mercredi 24 février 2010
2731. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE
Personne ne dit qu'il a payé des impôts !
En tout cas, il n'est pas poursuivi pour ça.
Remarque: Si vous êtes trafiquant de drogue et que vous le dites à votre conseilleur fiscal gouvernemental (dénonciation volontaire ou un terme similaire), ceci reste confidentiel. Il calculera votre taux d'imposition sur les revenus que vous lui aurez déclaré. Et vous continuerez d'être un contribuable honnêe.
Mais il faut que ce soit fait avant qu'ils vous attrapent.
Quant à la police, elle n'a qu'à faire sa propre enquête.
Et on a pu remarquer le zèle qu'elle mêt à pincer un mafiosi tout les 75 ans. Tandis qu'on espionnera les gauchistes ou qu'on interviendra lorsque des ado joueront aux dés (ce qui est illégal dans un parc) pour tuer un des joueurs et en blesser quelques autres.
Bien sûr, on peut remarquer qu'on a fait un razzia chez les Hells Angels mais ils étaient si voyants (et si fendant) que ça en devenait probablement gênant.
Supposons un fraudeur (qu'on ne nommera pas) et qui va voir le même fonctionnaire lui disant qu'il... vous imaginez le reste. On trouvera bien le moyen de prélever une part.
Quoiqu'il soit moins facile de calculer les profits d'une fraude puisque tout revenu est illégal. Tandis qu'un honnête travailleur ou un moins honnête travailleur du crime organisé ou non a des dépenses. On peut calculer le revenu brut et net, les déductions fiscales.
Dans certains pays (le Canada?) une entreprise qui paie des pots-de-vin à des fonctionnaires ou un gouvernement étranger (ici?) peut le déduire comme dépenses d'entreprise ou de représentation.
Mais on se souviendra que dans l'affaire Cinar, on a pu s'en tirer avec 125 millions disparus. Il ne semble pas que les actionnaires aient été remboursés. On avait fraudé l'impôt (les 2 - provincial et fédéral) et des tas de ministères y compris les Affaires Culturelles pour avoir des subventions (illégales).
Mais le propriétaire a pu s'entendre avec le fisc. L'entreprise a même reçu de nouvelles subvention de Cinéma Canada (au autre nom) même après toutes ces embrouilles.
Il y a probablement une morale là-dedans et c'est pour ça que le professeur Bulle a demandé une subvention au gouvernement pour créer son laboratoire de morale. Dans son sous-sol.
Mais c'était avant l'affaire Vincent Lacroix qui a cassé le party. Puis il y a eu Jones et Maadof aux USA.
Tout ce beau monde qui s'entendait à nager dans l'auge avec l'$ du public comme les filles qui se battent (pour de rire) dans le jello doit être plus prudent.
Quoique ce qu'on apprend des pratiques commerciales courantes et gouvernemtales habituelles n'aient rien pour rassurer le gentil payeur de taxe.
Qui peut aller voir de jolies filles se battre dans le jello pour se détendre de ses soucis.
En tout cas, il n'est pas poursuivi pour ça.
Remarque: Si vous êtes trafiquant de drogue et que vous le dites à votre conseilleur fiscal gouvernemental (dénonciation volontaire ou un terme similaire), ceci reste confidentiel. Il calculera votre taux d'imposition sur les revenus que vous lui aurez déclaré. Et vous continuerez d'être un contribuable honnêe.
Mais il faut que ce soit fait avant qu'ils vous attrapent.
Quant à la police, elle n'a qu'à faire sa propre enquête.
Et on a pu remarquer le zèle qu'elle mêt à pincer un mafiosi tout les 75 ans. Tandis qu'on espionnera les gauchistes ou qu'on interviendra lorsque des ado joueront aux dés (ce qui est illégal dans un parc) pour tuer un des joueurs et en blesser quelques autres.
Bien sûr, on peut remarquer qu'on a fait un razzia chez les Hells Angels mais ils étaient si voyants (et si fendant) que ça en devenait probablement gênant.
Supposons un fraudeur (qu'on ne nommera pas) et qui va voir le même fonctionnaire lui disant qu'il... vous imaginez le reste. On trouvera bien le moyen de prélever une part.
Quoiqu'il soit moins facile de calculer les profits d'une fraude puisque tout revenu est illégal. Tandis qu'un honnête travailleur ou un moins honnête travailleur du crime organisé ou non a des dépenses. On peut calculer le revenu brut et net, les déductions fiscales.
Dans certains pays (le Canada?) une entreprise qui paie des pots-de-vin à des fonctionnaires ou un gouvernement étranger (ici?) peut le déduire comme dépenses d'entreprise ou de représentation.
Mais on se souviendra que dans l'affaire Cinar, on a pu s'en tirer avec 125 millions disparus. Il ne semble pas que les actionnaires aient été remboursés. On avait fraudé l'impôt (les 2 - provincial et fédéral) et des tas de ministères y compris les Affaires Culturelles pour avoir des subventions (illégales).
Mais le propriétaire a pu s'entendre avec le fisc. L'entreprise a même reçu de nouvelles subvention de Cinéma Canada (au autre nom) même après toutes ces embrouilles.
Il y a probablement une morale là-dedans et c'est pour ça que le professeur Bulle a demandé une subvention au gouvernement pour créer son laboratoire de morale. Dans son sous-sol.
Mais c'était avant l'affaire Vincent Lacroix qui a cassé le party. Puis il y a eu Jones et Maadof aux USA.
Tout ce beau monde qui s'entendait à nager dans l'auge avec l'$ du public comme les filles qui se battent (pour de rire) dans le jello doit être plus prudent.
Quoique ce qu'on apprend des pratiques commerciales courantes et gouvernemtales habituelles n'aient rien pour rassurer le gentil payeur de taxe.
Qui peut aller voir de jolies filles se battre dans le jello pour se détendre de ses soucis.