dimanche 24 mai 2009
539
Les savants prennent les grands moyens pour parler de l’Évolution et dire qu’à partir de la «soupe primordiale» (expression naïve d’un scientifique s’essayant à la littérature et assez dégoûtante si on y pense trop. Bave. Vomis. Infection. Bouillon de culture.) a été produit ou a surgit la vie.
Ce qui aurait l’avantage de tout expliquer. Ou rien du tout. On fait comme si.
Le procédé n’a rien d’élégant mais les méthodes simples ont été décrites bien avant au grand déplaisir des savants. Par contre, les religions détestent ces complications qui troublent les fidèles.
On recommence. Avant, il n’y avait que la matière.
Et de l’énergie.
On imagine ce bon docteur Frankenstein au chevet de sa créature rapiécée avec des bouts de cadavres, reliée à des électrodes et attendant l’éclair parfait.
On affirme (pas tout à fait aussi fortement) que la matière peut donner la «vie».
Sous-entendu (mais qu’aucun savant ne fera, pas plus qu’on ne parlera de petits hommes verts ou de fantôme ou d’âme immortelle ou du cœur poétique de la jeune fille) qu’il y a déjà une vie en latence dans la matière.
Ou, pire, l’intervention d’une… heu!... personne… entité… (extra terrestre) a permis en utilisant un ou des moyens inimaginables (pour nous) de «créer» ce phénomène impossible.
Ou qu’il y a une «volonté intelligente», une «puissance vitale» qui force la réalité. Qui crée à partir de rien l’inexplicable et l’impossible et mène, inflexiblement, les êtres du plus simple au plus complexe dans des mouvements variés, lents, rapides ou précipités. Certains étant même laissés sur place restant éternellement eux-mêmes. Pourquoi pas?
Non seulement la matière et l’énergie (avec des gaz mortels : ammoniac mêlés à de l’acide sous des températures extrêmes à des pressions inouïes, le tout ayant mijoté pendant des temps… hum!... immémoriaux… incalculables…
Auraient déclenché la vie.
En aurait résulté des grumeaux, des substances molles peut être mobiles qui était déjà un peu plus que la matière maternelle ? paternelle?
On ne parle pas d’une cellule qui viendra plus tard. Le temps est avec elle puisqu’il est infini.
Puis on parle d’une cellule.
Elle «évolue». Et voilà les poissons. Et les dinosaures. Et les hommes.
Et dans l’homme, tous les organes construits d’innombrables cellules spécialisées reliées au système de contrôle du cerveau. Le tout pouvant se propager à partir de presque rien si 2 personnes de sexes différents et bien disposées se rencontrent. Et le cycle recommencera.
Et le hasard aurait fait tout ça. Ce qui est impossible.
Une succession de hasard, de petits ou de grands hasards. Pour l’Homme ou le Cosmos.
Ou une volonté ferme qui sait et voit loin.
Qui est dans les minuscules tuiles colorées et friables des ailes de papillons et dans les soleils et les galaxies.
Dont on ne connaît pas le nom.
Seule solution contre le hasard.
Mais cette volonté n’est pas pour nous. Elle crée comme un artiste des formes mobiles et «vivantes» pour s’en désintéresser aussitôt.
Chaque être existant étant prisonnier du temps n’attendant qu’à être libéré cruellement.
Il est presque préférable de ne pas y penser.
On peut aussi, prudemment, prenant la leçon des anciens sceptiques, refuser d’y penser.
Le cerveau humain n’étant pas fait pour ces sortes de pensées.
Ce qui aurait l’avantage de tout expliquer. Ou rien du tout. On fait comme si.
Le procédé n’a rien d’élégant mais les méthodes simples ont été décrites bien avant au grand déplaisir des savants. Par contre, les religions détestent ces complications qui troublent les fidèles.
On recommence. Avant, il n’y avait que la matière.
Et de l’énergie.
On imagine ce bon docteur Frankenstein au chevet de sa créature rapiécée avec des bouts de cadavres, reliée à des électrodes et attendant l’éclair parfait.
On affirme (pas tout à fait aussi fortement) que la matière peut donner la «vie».
Sous-entendu (mais qu’aucun savant ne fera, pas plus qu’on ne parlera de petits hommes verts ou de fantôme ou d’âme immortelle ou du cœur poétique de la jeune fille) qu’il y a déjà une vie en latence dans la matière.
Ou, pire, l’intervention d’une… heu!... personne… entité… (extra terrestre) a permis en utilisant un ou des moyens inimaginables (pour nous) de «créer» ce phénomène impossible.
Ou qu’il y a une «volonté intelligente», une «puissance vitale» qui force la réalité. Qui crée à partir de rien l’inexplicable et l’impossible et mène, inflexiblement, les êtres du plus simple au plus complexe dans des mouvements variés, lents, rapides ou précipités. Certains étant même laissés sur place restant éternellement eux-mêmes. Pourquoi pas?
Non seulement la matière et l’énergie (avec des gaz mortels : ammoniac mêlés à de l’acide sous des températures extrêmes à des pressions inouïes, le tout ayant mijoté pendant des temps… hum!... immémoriaux… incalculables…
Auraient déclenché la vie.
En aurait résulté des grumeaux, des substances molles peut être mobiles qui était déjà un peu plus que la matière maternelle ? paternelle?
On ne parle pas d’une cellule qui viendra plus tard. Le temps est avec elle puisqu’il est infini.
Puis on parle d’une cellule.
Elle «évolue». Et voilà les poissons. Et les dinosaures. Et les hommes.
Et dans l’homme, tous les organes construits d’innombrables cellules spécialisées reliées au système de contrôle du cerveau. Le tout pouvant se propager à partir de presque rien si 2 personnes de sexes différents et bien disposées se rencontrent. Et le cycle recommencera.
Et le hasard aurait fait tout ça. Ce qui est impossible.
Une succession de hasard, de petits ou de grands hasards. Pour l’Homme ou le Cosmos.
Ou une volonté ferme qui sait et voit loin.
Qui est dans les minuscules tuiles colorées et friables des ailes de papillons et dans les soleils et les galaxies.
Dont on ne connaît pas le nom.
Seule solution contre le hasard.
Mais cette volonté n’est pas pour nous. Elle crée comme un artiste des formes mobiles et «vivantes» pour s’en désintéresser aussitôt.
Chaque être existant étant prisonnier du temps n’attendant qu’à être libéré cruellement.
Il est presque préférable de ne pas y penser.
On peut aussi, prudemment, prenant la leçon des anciens sceptiques, refuser d’y penser.
Le cerveau humain n’étant pas fait pour ces sortes de pensées.