lundi 5 juillet 2010
4053. TASER. COMMENT ÉLECTROCUTER UN ENFANT
CENTRE JEUNESSE DE L'ESTRIE
UN ADOLESCENT MAÎTRISÉ À L'AIDE D'UNE ARME TASER
4 juillet 2010
http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2010/07/05/002-taser-val-du-lac.shtml
Un jeune de 17 ans, qui menaçait des policiers et des intervenants du centre Val-du-Lac en compagnie de deux autres garçons, a été contrôlé à l'aide d'un pistolet électrique.
Des agents du Service de police de Sherbrooke (SPS) ont eu recours au pistolet Taser, dimanche soir, pour maîtriser un adolescent qui réside au pavillon Val-du-Lac du Centre jeunesse de l'Estrie.
[Comme il faut tout expliquer puisque les mots sont ici insuffisants. Voir article sur l'école en bas. Un CENTRE JEUNESSE est une prison pour jeunes. Ce qui a remplacé les anciennes ÉCOLES DE RÉFORMES ou les MAISONS DE CORRECTION qui ont fini, avec le temps, par avoir une sale réputation de nids de pédophiles et de sadiques (nous parlons ici des «éducateur» «aumôniers» et autres «personnes ressources». On les a donc «fermées» en douce. Mais comme le besoin demeurait (quoi faire avec ces être vivants inutiles et trop jeunes pour la prison?), mais comme le centre qui les «heberge» on ne les appelle pas ainsi. On s'écrira même devant l'usage de ce mot. Mais une personne que l'on enlève, transporte, dépose contre sa volonté dans un endroit d'où il ne peut partir est un... voyons... le mot m'échappe... Il va de soi que les adultes qui s'adonnent à cette activité serait considéré comme des criminels si on n'en avait pas fait une profession. Au bout de la chaine des interventions des Services Sociaux. Les jeunes qui y «résident» sont en fait des «prisonniers» (voir ce mot dans le plus proche dictionnaire proche de chez-vous.) Ou ce sont des jeunes en attente de «placement». Des enfants qui ont eu la malchance d'être reproduit chez des malades, sadiques, criminels, etc. Devant l'incompétence totale de l'«autorité parentale», on les enverra chez une tuteur ou un «foyer» (autre nid de pédophiles et de sadiques ou de parasites sociaux qui «acceuillent» ces enfants pour le $). Mais, en attendant, comme on manque de place, on les range la. Avec de futurs criminels. Faisant des experiences d ingeneries sociales pour amateurs. Le mot «maîtriser» semble clair. Après, le contrevenant sera puni en étant placé dans le trou (qui n'existe pas selon les autorités en place) (ou si ces cellules d'«isolements» finissent par exister miraculeusement, on ne fait qu'y placer et rarement - question de minutes- un résident troublé le temps qu'il fasse un retour sur soi et se calme. S'il arrive que des dizaines d'enfants y passe des jours, comme on finira par l'avouer, c'est parce que les réformes et les dépliants accompagnateurs ont été mal compris du personnel soignant.]
L'adolescent de 17 ans et deux autres jeunes auraient refusé
de regagner l'établissement
au moment venu.
Armés de bâtons de bois de quatre pieds et de roches, les trois adolescents auraient menacé les intervenants du centre jeunesse et les policiers qui ont été appelés en renfort.
Selon le porte-parole du SPS, Martin Carrier, le jeune de 17 ans s'est montré très agressif envers les policiers [combien Au moins 2], ce qui justifie le recours à l'arme Taser.
« On a négocié durant deux heures avec ceux-ci.
À un certain moment, l'un des individus, malgré les avertissements, fonce à pleine course en brandissant un bâton de 4 pieds.
[Donc cet ado (quelle grandeur et quel poids) fonce sur des (combien ) policiers armes! Tentative de suicide!]
C'est un risque pour les policiers, un risque même de causer la mort d'un policier ou d'un intervenant.
C'est un de nos membres du groupe d'intervention spécialement formé qui a utilisé l'arme à impulsion électrique »,
précise l'agent Carrier.
L'UTILISATION DU PISTOLET A FINALEMENT MIS FIN AU SOULÈVEMENT.
[Il ne s agit plus d un refus de rentrer au dortoir]
Le jeune qui a été atteint par la décharge a été transporté au centre hospitalier par mesure préventive.
Il n'aurait subi aucune blessure.
Des accusations criminelles de voies de fait armées et de menaces de mort ont été déposées contre les adolescents.
[Il n y a pas eu voie de fait armees puisqu il n a touche personne avec son baton.]
[Un détail qui me semble important - mais pas au journaliste- c'est la grosseur et la grandeur des «manifestants». Un jeune emmerdeur de 5 pieds n'est pas la même chose que s'il mesure 6 pieds et pèse 200 livres. Ou s'il mesure 6 pieds mais pèse 100 livres. Une grande brindille. L'usage du Taser devient non seulement louche mais criminel. L'âge ne dit rien dans cette période: on a encore des ados avec des corps d'enfant et d'autres qui sont tout fait dans leur corps d'hommes définitif. Autre détail. Mais que le professeur Bulle est chiant. Est-ce que ces terroriste sont des jeunes «sous mandat de protection» qui seront placés en «famille d'acceuil» lorsqu'une place sera disponible. C'est-à-dire des enfants qui ont eu la malchance de naître d'une mère pute-droguée-folle ou d'un père criminel (ou fou ou drogué). Ce qui est déjà très mauvais pour le célèbre combat pour la vie ou la montée héroïque dans l'échelle sociale avec la célèbre meule de moulin au cou. Sans compter les tares génétiques héritées de leurs parents qui les ont peut-être hérités des leurs. Bref, des enfants poqués. Qui s'ils sont petits vont avoir encore plus de problème de la deuxième variété. Ceux qui pour les mêmes raisons au lieu de devenir des victimes devienent des agresseurs. On peut supposer que ceux du premier cas n'ont pas envie de revenir au centre pour éviter de de faire casser la gueule par les futurs criminels. Doublement victime. Taséré, ça la fout mal. On comprendrait que de petites ordures soient tassés mais moins que les victimes - disons d'une mère dépressive qui a essayé de les noyer avant de se suicider (le père devant tous ces problèmes a déjà foutu le camps ou il n'a servi à l'origine que comme donneur de sperme et n'est même pas au courant de l'existence de ses descendants.) - soient traités comme des chiens.
La nouvelle est donc incomplète. On a des flics qui mettent fin à une «discussion» de 2 heures parce qu'ils en ont assez de «communiquer» à coups de Taser.
On doute, connaissant la bonne humeur conviviale des flics communs qu'ils aient toléré pendant 2 heures de se faire insulter? On peut donc penser que les jeunes étaient des victimes terrorisées les suppliant de ne pas les retourner au centre où les petites ordures les attendaient. S'ils sévissent déjà dans n'importe quelle école, qu'est-ce que ce doit être dans une prison pour jeune! Ou, des administrateurs sadiques mélangent des criminels et des victimes. Dans un but «éducatif». Fatigué de voir les enfants pleurer, on aurait pu leur tirer dessus. On s'est contenter d'électrocuter ce qui est bien.
La nouvelle loi Harper, voulait condamner à des peines pour adultes les jeunes criminels au lieu de les envoyer dans des Centres. Ils libéraient la place pour les victimes simples. Là-bas, dans leur nouvelle demeure, ils pourraient rencontrer de vrais criminels qui les enculeraient avec plaisir pendant des décennies. Il pourra aussi sucer tous ses camarades de cellules pour éviter de se faire tuer. Au grand amusement des gardiens-screw-personnel carcéral-éducateur sociaux. J'imagine qu'un militant de la rigueur morale doit se masturber en pensant à tout ça.
On parle de «baton» dans les mains des enfants. Combien, quelle grosseur?
A-t-on affaire à des victimes de la vie ou de futurs criminels?
On ne le saura jamais.
Il reste donc à s'amuser à deviner. ]
Les commentaires 17
UN ADOLESCENT MAÎTRISÉ À L'AIDE D'UNE ARME TASER
4 juillet 2010
http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2010/07/05/002-taser-val-du-lac.shtml
Un jeune de 17 ans, qui menaçait des policiers et des intervenants du centre Val-du-Lac en compagnie de deux autres garçons, a été contrôlé à l'aide d'un pistolet électrique.
Des agents du Service de police de Sherbrooke (SPS) ont eu recours au pistolet Taser, dimanche soir, pour maîtriser un adolescent qui réside au pavillon Val-du-Lac du Centre jeunesse de l'Estrie.
[Comme il faut tout expliquer puisque les mots sont ici insuffisants. Voir article sur l'école en bas. Un CENTRE JEUNESSE est une prison pour jeunes. Ce qui a remplacé les anciennes ÉCOLES DE RÉFORMES ou les MAISONS DE CORRECTION qui ont fini, avec le temps, par avoir une sale réputation de nids de pédophiles et de sadiques (nous parlons ici des «éducateur» «aumôniers» et autres «personnes ressources». On les a donc «fermées» en douce. Mais comme le besoin demeurait (quoi faire avec ces être vivants inutiles et trop jeunes pour la prison?), mais comme le centre qui les «heberge» on ne les appelle pas ainsi. On s'écrira même devant l'usage de ce mot. Mais une personne que l'on enlève, transporte, dépose contre sa volonté dans un endroit d'où il ne peut partir est un... voyons... le mot m'échappe... Il va de soi que les adultes qui s'adonnent à cette activité serait considéré comme des criminels si on n'en avait pas fait une profession. Au bout de la chaine des interventions des Services Sociaux. Les jeunes qui y «résident» sont en fait des «prisonniers» (voir ce mot dans le plus proche dictionnaire proche de chez-vous.) Ou ce sont des jeunes en attente de «placement». Des enfants qui ont eu la malchance d'être reproduit chez des malades, sadiques, criminels, etc. Devant l'incompétence totale de l'«autorité parentale», on les enverra chez une tuteur ou un «foyer» (autre nid de pédophiles et de sadiques ou de parasites sociaux qui «acceuillent» ces enfants pour le $). Mais, en attendant, comme on manque de place, on les range la. Avec de futurs criminels. Faisant des experiences d ingeneries sociales pour amateurs. Le mot «maîtriser» semble clair. Après, le contrevenant sera puni en étant placé dans le trou (qui n'existe pas selon les autorités en place) (ou si ces cellules d'«isolements» finissent par exister miraculeusement, on ne fait qu'y placer et rarement - question de minutes- un résident troublé le temps qu'il fasse un retour sur soi et se calme. S'il arrive que des dizaines d'enfants y passe des jours, comme on finira par l'avouer, c'est parce que les réformes et les dépliants accompagnateurs ont été mal compris du personnel soignant.]
L'adolescent de 17 ans et deux autres jeunes auraient refusé
de regagner l'établissement
au moment venu.
Armés de bâtons de bois de quatre pieds et de roches, les trois adolescents auraient menacé les intervenants du centre jeunesse et les policiers qui ont été appelés en renfort.
Selon le porte-parole du SPS, Martin Carrier, le jeune de 17 ans s'est montré très agressif envers les policiers [combien Au moins 2], ce qui justifie le recours à l'arme Taser.
« On a négocié durant deux heures avec ceux-ci.
À un certain moment, l'un des individus, malgré les avertissements, fonce à pleine course en brandissant un bâton de 4 pieds.
[Donc cet ado (quelle grandeur et quel poids) fonce sur des (combien ) policiers armes! Tentative de suicide!]
C'est un risque pour les policiers, un risque même de causer la mort d'un policier ou d'un intervenant.
C'est un de nos membres du groupe d'intervention spécialement formé qui a utilisé l'arme à impulsion électrique »,
précise l'agent Carrier.
L'UTILISATION DU PISTOLET A FINALEMENT MIS FIN AU SOULÈVEMENT.
[Il ne s agit plus d un refus de rentrer au dortoir]
Le jeune qui a été atteint par la décharge a été transporté au centre hospitalier par mesure préventive.
Il n'aurait subi aucune blessure.
Des accusations criminelles de voies de fait armées et de menaces de mort ont été déposées contre les adolescents.
[Il n y a pas eu voie de fait armees puisqu il n a touche personne avec son baton.]
[Un détail qui me semble important - mais pas au journaliste- c'est la grosseur et la grandeur des «manifestants». Un jeune emmerdeur de 5 pieds n'est pas la même chose que s'il mesure 6 pieds et pèse 200 livres. Ou s'il mesure 6 pieds mais pèse 100 livres. Une grande brindille. L'usage du Taser devient non seulement louche mais criminel. L'âge ne dit rien dans cette période: on a encore des ados avec des corps d'enfant et d'autres qui sont tout fait dans leur corps d'hommes définitif. Autre détail. Mais que le professeur Bulle est chiant. Est-ce que ces terroriste sont des jeunes «sous mandat de protection» qui seront placés en «famille d'acceuil» lorsqu'une place sera disponible. C'est-à-dire des enfants qui ont eu la malchance de naître d'une mère pute-droguée-folle ou d'un père criminel (ou fou ou drogué). Ce qui est déjà très mauvais pour le célèbre combat pour la vie ou la montée héroïque dans l'échelle sociale avec la célèbre meule de moulin au cou. Sans compter les tares génétiques héritées de leurs parents qui les ont peut-être hérités des leurs. Bref, des enfants poqués. Qui s'ils sont petits vont avoir encore plus de problème de la deuxième variété. Ceux qui pour les mêmes raisons au lieu de devenir des victimes devienent des agresseurs. On peut supposer que ceux du premier cas n'ont pas envie de revenir au centre pour éviter de de faire casser la gueule par les futurs criminels. Doublement victime. Taséré, ça la fout mal. On comprendrait que de petites ordures soient tassés mais moins que les victimes - disons d'une mère dépressive qui a essayé de les noyer avant de se suicider (le père devant tous ces problèmes a déjà foutu le camps ou il n'a servi à l'origine que comme donneur de sperme et n'est même pas au courant de l'existence de ses descendants.) - soient traités comme des chiens.
La nouvelle est donc incomplète. On a des flics qui mettent fin à une «discussion» de 2 heures parce qu'ils en ont assez de «communiquer» à coups de Taser.
On doute, connaissant la bonne humeur conviviale des flics communs qu'ils aient toléré pendant 2 heures de se faire insulter? On peut donc penser que les jeunes étaient des victimes terrorisées les suppliant de ne pas les retourner au centre où les petites ordures les attendaient. S'ils sévissent déjà dans n'importe quelle école, qu'est-ce que ce doit être dans une prison pour jeune! Ou, des administrateurs sadiques mélangent des criminels et des victimes. Dans un but «éducatif». Fatigué de voir les enfants pleurer, on aurait pu leur tirer dessus. On s'est contenter d'électrocuter ce qui est bien.
La nouvelle loi Harper, voulait condamner à des peines pour adultes les jeunes criminels au lieu de les envoyer dans des Centres. Ils libéraient la place pour les victimes simples. Là-bas, dans leur nouvelle demeure, ils pourraient rencontrer de vrais criminels qui les enculeraient avec plaisir pendant des décennies. Il pourra aussi sucer tous ses camarades de cellules pour éviter de se faire tuer. Au grand amusement des gardiens-screw-personnel carcéral-éducateur sociaux. J'imagine qu'un militant de la rigueur morale doit se masturber en pensant à tout ça.
On parle de «baton» dans les mains des enfants. Combien, quelle grosseur?
A-t-on affaire à des victimes de la vie ou de futurs criminels?
On ne le saura jamais.
Il reste donc à s'amuser à deviner. ]
Les commentaires 17
DOUTEUR. PROFESSEUR BULLE. HENRY DICKSON
Taser