dimanche 24 mai 2009
533
Et d'une manière inexplicable pour l'esprit curieux et sceptique mais qui paraît simple et explicable pour le biologiste actuel, la vie a commencé.
En fait, le biologiste aura recours à des procédés stylistiques et littéraires communs aux philosophes allemands et français pour étendre un flou savant sur ces périodes difficiles. Ce qui évite d’avouer qu’on n’en sait rien.
On pense que ce serait une erreur, une chance, un hasard. Ou une suite de hasards si improbables que la possibilité qu’un tel enchaînement de causes et de conséquences se soit produit 2 fois, ici et ailleurs est improbable.
En une phrase, on vient de décider du sort de l’Univers.
Si une telle impossibilité s’est produite une fois, on peut tout aussi bien comprendre qu’elle aurait pu se reproduire un nombre incalculable de fois, l’Univers étant vaste. Et le temps infini.
Il va de soi que les forces en présence n’étant pas les mêmes, les formes qu’auraient pris ces «vies» (on ne sait pas ce que c’est et certaines «espèces» sont peut-être inimaginables de la part de notre esprit gélatineux.) seraient variées.
Ou, si on aime jouer à pile ou face. La probabilité d’un Univers remplis de «mondes habités» est aussi vraie ou fausse que celle qui fait de l’Homme la seule espèce vivante.
Il n’y a qu’à voir le résultat sur Terre de l’œuvre de la Nature à partir d’un peu d’énergie et de matière.
Nous ne sommes pas seuls.
Est-ce que ça vous rend heureux?
En fait, le biologiste aura recours à des procédés stylistiques et littéraires communs aux philosophes allemands et français pour étendre un flou savant sur ces périodes difficiles. Ce qui évite d’avouer qu’on n’en sait rien.
On pense que ce serait une erreur, une chance, un hasard. Ou une suite de hasards si improbables que la possibilité qu’un tel enchaînement de causes et de conséquences se soit produit 2 fois, ici et ailleurs est improbable.
En une phrase, on vient de décider du sort de l’Univers.
Si une telle impossibilité s’est produite une fois, on peut tout aussi bien comprendre qu’elle aurait pu se reproduire un nombre incalculable de fois, l’Univers étant vaste. Et le temps infini.
Il va de soi que les forces en présence n’étant pas les mêmes, les formes qu’auraient pris ces «vies» (on ne sait pas ce que c’est et certaines «espèces» sont peut-être inimaginables de la part de notre esprit gélatineux.) seraient variées.
Ou, si on aime jouer à pile ou face. La probabilité d’un Univers remplis de «mondes habités» est aussi vraie ou fausse que celle qui fait de l’Homme la seule espèce vivante.
Il n’y a qu’à voir le résultat sur Terre de l’œuvre de la Nature à partir d’un peu d’énergie et de matière.
Nous ne sommes pas seuls.
Est-ce que ça vous rend heureux?