vendredi 22 mai 2009
512
Cette belle connivence qui nous a valu de belles cathédrales et de beaux châteaux ne pouvait durer car elle attirait la jalousie. Non seulement d’autres rois ou des sorciers de religions étrangères (Mahométants) mais des gens du peuple talentueux qui se voyait bloquer dans leur ascension sociale par tous ces héritiers de nombreux siècles d’héritages. Héritiers et pensionnés qui s’empilaient sans cesse. On ne savait même plus pour quel acte héroïque un tel avait reçu telle titre, tel territoire ou telle rente.
Travaillant fort, économes, sachant encore plus faire travailler fort d’aussi pauvres qu’eux (mais moins intelligents) ils finirent par acquérir de l’$ et des terres. $ qu’ils savaient prêter pour le faire fructifier (comme on sème une graine dans un sol fertile pour en faire sortir un beau plan plein de fruits savoureux).Il faisait «travailler» son $. Un peu comme la carotte du proverbe fait travailler l’âne.
Ils pouvaient aussi devenir propriétaire de la ferme qui avait été mise en garde si le fermier suite à une série de mauvaises récoltes n’arrivait pas à payer. Au bout de quelques générations, le prêteur et sa famille pouvaient posséder un village entier et toutes les fermes environnantes.
Ils devinrent même banquier des rois. Et propriétaires de châteaux de ducs insolvables.
Dans ces temps, on résolvait ce genre de scandale en pendant le banquier ou le prêteur sur gage ou l’usurier. Et expropriait son $ mal gagné et imprudemment exposé. On a vu ainsi avec Louis XIV et Fouquet. Ou la triste histoire des Templiers, bien avant.
Travaillant fort, économes, sachant encore plus faire travailler fort d’aussi pauvres qu’eux (mais moins intelligents) ils finirent par acquérir de l’$ et des terres. $ qu’ils savaient prêter pour le faire fructifier (comme on sème une graine dans un sol fertile pour en faire sortir un beau plan plein de fruits savoureux).Il faisait «travailler» son $. Un peu comme la carotte du proverbe fait travailler l’âne.
Ils pouvaient aussi devenir propriétaire de la ferme qui avait été mise en garde si le fermier suite à une série de mauvaises récoltes n’arrivait pas à payer. Au bout de quelques générations, le prêteur et sa famille pouvaient posséder un village entier et toutes les fermes environnantes.
Ils devinrent même banquier des rois. Et propriétaires de châteaux de ducs insolvables.
Dans ces temps, on résolvait ce genre de scandale en pendant le banquier ou le prêteur sur gage ou l’usurier. Et expropriait son $ mal gagné et imprudemment exposé. On a vu ainsi avec Louis XIV et Fouquet. Ou la triste histoire des Templiers, bien avant.