jeudi 21 mai 2009
476
S’il y a déjà un roi en place. On le tue. On prend sa place. Et réclame ses impôts. Les fonctionnaires continuent à fonctionner. Les juges à juger. On changera quelques lois.
Si la région est mal organisée, sans pouvoir central. On le fera. Puisque le pouvoir est tout.
Il suffira aux gens de cesser d’obéir. Ou, pour commencer, de refuser d’obéir.
C’est tout prévu. On fera des lois. Si elles ne sont pas respectées. On fera un exemple. On tuera autant qu’il faut.
C’est le même principe simple qui est appliquée par la Mafia. Mais en plus timide. Aucun Mafioso n’a jamais eu l’ambition des «grands hommes» dont parlent les livres d’histoire. Tout ce qu’il veut c’est être un parasite de base et picorer un peu de tout. En tapant quelques fois et tuant un peu si on ne veut pas le laisser picorer.
Mais jamais dans toute l’histoire des mafias on n’a tué autant que dans la grande Histoire des Grands hommes.
On peut torturer aussi.
La Terreur est ce qui résume la méthode.
Une fois convenablement punis et terrorisés, les gens vont accepter leur nouveau maître et le faire vivre, lui et son armée.
Si la région est mal organisée, sans pouvoir central. On le fera. Puisque le pouvoir est tout.
Il suffira aux gens de cesser d’obéir. Ou, pour commencer, de refuser d’obéir.
C’est tout prévu. On fera des lois. Si elles ne sont pas respectées. On fera un exemple. On tuera autant qu’il faut.
C’est le même principe simple qui est appliquée par la Mafia. Mais en plus timide. Aucun Mafioso n’a jamais eu l’ambition des «grands hommes» dont parlent les livres d’histoire. Tout ce qu’il veut c’est être un parasite de base et picorer un peu de tout. En tapant quelques fois et tuant un peu si on ne veut pas le laisser picorer.
Mais jamais dans toute l’histoire des mafias on n’a tué autant que dans la grande Histoire des Grands hommes.
On peut torturer aussi.
La Terreur est ce qui résume la méthode.
Une fois convenablement punis et terrorisés, les gens vont accepter leur nouveau maître et le faire vivre, lui et son armée.