vendredi 22 mai 2009
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Le partage du butin se voit encore sous une forme plus civilisée lorsque le conseil d’administration d’une compagnie décide de se partager le fond de retraite des travailleurs ou l’$ des actionnaires ou de sacrer dehors «lockout» les employés d’un journal (au hasard, ceci pourrait arriver au journal de Montréal) pour les forcer à baisser leur salaire (dites «exigence salariale») pour que les dirigeants (et leurs épouses et maîtresses et serins aient plus à se partager).
On comprend aisément que si les employés et travailleurs se partagent une plus (trop) grande part des profits de l’entreprise, le propriétaire se sent brimé et moins motivé. De même que ses hommes de mains (cadres)(âmes damnées).
On comprend aisément que si les employés et travailleurs se partagent une plus (trop) grande part des profits de l’entreprise, le propriétaire se sent brimé et moins motivé. De même que ses hommes de mains (cadres)(âmes damnées).