jeudi 21 mai 2009
475
Contexte. Il y a ceux d'en haut et ceux d'en bas. Il y a ceux d’en bas.
Ceux d’en haut sont peu nombreux, très très peu nombreux. Ceux d’en bas sont nombreux, innombrables, la majorité.
Si ceux d’en haut veulent commander, diriger et punir ceux d’en bas, ce n’est pas simple car ils sont tout simplement moins nombreux.
Ceux d’en bas, s’ils ne veulent pas être commandé et puni peuvent se débarrasser de ceux d’en haut comme un taureau avec sur son dos un cowboy stupide assis sur une chaise.
Mais ceux d’en haut ont toujours envie de commander à ceux d’en bas.
Pourquoi me direz-vous?
Ceux d’en bas travaillent et produisent beaucoup de choses. Choses que veulent ceux d’en haut mais sans travailler. Ils faut donc que ceux qui travaillent le leur «donnent». Ceux d’en haut, simplement, vivent aux dépens de ceux d’en bas.
En fait, ils ne pourraient pas vivre sans la «collaboration» de ceux d’en bas. Tant ils en sont dépendants.
On pourrait donner comme comparaison de divers parasites sociaux : sangsues, ténias, tiques, virus, malaria-paludisme (plus joli) plasmodium transmis par un moustique.
Le jeu est donc de convaincre ceux d’en bas d’obéir-collaborer-donner.
Vous direz : mais ils pourraient acheter ce dont ils ont besoin à ceux d’en bas?
Ils le pourraient mais en ont-ils vraiment envie? De plus, ils ne sont pas nécessairement riche puisque toute la richesse est produite par ceux d’en bas. Ce qui fait la différence est la position sociale. Ils sont en haut ou en train d’y arriver ou c’est l’unique but de leur vie. Les autres n’y pensent même pas, ils ne savent pas qu’il y a un haut et un bas et qu’eux, ils sont en bas. Situation qui se cristallise et fige dès qu’il y a quelqu’un en haut.
Mais comment font-ils, même s’ils sont en haut, pour convaincre ceux d’en bas de les faire vivre?
Se faire vivre ne suffit pas. Il faut que ce soit dans le confort, le luxe et le tout dans un palais de conte de fée.
Ce doit être encore plus difficile. Mais comment font-ils?
Depuis les derniers 10,000 ans, à peu près toujours la même méthode.
Ils tuent.
Mais personne ne dit rien.
La règle est simple. Une personne en persuade 10 et ils peuvent contrôler 100 personnes. Le salaire des 11 sera prélevé sur la part du butin après le pillage. Il y a toujours au moins 10 personnes qui trouveront que c’est une bonne idée.
Une personne avec 10 complices-âmes damnées dotés d’influence réussiront à en convaincre 100 chacun ce qui fera 1000. Avec 1000 personnes, vous pouvez piller un pays entier.
C’est le même principe qu’un vol de banque, sauf que vous garder le contenu du coffre, les coffre, l’édifice autour et que vous devenez propriétaire. Et, mieux, une fois habitué, les gens vont recommencer à venir déposer leurs économies chez vous. C’est de toute beauté.
Ceux d’en haut sont peu nombreux, très très peu nombreux. Ceux d’en bas sont nombreux, innombrables, la majorité.
Si ceux d’en haut veulent commander, diriger et punir ceux d’en bas, ce n’est pas simple car ils sont tout simplement moins nombreux.
Ceux d’en bas, s’ils ne veulent pas être commandé et puni peuvent se débarrasser de ceux d’en haut comme un taureau avec sur son dos un cowboy stupide assis sur une chaise.
Mais ceux d’en haut ont toujours envie de commander à ceux d’en bas.
Pourquoi me direz-vous?
Ceux d’en bas travaillent et produisent beaucoup de choses. Choses que veulent ceux d’en haut mais sans travailler. Ils faut donc que ceux qui travaillent le leur «donnent». Ceux d’en haut, simplement, vivent aux dépens de ceux d’en bas.
En fait, ils ne pourraient pas vivre sans la «collaboration» de ceux d’en bas. Tant ils en sont dépendants.
On pourrait donner comme comparaison de divers parasites sociaux : sangsues, ténias, tiques, virus, malaria-paludisme (plus joli) plasmodium transmis par un moustique.
Le jeu est donc de convaincre ceux d’en bas d’obéir-collaborer-donner.
Vous direz : mais ils pourraient acheter ce dont ils ont besoin à ceux d’en bas?
Ils le pourraient mais en ont-ils vraiment envie? De plus, ils ne sont pas nécessairement riche puisque toute la richesse est produite par ceux d’en bas. Ce qui fait la différence est la position sociale. Ils sont en haut ou en train d’y arriver ou c’est l’unique but de leur vie. Les autres n’y pensent même pas, ils ne savent pas qu’il y a un haut et un bas et qu’eux, ils sont en bas. Situation qui se cristallise et fige dès qu’il y a quelqu’un en haut.
Mais comment font-ils, même s’ils sont en haut, pour convaincre ceux d’en bas de les faire vivre?
Se faire vivre ne suffit pas. Il faut que ce soit dans le confort, le luxe et le tout dans un palais de conte de fée.
Ce doit être encore plus difficile. Mais comment font-ils?
Depuis les derniers 10,000 ans, à peu près toujours la même méthode.
Ils tuent.
Mais personne ne dit rien.
La règle est simple. Une personne en persuade 10 et ils peuvent contrôler 100 personnes. Le salaire des 11 sera prélevé sur la part du butin après le pillage. Il y a toujours au moins 10 personnes qui trouveront que c’est une bonne idée.
Une personne avec 10 complices-âmes damnées dotés d’influence réussiront à en convaincre 100 chacun ce qui fera 1000. Avec 1000 personnes, vous pouvez piller un pays entier.
C’est le même principe qu’un vol de banque, sauf que vous garder le contenu du coffre, les coffre, l’édifice autour et que vous devenez propriétaire. Et, mieux, une fois habitué, les gens vont recommencer à venir déposer leurs économies chez vous. C’est de toute beauté.