouve tout à fait aberrant le comportement qu’on vient de décrire.

Pourtant, ici aussi, on forme les esprits des bébés. Non pour leur faire croire que leurs couettes frisées est une antenne vers les Très-Haut (D**u) (G*D) ou qu’il faut dégager la nuque des garçons parce qu’encore une fois, il y aurait une connexion non désirée avec les puissances. Ou qu’il faut raser la tête des femmes pour leur enlever leur orgueil naturel (mais on ne coupera pas leurs seins) (par contre, ailleurs, on leur coupera le clitoris qui les empêche de se consacrer à la spiritualité en les faisant se frotter partout ce qui est vraiment embarrassant).

On a des informations vagues car ce qui est trop près on ne peut le voir.

On vient de parler de l’école. De ses diplômes imaginaires.

Pourtant, on ne cesse de parler partout de l’excellence. De la gloire de l’effort. De l’importance du savoir.

Si l’école régresse sans cesse, elle ne peut enseigner toutes ces belles choses. Pourtant que fait-elle avec tous ces enfants pendant ces décennies où elle les contrôle.

Et pourquoi l’école régresserait-elle? Puisque le personnel et ses dirigeants sont les premiers à le nier?

Anciennement, l’école (ou le sorcier du village) montrait ou disait à celui qui ne savait rien ce qu’il fallait savoir. Ce pouvait même être son éducation sexuelle puisque à une certaine époque, il n’a plus été de mise que les parents couchent avec leurs enfants – les Darwiniens affirment qu’à un moment on semble avoir compris (comment?) que du point de vue génétique, il valait mieux ne pas apparier des chromosomes trop parents. On alla plus loin et l’Église interdit l’union des cousins. Celles des pères, mères, fils et filles étant légitimes du temps d’Adam et Éve puis celle des frères et des sœurs du temps de l’Égypte ancienne, l’interdiction s’étendant au fur et à mesure que les connaissances (?) se répandaient.

Mais le professeur avait le droit de faire l’éducation sexuelle (une des éducations parmi d’autres) de ses élèves. Pas simplement du point de vue intellectuel.

Aujourd’hui, ce genre de pratique qui existe encore est réprouvé. Il reste la coutume des novices du chantier, des cadets de l’armée ou des soldats d’aller s’initier au bordel local ce qui permet d’aider le petit commerce.

Après tous ces détours, on en revient à notre question préoccupante : si l’école n’enseigne pas ce qu’elle dit enseigner. Si, par contre, son rôle essentiel et immémorial perdure – transformer des ignorants inutiles, improductifs et incapables en citoyens intégrés- (car il n’y a pas de société sans écoles), il faut donc comprendre cette société.

Pas si simple, si on prend l’image de l’eau du poisson à la lettre. Vit-il dans un bocal ou dans l’océan, il est sans doute incapable de le dire.

On ne peut sans doute (?) pas vraiment comprendre notre société tant qu’on y vit. On peut par contre assez bien comprendre une société du passé, la nôtre encore mieux, parce que tout le monde est mort et qu’il n’en reste rien ce qui rend les spécialistes historiens très efficaces pour la résumer.

Ce qui ne nous aide en rien pour notre société.

On peut donc essayer des trucs.

Prenons la tv. Elle est là, partout, toujours, tout le temps. Tout le monde en parle (il y a même une émission de ce nom). On y voit des «émissions», des «programmes» (certains parano diraient que sans cesse la tv essaie de nous programmer, de nous formater, de régler notre cerveau.

Ce qui est une belle idée mais imprécise. Comment nous programme-t-elle? Par la tv! Mais qu’est-ce qu’elle veut nous faire?

Une télécommande est programmée pour changer les postes des la tv puisqu’on est dans le domaine de la tv.

L’école nous programmerait pour qu’on reproduise les comportements passés (dans les sociétés primitives) ou pour qu’on s’adapte aux comportements attendus (et changeants) de notes société actuelle (dites «moderne»)

Après tous ces mots, on n’est pas plus loin et la patience du professeur Bulle ne s’améliore pas avec le temps.

Nous parlions de la tv. Avec tous ces beaux programmes, que nous montre-t-on? Sans cesse, comme si c’était le but unique, premier, principal de la tv (et c’est sans doute le cas) : la pub.

La pub paie les émissions. Elle est la raison d’existence de tous les autres médias avec la tv.

Après tout, nous vivons dans une société marchande. Tout le monde produit quelque chose ou le vend ou le calcule. Ceci pendant la plus grande part de la journée. Et de notre vie. Et le reste du jour (et de notre) vie hors les périodes de sommeil, on achète ce que d’autres ont fabriqués.

C’est tellement vrai que lorsqu’il arrive un drame qui abrutit les citoyens au point qu’ils cessent d’acheter, le chef d’État en personne se pointe pour leur recommander de faire leur devoir de citoyen, c’est-à-dire : acheter.

Notons que le devoir du citoyen moderne n’est plus de donner sa vie pour sa patrie ou de prier pour le salut de son âme ou ses ancêtres ou sa place au paradis ou d’évangéliser les sauvages mais de consommer.

À une autre certaine époque, le chef d’un État que nous ne nommerons pas ici a dit que le but de ses citoyens était de «colllaborer». Depuis ce temps, le mot a pris mauvais goût. Le mot «collaborateur» est devenu une insulte. Même s’il ne s’applique qu’à une certaine époque et ne concerne que certains pays mais pas d’autres où on verraient des parallèles semblables. Voir ce genre de chose est mal vu et vous fait rapidement passer pour un mauvais citoyen.

Le mot consommateur est bien vu.

Si à la tv, il y a toutes ces belles émissions où on voit des gens (comédiens) vivre des choses bien plus intéressantes que celles que nous vivons. Ou des «animateurs» reçoivent des invités intéressant pour parler brièvement de choses passionnantes. Tout doit être rapide car bien vite arrivent de nouveaux commerciaux.

Si dans les émissions «normales», on présente des gens vivant des choses difficiles mais que leur courage leur permettra de surmonter, il n’en est pas de même dans les publicités-commerciaux.

On y voit des gens différents. Généralement, des idiots dont l’unique (et bref- ca le message est court- mais il y en a beaucoup) est d’acheter quelque chose.

Si on essaie de résumer tous ces messages qui ont un but unique nous faire acheter leurs beaux produits, ce qui est bien. On remarquera que tous le gens qui sont supposés nous ressembler sont contents. Dès qu’ils ont le produit en main ou qu’ils ont pris la décision de se le procurer (après un période –brève- d’inquiétude où ils ne savaient vraiment pas quoi faire jusqu’à ce qu’ils prennent la résolution d’acheter le produit conseillé.

Ils ne sont pas seulement contents. Ils sont complètement idiots.

Certains des produits qui les ravissent sont tout à fait inutile, nuisible, répugnants ce qui ne les empêche nullement d’être réjouit.

Comme le but principal de la société est de fabriquer et de vendre, il faut bien que quelqu’un fabrique (faute de robot), vende et achète.

Un immigrant ne comprend pas tout de suite de quoi il retourne. Il va de soi qu’un bébé n’en a aucune idée.

Anciennement, on passait des décennies à faire connaître Dieu aux bébés qui n’en savaient rien. Maintenant, on leur dit (pas aussi clairement) que leur fonction est de fabriquer et d’acheter.

Il va de soi que la mission de l’enseignement que les sages nous révèlent : apprendre à penser, douter, remettre les choses en question est devenue tout à fait inutile.

Puisque le futur citoyen doit avoir un seul et unique but dans la vie : acheter. Sinon, la société telle qu’on la connait s’effondre.

Il ne s’agit pas pour lui de réfléchir avant l’achat. De comparer les produits. De choisir le meilleur. Le plus durable. Le plus économique.

Acheter. Puis jeter.

Car un nouveau produit arrivera comme le Messie dont on ne parle plus.

Et on devra être content.

Comme les premiers apôtres devant le Christ ressuscité d’entre les morts.

Il va de soi que pour avoir un tel comportement durablement il y a une condition indispensable.

Être totalement idiot.

Si on se met à critiquer, remettre en question ces belles occupations, ce qu’on attend de nous .si on se dit que travailler moins, dépenser moins, avoir du temps de libre pour lire et se reposer est mieux que travailler toujours plus pour acheter (à crédit s’il le faut) le gadget indispensable que les gens heureux et délirants de bonheurs (ils dansent en plus) des messages nous chantent. Tout s’effondre.

On devine donc en filigrane le rôle de l’école.

Il s’agit encore de former un futur citoyen.

Que ce citoyen soit parfaitement adapté à la société dans laquelle il devra vivre toute sa vie.

On vient de deviner quelle est cette société.

Penser, apprendre à penser, douter, critiquer, paresser, philosopher, méditer, lire tout ceci est néfaste, diabolique.

Tout en prétendant faire une chose, chose respectable qu’elle ferait depuis toujours, le système éducatif, l’industrie éducative, travaille le produit grossier : le bébé ignorant et le manipule.

Et on fait un idiot.

Condition indispensable à sa survie dans le monde moderne.

Et à la survie du monde moderne.

Et à sa perpétuation passée la génération productive et acheteuse actuelle.

Pour que le futur client (rôle primordial du futur citoyen) soit perpétuellement content de tout ce qu’on lui propose, il faut le décerveler préventivement.

Ainsi, il pourra passer tout le temps où il est inutile sur le »Marché du Travail» : on n’a plus besoin d’enfants travailleurs sauf dans le Tiers-Monde et même si les bordels d’enfants seraient appréciés par toute une clientèle solvable (selon la loi de l’offre et de la demande – qui a remplacée les Commandements de Dieu et de l’Église) c’est encore interdit à cause de préjugés anciens.

Il faut donc occuper tous ces gens inutiles en attendant qu’ils deviennent assez vieux pour fabriquer, vendre et acheter.

N’importe quoi.

S’il leur raser la Nature pour se procurer les matières premières, ils raseront.

Si la nourriture est dangereuse pour leur santé, ils la mangeront parce que les gens des commerciaux de la tv leur auront dit en chantant que c’est tout bon.

On voit donc que dans cette société des gens intelligents en compétents (sauf pour fabriquer et vendre) sont désormais inutiles.

Le principal lieu d’apprentissage doit donc éviter de le faire.

Tout en faisant semblant de faire ce qu’il dit faire : enseigner.

Tout en donnant de fausses notes.

Il faut des gens assez compétents pour ne pas foutre la pagaille dans les machines à hamburgers.

Mais surtout pas plus.

Et voilà! Content !