samedi 30 mai 2009
552.IL NE FAUT PAS RIRE
Dieudo - Sylvie - ARA - Association des Racistes Anonymes
Message d'avertissement aux spectateurs faisant suite à un avertissement similaire venant d'un alphabètes de la Presse qui se demandait pourquoi les québécois aimaient tellement le prétendu humoriste Dieudonné alors qu'il ne fait rire personne (surtout pas lui) et s'était rendu coupable (selon lui) de nombreux crimes. Préférablement raciste. Et, pire, antisémite. Non qu'il avait tué quelqu'un ou conseillé un autre de le faire mais il utilisait de méchants mots. Et avait de vilaines idées. Et on sait que les mots blessent. Aussi durement qu'un couteau ou un fusil. Si. Si. Ils blessent. Il concluait son exercice typographique en se demandait si ce ne serait pas un autre des signes évidents du racisme typique, atavique et profond de cette ... heu!... population. Il le faisait subtilement en n'émettant pas un diagnostic aussi direct mais en alignant les éléments permettant au lecteur de se faire à l'idée. Un grand pédagogue.
Un jugement dur mais aussi sincère a déjà été fait dans le passé par son excellence Peter Elliot Trudeau. Paix à son âme.
On le sait, ces misérables petits êtres sont capables de tout. Et on n'ose imaginer ce qu'ils feraient à la suite d'un référendum gagnant. On voit tout de suite l'expropriation des gens qui auraient mal voté, l'expulsion des anglophones, le nettoyage ethnique et les camps de concentration. Les chambre à gaz. Oui, ils sont capables de tout. Et ils ne savant pas ce qu'ils font. Pour leur bien, il faut les empêcher de nuire. La preuve, c'est immondes petits êtres s'expriment dans une langue bizarre incompréhensible alors que l'anglais suffit. Comme l'avait heureusement deviné une grosse anglaise de la Gazette. Vous êtes prévenu. Ce n'est pas drôle.
Message d'avertissement aux spectateurs faisant suite à un avertissement similaire venant d'un alphabètes de la Presse qui se demandait pourquoi les québécois aimaient tellement le prétendu humoriste Dieudonné alors qu'il ne fait rire personne (surtout pas lui) et s'était rendu coupable (selon lui) de nombreux crimes. Préférablement raciste. Et, pire, antisémite. Non qu'il avait tué quelqu'un ou conseillé un autre de le faire mais il utilisait de méchants mots. Et avait de vilaines idées. Et on sait que les mots blessent. Aussi durement qu'un couteau ou un fusil. Si. Si. Ils blessent. Il concluait son exercice typographique en se demandait si ce ne serait pas un autre des signes évidents du racisme typique, atavique et profond de cette ... heu!... population. Il le faisait subtilement en n'émettant pas un diagnostic aussi direct mais en alignant les éléments permettant au lecteur de se faire à l'idée. Un grand pédagogue.
Un jugement dur mais aussi sincère a déjà été fait dans le passé par son excellence Peter Elliot Trudeau. Paix à son âme.
On le sait, ces misérables petits êtres sont capables de tout. Et on n'ose imaginer ce qu'ils feraient à la suite d'un référendum gagnant. On voit tout de suite l'expropriation des gens qui auraient mal voté, l'expulsion des anglophones, le nettoyage ethnique et les camps de concentration. Les chambre à gaz. Oui, ils sont capables de tout. Et ils ne savant pas ce qu'ils font. Pour leur bien, il faut les empêcher de nuire. La preuve, c'est immondes petits êtres s'expriment dans une langue bizarre incompréhensible alors que l'anglais suffit. Comme l'avait heureusement deviné une grosse anglaise de la Gazette. Vous êtes prévenu. Ce n'est pas drôle.