mardi 19 mai 2009
471
Mais pour quel motif mobilise t-on des millions de personnes, les industries et tous les millions qui ne peuvent combattre?
Pour voler.
En temps de paix, il n'y a rien de plus désagréable que le cambriolage ou le vol de sacoche. Ce trouble à l'ordre public exige l'intervention autoritaire de la police. Et ce comportement est réprouvé et dénoncé par tout le monde, pas seulement les rares victimes.
En temps de guerre, tout le monde vole.
Et les plus grands voleurs, sont encore une fois ceux qui sont aux commandes de l'État. Et tous les industriels et financiers qui seront les seuls à profiter du carnage.
Car, anciennement, les guerriers, pirates et conquérants ordinaires pouvaient avoir leur part du butin. Ce qui assurait la fidélité des tueurse. La plus grande part allait à leur chef.
On a abandonné cette pratique que l'on réprouve et tout le butin revient à l'État vainqueur et à ses élites. Et les bandits qui ont fait tout le travail l''ont fait gratis. Ou à peu près. Ils ont un salaire, appelé «solde» qui est moins que ce que gagne le travailleur de base dans l'emploie le plus mal payé, compte tenu des heures travaillées. Sa veuve aura une pension. Pas très élevé. Et s'il revient de son aventure infirme, il aura lui-même une pension qui ne vaudra jamais la perte de ses yeux, de ses jambes ou de ses bras.
Il est donc tout à fait étrange de comprendre que l'on peut déplacer des millions d'hommes sur un seul appel. Que ces personnes qui pensent être libre et ne s'intéresser qu'à leurs propres intérêts vont risquer leur vie et leur santé pour... pour...
Pour voler.
En temps de paix, il n'y a rien de plus désagréable que le cambriolage ou le vol de sacoche. Ce trouble à l'ordre public exige l'intervention autoritaire de la police. Et ce comportement est réprouvé et dénoncé par tout le monde, pas seulement les rares victimes.
En temps de guerre, tout le monde vole.
Et les plus grands voleurs, sont encore une fois ceux qui sont aux commandes de l'État. Et tous les industriels et financiers qui seront les seuls à profiter du carnage.
Car, anciennement, les guerriers, pirates et conquérants ordinaires pouvaient avoir leur part du butin. Ce qui assurait la fidélité des tueurse. La plus grande part allait à leur chef.
On a abandonné cette pratique que l'on réprouve et tout le butin revient à l'État vainqueur et à ses élites. Et les bandits qui ont fait tout le travail l''ont fait gratis. Ou à peu près. Ils ont un salaire, appelé «solde» qui est moins que ce que gagne le travailleur de base dans l'emploie le plus mal payé, compte tenu des heures travaillées. Sa veuve aura une pension. Pas très élevé. Et s'il revient de son aventure infirme, il aura lui-même une pension qui ne vaudra jamais la perte de ses yeux, de ses jambes ou de ses bras.
Il est donc tout à fait étrange de comprendre que l'on peut déplacer des millions d'hommes sur un seul appel. Que ces personnes qui pensent être libre et ne s'intéresser qu'à leurs propres intérêts vont risquer leur vie et leur santé pour... pour...