dimanche 24 mai 2009
538
Conséquence. Si les humains actuels détruisent leur environnement et sont incapables de s'en empêcher par cupidité, bêtise, goinfrerie. Ils seront éliminés.
Le manque d’intelligence ne se pardonne pas à ce niveau. Par contre, une huître parmi son espèce éternelle se contentera de filtrer l’eau comme le font les éponges.
Il ne suffit pas d’avoir peur.
Contrairement aux menaces poétiques transmises par les militants environnementaux (qui ne sont pas des savants ni des chercheurs), l'Homme ne détruira pas la terre. Ni la Nature. À peine son environnement. S'il devient une menace - comme le lapin introduit en Australie, pays où il n'avait nul prédateur et qui se mit à proliférer bouffant toutes les plantes sur son passage comme de jolies sauterelles,- comme ces lapins, l'absence de nourriture réglera son comte. Ou une maladie nouvelle. Ou les bouleversements climatiques causés par la pollution.
Certains disent que ce qui manque à l'Homme c'est un prédateur. Super-prédateur est-il de toutes les autres espèces. Et de lui-même. Masi il ne s'attaque généralement qu'aux faibles. Et manque de constance dans la destruction. De temps en temps, régulièrement, dans une sorte de folie suicidaire, il s'offre sous forme de suicide humain collectif appelé guerre. Poussé par qui ou quoi?
Il arrivait dans l'antiquité que certains fervents d'un culte qui serait jugé aujourd'hui primitif, se castrent collectivement.
De toute façon, l'Homme ne peut pas continuer à proliférer indéfiniment. Ni à utiliser la Nature comme dépotoir ou réserve inépuisable d'ingrédients à sa disposition.
Si une telle chose est impossible, donc la Nature prendra les moyens qu'il faut pour que cette éventualité improbable ne se réalise pas.
Le manque d’intelligence ne se pardonne pas à ce niveau. Par contre, une huître parmi son espèce éternelle se contentera de filtrer l’eau comme le font les éponges.
Il ne suffit pas d’avoir peur.
Contrairement aux menaces poétiques transmises par les militants environnementaux (qui ne sont pas des savants ni des chercheurs), l'Homme ne détruira pas la terre. Ni la Nature. À peine son environnement. S'il devient une menace - comme le lapin introduit en Australie, pays où il n'avait nul prédateur et qui se mit à proliférer bouffant toutes les plantes sur son passage comme de jolies sauterelles,- comme ces lapins, l'absence de nourriture réglera son comte. Ou une maladie nouvelle. Ou les bouleversements climatiques causés par la pollution.
Certains disent que ce qui manque à l'Homme c'est un prédateur. Super-prédateur est-il de toutes les autres espèces. Et de lui-même. Masi il ne s'attaque généralement qu'aux faibles. Et manque de constance dans la destruction. De temps en temps, régulièrement, dans une sorte de folie suicidaire, il s'offre sous forme de suicide humain collectif appelé guerre. Poussé par qui ou quoi?
Il arrivait dans l'antiquité que certains fervents d'un culte qui serait jugé aujourd'hui primitif, se castrent collectivement.
De toute façon, l'Homme ne peut pas continuer à proliférer indéfiniment. Ni à utiliser la Nature comme dépotoir ou réserve inépuisable d'ingrédients à sa disposition.
Si une telle chose est impossible, donc la Nature prendra les moyens qu'il faut pour que cette éventualité improbable ne se réalise pas.