vendredi 22 mai 2009
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Dans les époque passées toutes récentes, lorsque les épouses des travailleurs manifestaient avec leurs enfants dans les rues des villes pour dire qu’elles avaient faim ce qui causait un grand scandale, les ateliers fermaient, le travail ne se faisait plus, l’effet de contagion pouvait causer de grands torts. La bourgeoisie qui ne pouvaient plus circuler avec fluidité se plaignaient au gouvernement qui envoyait les cavaliers de l’armée. Avec de beaux costumes et de beaux chevaux.
Ceux-ci frappaient à coups de sabres les mécontentes jusqu’à ce qu’elles fassent moins de bruit. Les chevaux piétinaient les insoumis. On pouvait tirer aussi au canon.
Malheureusement, le droit de gérance ne permet pas aux dirigeants d’entreprise de tirer au fusil sur les ouvriers. Quoique à certaines époques récentes, on ait pu demander à la police de matraquer soigneusement les «fauteurs de trouble». Ce que les policiers ont fait avec plaisir. Il y a des documentaires intéressants sur la grève de l’amiante.
Ceux-ci frappaient à coups de sabres les mécontentes jusqu’à ce qu’elles fassent moins de bruit. Les chevaux piétinaient les insoumis. On pouvait tirer aussi au canon.
Malheureusement, le droit de gérance ne permet pas aux dirigeants d’entreprise de tirer au fusil sur les ouvriers. Quoique à certaines époques récentes, on ait pu demander à la police de matraquer soigneusement les «fauteurs de trouble». Ce que les policiers ont fait avec plaisir. Il y a des documentaires intéressants sur la grève de l’amiante.