jeudi 25 février 2010
2768. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE
Si je me souviens vaguement - mon esprit baigne trop dans l'alcool si nécessaire à la poésie pour se rappeler toujours clairement des choses aussi insignifiantes que les chiffres- le précédent propriétaire avait été choisi (le mot est miam!) après étude sérieuse entre 2 propositions. La propriétaire d'un chantier maritime local, femme d'expérience et dont l'entreprise de taille moyenne avait du succès et un homme, dont on ne savait trop ce qu'il faisait ni d'où il venait. La même proposition était sur la table. Le chantier en faillite était racheté pour 1$ et 500 millions de subvention venait en prime. Il va de soi (?) qu'on a choisi l'homme parce que c'était un homme et qu'il avait des couilles! Pas la femme. Tant pis pour elle!
Que s'est-il passé par la suite? L'homme providentiel s'est débrouillé pour claquer en un rien de temps les 500 millions - que personne n'a jamais fait le moindre effort pour chercher- et revendre le chantier pour une centaine de millions (en fait, il a emprunté ou hypothéqué le chantier). Il le mettait même en vente si le gouvernement ne casquait pas encore.
On mettait même les outils en vente par lot dans une sorte de marché aux puces.
Finalement, ça s'est arrangé - on n'a jamais su comment et ce ne sont pas les supposés journaleux qui ont fait le moindre effort pour en savoir plus....
Ce qui rappelle l'affaire récente de «l'industrie des courses de chevaux» (et on ne parlera pas de «l'industrie du Bingo») que le gouvernement à «privatisé» (moment d'humour!) en donnant les hyppodromes à un «ami sincère» (ce sont les plus beaux) avec en cadeau de noce 300 millions de subvention. Qui sont disparus très vite, le temps de revoir l'ami pleurer sur son sort et sur d'autres millions à venir.
Et on ne parlera pas de la Gaspésia où on a réussit à couler 500 millions (en laissant les morceaux de machinerie rouiller dans la neige) sans cris d'horreur de monsieur Claude Picher et associés.
Ben, finalement, le chantier ne s'est pas si bien arrangé que ça. On ne sait toujours pas combien le gouvernement a casqué pour s'en débarrasser mais on devine en analysant son vocabulaire qu'il a cautionné le prêt qu'a fait «l'acheteur» (moment d'humour) et les prêts des acheteurs de bateaux (autre moment subtil d'ironie tranquille.)
Il y aurait probablement d'autres choses à dire mais les doigts fatiguent.
Que s'est-il passé par la suite? L'homme providentiel s'est débrouillé pour claquer en un rien de temps les 500 millions - que personne n'a jamais fait le moindre effort pour chercher- et revendre le chantier pour une centaine de millions (en fait, il a emprunté ou hypothéqué le chantier). Il le mettait même en vente si le gouvernement ne casquait pas encore.
On mettait même les outils en vente par lot dans une sorte de marché aux puces.
Finalement, ça s'est arrangé - on n'a jamais su comment et ce ne sont pas les supposés journaleux qui ont fait le moindre effort pour en savoir plus....
Ce qui rappelle l'affaire récente de «l'industrie des courses de chevaux» (et on ne parlera pas de «l'industrie du Bingo») que le gouvernement à «privatisé» (moment d'humour!) en donnant les hyppodromes à un «ami sincère» (ce sont les plus beaux) avec en cadeau de noce 300 millions de subvention. Qui sont disparus très vite, le temps de revoir l'ami pleurer sur son sort et sur d'autres millions à venir.
Et on ne parlera pas de la Gaspésia où on a réussit à couler 500 millions (en laissant les morceaux de machinerie rouiller dans la neige) sans cris d'horreur de monsieur Claude Picher et associés.
Ben, finalement, le chantier ne s'est pas si bien arrangé que ça. On ne sait toujours pas combien le gouvernement a casqué pour s'en débarrasser mais on devine en analysant son vocabulaire qu'il a cautionné le prêt qu'a fait «l'acheteur» (moment d'humour) et les prêts des acheteurs de bateaux (autre moment subtil d'ironie tranquille.)
Il y aurait probablement d'autres choses à dire mais les doigts fatiguent.