jeudi 2 avril 2009
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CONNAÎTRE NOS CHEFS ET LES AIMER.
En 1993, Michael Ignatieff avouait dans son livre Blood and Belonging n’avoir jamais voyagé dans le Québec francophone. Ce qui ne l’a pas empêché à Laval, le week end dernier, de s’exclamer «c’est mon Québec!» en rappelant l’histoire de ses grands-parents russes enterrés dans les Cantons-de-l’Est.
(…)
Voici d’ailleurs ce que (Michael Ignatieff) pensait de cette «nation» en 1993 : « si le Québec devient souverain, la voie sera ouverte à la tyrannie ethnique de la majorité» Cité par Josée Legault, journal voir. Le beau parleur. 26 mars 2009
(C’est beau de voir qu’il partage les idées de messieurs Elliot Trudeau, Stéphane Dion et de madame Barbara Kay, employée de la Gazette. On dirait qu’ils trouvent d’instinct les mots qu’il faut pour différencier leur race et celle de l’autre. Celle des vainqueurs et celle des vaincus qui ne pourront jamais rien faire de bon. Qu’ils soient fédéralistes ou le contraire. Ils sont capables du pire et il vaut mieux les soupçonner d’avance ce qui nous donne le prétexte nécessaire ou la raison du prétexte des moyens qu’ils devront malheureusement utiliser pour maintenir l’ordre. Le concept de race est de nos jours dépassés, on peut utiliser celle d’«espèce» qui n’est pas mieux mais qui permet de comprendre les atavismes instantanés au stade réflexe qui se produisent lors d’une situation donnée. D’abord «eux» contre «nous». Ensuite : Qu’est-ce qu’il leur prend? On n’a pas été bon pour eux! Ingrat. Jamais content. Toujours à se plaindre. On dirait des femmes. Ou des enfants. Des enfants gâtés. Ou des femmes. Oui. Et les latins sont comme les femmes emportées par l’instinct et les émotions au lieu d’être guidé par la raison. La réflexion lente. Il faut donc une main ferme pour les calmer. Leur faire entendre raison. Peut-être les brasser un peu pour que les connections cérébrales se refassent. Un peu comme un vieux grille-pains. Une main ferme pour les guider parce que leur jugement est insuffisant à le faire et leurs nerfs fragiles ne peuvent que les pousser vers les pires excès. Il faut donc prévoir leurs actes. Même d’avance. Comme il (elles) ne sont jamais content(es), on peut être sûr qu’il y aura des crises quoiqu’on fasse, même avec la meilleure volonté du monde. On peut donc prédire ces crises (hormonales) à coups sûr, crises périodiques, qui n’ont rien à voir avec les idées ou des causes extérieures mais qui sont simplement épidermiques. Ou virale. Comme une allergie ou une poussée de fièvre. Anciennement, les médecins de famille, lorsque la prière conseillée par le curé faisait moins son œuvre, prescrivait des potions douces qui maintenant les patientes dans une douce euphorie. Lorsque les remèdes des apothicaires ne donnaient plus les effets désirés, un séjour en institution était la solution indiquée. Là, plus de prières, plus de potions, avec des douches froides, des lavements, des bains de glace, une camisole de force, une trépanation ne pouvait que donner les meilleurs résultats. Une femme nouvelle et améliorée, un atout pour sa communauté et la société. Amen.)
En 1993, Michael Ignatieff avouait dans son livre Blood and Belonging n’avoir jamais voyagé dans le Québec francophone. Ce qui ne l’a pas empêché à Laval, le week end dernier, de s’exclamer «c’est mon Québec!» en rappelant l’histoire de ses grands-parents russes enterrés dans les Cantons-de-l’Est.
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Voici d’ailleurs ce que (Michael Ignatieff) pensait de cette «nation» en 1993 : « si le Québec devient souverain, la voie sera ouverte à la tyrannie ethnique de la majorité» Cité par Josée Legault, journal voir. Le beau parleur. 26 mars 2009
(C’est beau de voir qu’il partage les idées de messieurs Elliot Trudeau, Stéphane Dion et de madame Barbara Kay, employée de la Gazette. On dirait qu’ils trouvent d’instinct les mots qu’il faut pour différencier leur race et celle de l’autre. Celle des vainqueurs et celle des vaincus qui ne pourront jamais rien faire de bon. Qu’ils soient fédéralistes ou le contraire. Ils sont capables du pire et il vaut mieux les soupçonner d’avance ce qui nous donne le prétexte nécessaire ou la raison du prétexte des moyens qu’ils devront malheureusement utiliser pour maintenir l’ordre. Le concept de race est de nos jours dépassés, on peut utiliser celle d’«espèce» qui n’est pas mieux mais qui permet de comprendre les atavismes instantanés au stade réflexe qui se produisent lors d’une situation donnée. D’abord «eux» contre «nous». Ensuite : Qu’est-ce qu’il leur prend? On n’a pas été bon pour eux! Ingrat. Jamais content. Toujours à se plaindre. On dirait des femmes. Ou des enfants. Des enfants gâtés. Ou des femmes. Oui. Et les latins sont comme les femmes emportées par l’instinct et les émotions au lieu d’être guidé par la raison. La réflexion lente. Il faut donc une main ferme pour les calmer. Leur faire entendre raison. Peut-être les brasser un peu pour que les connections cérébrales se refassent. Un peu comme un vieux grille-pains. Une main ferme pour les guider parce que leur jugement est insuffisant à le faire et leurs nerfs fragiles ne peuvent que les pousser vers les pires excès. Il faut donc prévoir leurs actes. Même d’avance. Comme il (elles) ne sont jamais content(es), on peut être sûr qu’il y aura des crises quoiqu’on fasse, même avec la meilleure volonté du monde. On peut donc prédire ces crises (hormonales) à coups sûr, crises périodiques, qui n’ont rien à voir avec les idées ou des causes extérieures mais qui sont simplement épidermiques. Ou virale. Comme une allergie ou une poussée de fièvre. Anciennement, les médecins de famille, lorsque la prière conseillée par le curé faisait moins son œuvre, prescrivait des potions douces qui maintenant les patientes dans une douce euphorie. Lorsque les remèdes des apothicaires ne donnaient plus les effets désirés, un séjour en institution était la solution indiquée. Là, plus de prières, plus de potions, avec des douches froides, des lavements, des bains de glace, une camisole de force, une trépanation ne pouvait que donner les meilleurs résultats. Une femme nouvelle et améliorée, un atout pour sa communauté et la société. Amen.)