jeudi 23 juillet 2009
660.LES AVENTURES DE DIEU
Mourir pour une pomme?
Crucifié pour une pomme?
Crucifié pour racheter nos péchés pour une pomme?
Dieu, le père, laissant crucifier son fils pour une pomme?
L’humanité damnée jusqu'à fin des temps pour une pomme?
L'humanité, damnée pour l'éternité,depuis le premier homme jusqu'au dernier, pour une pomme?
Il faut penser quelque chose de tout ça.
Pensée no.1
Dieu est un grand malade.
Diagnostic.
Dieu est un psychopathe.
Conseil de prudence.
Cet individu est dangereux. Et probablement connu des milieux politiciers.
Ou, l'entité, l'étant, connu généralement sous le nom de «dieu»,profondément perturbé, souffre de trouble de «personnalité limite» ou «borderline». Probablement de «maniaco-dépression» comme beaucoup de personnalités connues et de vedettes. Sans compter ma truie Francine.
La maniaco-dépression qui a changé de nom souvent au cours du temps (cyclothimique) (trouble bi-polaires) pour devenir récemment pour le personnel soignant une forme de psychose.
Les personnes atteintes peuvent devenir facilement dangereuses. Elles n'ont aucune conscience de leur comportement quand elles sont en état de crise.
Et sont tout à fait asociales comme la plupart des chefs d'entreprises, des généraux et des hommes d'État.
Son dossier nous révèle une personnalité criminelle ou comme l'écrivent les journaux: un tueur né.
On sait déjà comment il s'est comporté avec Abraham. Une personnalité influencable qu'il a convaincue de sacrifier son fils pour «éprouver la sincérité de sa foi».
Le pauvre Abraham aurait vraiment assassiné son fils, si le dénommé dieu n'avait pas changé d'idée -sans doute revenu à de meilleurs sentiments ou son taux d'hormones cérébrable ayant été modifiée soudainement.
Il a donc envoyé un intermédiaire appelé «ange». Qui lui a dit que c'était une joke. Qu'il n'avait pas l'intention de le laisser faire.
Et pour le remercier, lui et ses générations, seraient ses favoris pour toujours. Malheureusement, c'est un comportement tout à fait typique de ce genre d'individus: heureux lorsque son cycle est au sommet et tout à fait dépressif, acrimonieux, méfiant et destructeur en bas de cycle.
Prochainement, pour une peccadille, il se vengerait d'Abraham. Un individu influençable comme le dit Abraham est en danger lorsqu'il entre en contact avec un manipulateur comme le dit-dieu. Et un danger pour lui-même et pour les autres. Sans compter son fils.
En fait, la famille en sera profondément atteinte, ce qui poussera même les frères d'Abraham à tenter de le tuer pour en finir par le vendre aux Égyptiens comme esclave. C'est tout à fait regrettable.
De même le dit-dieu s'est acharné sur Job. Qu'il avait auparavant comblé de ses bienfaits. Encore une fois, ce qui est tout à fait typique, comme un modus-operendi, pour «vérifier la sincérité de sa foi». S'il est un ami dans les bons moments, le sera t-il dans les mauvais? Comme on ne le sait jamais que trop tard, comme le savent tous ceux qui essaient d'emprunter de l'$. Pourquoi pas le vérifier tout de suite? Enfin, pourquoi pas? On ne le fait pas tout simplement que parce qu'on ne peut pas. Mais dieu le peut.
Il l'abandonna même à un individu encore plus louche appelé «Satan» lui permettant d'en faire tout ce qu'il lui plairait sauf le tuer.
Job se retrouva gravement malade, ruiné, méprisé par tous. Sur un tas de fumier. Les gens ordinaires voyant dans les calamités qui s'acharnaient si brutalement sur lui une forme de malédiction divine. Preuve évidente de la noirceur de son âme. Et comme ça n'apparaissait pas avant, ce n'était qu'un signe de plus de sa profonde hypocrisie.
Mais au contraire, Job était très aimé de lui et ce n'était qu'un moment d'humeur. On rirait bien ensuite.
Qu'il tue son fils n'a donc rien de surprenant. Qu'il lui ordonne de mourir non plus. Et vu le cas d'Abraham et de Job, personnalités fragiles facilement crédules dont il aime s'entourer, il est presque logique que son fils, écrasé par un telle figure paternelle, obéisse.
Il a sans doute souffert dans son enfance de la personnalité écrasante, capricieuse et castratrice de son père. Le genre de type qui se prend pour dieu.
De quoi vous faire enlever la garde de vos enfants par la DPJ. Et avoir un dossier criminel. Et ne plus pouvoir passer les douanes des USA. Et aller en prison.
Circonstance atténuante: il s'agit d'un cas de dédoublement de la personnalité. Fréquente chez les individus perturbés à tendances schizoïdes. Ces personnes croient être plusieurs personnes. Si. Si. Ou être possédés par des entités extérieures.
Ou, selon le cas, passent sans avertissement d'une identité à une autre sans en avoir conscience. Seuls le gens témoins extérieurs remarquent les modifications du comportement.
Mais l'individu en question ne garde aucun souvenir de ses passages d'un nom à un autre et reste tout à fait incrédule lorsqu'on tente de leur en faire prendre conscience.
On présume qu'un traumatisme survenu dès les premiers temps de la vie à tellement troublé la personnalité en devenir qu'elle a du se séparer d'elle-même, se créant un double fictif pour gérer la crise. Et, comme on dit, elle ne s'en est jamais remise.
Généralement, les crises graves sont inconscientes ou le deviennent. Ce qui n'est pas très clair. Elles passent à la conscience au moment de l'agir puis refont le sens inverse (ou plutôt, elles vous font agir, comme un possédé - un vrai fou- mais comme vous êtes dans un état second, vous ne vous en apercevez pas. On voit qu'il y a des nuances entre les différentes espèces de «vous».
Du moins, le «vous» habituel. En fait, «vous» n'êtes pas là. On dit alors que vous «êtes agi». L'Église parlait de «possession diabolique».
Comme ça demande beaucoup d'énergie, une fois celle-ci épuisée, le nouveau moi s'efface comme un poisson carnivore dans un banc de sable. S'il n'y a pas eu de témoins -sauf la femme violée morte- personne ne s'en souviendra. De nouveau, «honnête homme» «blanc comme neige» «le meilleur des voins».
De crise en crise, la violence augmente et, inévitablement, il y a un témoin qui ne meurt pas. Ou pas du tout de suite.
Et on pensait les avoir «oubliée». Une psychanalyse avec un bon analyste permet de les révéler.
Mais dans le pire des cas, c'est la personnalité entière que se brise ou se sépare. L'une portant le fardeau de la terrible épreuve et, écrasée sour le poids du fardeau, s'éteint ou implose. Pour réapparaître, parfois, subitement à l'occasion d'une autre crise.
Ou d'un surplus de tension. Comme lors d'un orage électrique. Ou d'une «discussion» avec «sa» femme.
On a vu aussi lors d'un augmentation de pression, sous une tension extrême alors que le sujet n'a plus aucune ressource intérieure à quoi se raccrochée (en plus d'avoir eu une enfance malheureuse sans modèle parental adéquat) le sujet explose. Il prend un fusil et va dans une école tuer des étudiantes.
Notre malade est un cas relativement rare de personnalités encore plus démultipliées. On en a déjà vu avec 7 identités différentes. Mais il s'agissait de femmes et on connait la fragilité de leur personnalité. Ici, il y en aurait 3. Selon les témoins.
Dénommé: le père, le fils et le saint-esprit. Sans doute des noms familiers donné à des notions bien connu de moi, surmoi et de ça.
La personne atteinte croit vraiment être divisée en 3. Tout en étant une. Le fait relativement rare est que cette division-unité semble connue de la personne. Alors que - on vient de le dire- souvent ceci se passe au niveau de l'inconscient ou du rêve éveillé ou de la crise psychotique ou schizophrénique.
Le Père (lui) ordonne au Saint-Esprit (lui)(l'inconscient) de demander à son fils (encore lui)
de se sacrifier.
Au fond, ça le regarde.
Que la raison officielle soit: «pour racheter les péchés des hommes» ou «le péché originel» (qu'il a lui même provoqué), ça le regarde aussi.
En fin de compte, ça se passe en famille, entre cinglés.
C'est à nous de choisir si on veut en faire parti.
On a déjà parlé de «Dieu le père» pas besoin d'en rajouter. Hannibal le Cannibale dans le Silence des Agneaux. Ça se précise.
Le Saint-Esprit, c'est un peu vague. Et une colombe c'est sympatique. Quoique les zoophiles ou les colombophiles disent que c'est un oiseau particulièrement idiot. La tourterelle est pire. Aucune mémoire. La parfaite cervelle d'oiseau. Et une intelligence très limité comparée à un oiseau ordinaire commun comme le moineau ou la corneille. Une corneille peut apprendre à tremper un biscuit particulièrement dur dans l'eau pour pouvoir le croquer. Si elle le laisse tomber dans une flaque d'eau et qu'il s'amollit par la suite, elle s'en rappelle. L'intelligence du ventre. Ou si elle voit faire une vieille corneille, elle l'imite. Une tourterelle mourra de faim à côté d'un biscuit et d'une flaque d'eau. Et si elle voit une corneille tremper le biscuit et le manger, elle ne comprendra rien de ce qui vient de se passer devant elle. Malgré tout, tout le monde préfère une colombe à une corneille. Mais, elles ne sont peut-être pas toutes pareilles. Les gens sont si méchants.
Il reste le fils. Un peu maniaco lui-aussi - il a de qui tenir- mais bien moins pire que le Père (lui). Dans le lot, c'est le plus sympathique même s'il finit mal.
Une vie de criminel, asocial, terroriste, apostat, fanatique religieux, trahi par ses complices, mis au banc de la société, rejeté par les siens - sa propre famille (frères et soeurs)- et condamné par les autorités judiciaires.
Ensuite, ça devient un peu vague.
Crucifié pour une pomme?
Crucifié pour racheter nos péchés pour une pomme?
Dieu, le père, laissant crucifier son fils pour une pomme?
L’humanité damnée jusqu'à fin des temps pour une pomme?
L'humanité, damnée pour l'éternité,depuis le premier homme jusqu'au dernier, pour une pomme?
Il faut penser quelque chose de tout ça.
Pensée no.1
Dieu est un grand malade.
Diagnostic.
Dieu est un psychopathe.
Conseil de prudence.
Cet individu est dangereux. Et probablement connu des milieux politiciers.
Ou, l'entité, l'étant, connu généralement sous le nom de «dieu»,profondément perturbé, souffre de trouble de «personnalité limite» ou «borderline». Probablement de «maniaco-dépression» comme beaucoup de personnalités connues et de vedettes. Sans compter ma truie Francine.
La maniaco-dépression qui a changé de nom souvent au cours du temps (cyclothimique) (trouble bi-polaires) pour devenir récemment pour le personnel soignant une forme de psychose.
Les personnes atteintes peuvent devenir facilement dangereuses. Elles n'ont aucune conscience de leur comportement quand elles sont en état de crise.
Et sont tout à fait asociales comme la plupart des chefs d'entreprises, des généraux et des hommes d'État.
Son dossier nous révèle une personnalité criminelle ou comme l'écrivent les journaux: un tueur né.
On sait déjà comment il s'est comporté avec Abraham. Une personnalité influencable qu'il a convaincue de sacrifier son fils pour «éprouver la sincérité de sa foi».
Le pauvre Abraham aurait vraiment assassiné son fils, si le dénommé dieu n'avait pas changé d'idée -sans doute revenu à de meilleurs sentiments ou son taux d'hormones cérébrable ayant été modifiée soudainement.
Il a donc envoyé un intermédiaire appelé «ange». Qui lui a dit que c'était une joke. Qu'il n'avait pas l'intention de le laisser faire.
Et pour le remercier, lui et ses générations, seraient ses favoris pour toujours. Malheureusement, c'est un comportement tout à fait typique de ce genre d'individus: heureux lorsque son cycle est au sommet et tout à fait dépressif, acrimonieux, méfiant et destructeur en bas de cycle.
Prochainement, pour une peccadille, il se vengerait d'Abraham. Un individu influençable comme le dit Abraham est en danger lorsqu'il entre en contact avec un manipulateur comme le dit-dieu. Et un danger pour lui-même et pour les autres. Sans compter son fils.
En fait, la famille en sera profondément atteinte, ce qui poussera même les frères d'Abraham à tenter de le tuer pour en finir par le vendre aux Égyptiens comme esclave. C'est tout à fait regrettable.
De même le dit-dieu s'est acharné sur Job. Qu'il avait auparavant comblé de ses bienfaits. Encore une fois, ce qui est tout à fait typique, comme un modus-operendi, pour «vérifier la sincérité de sa foi». S'il est un ami dans les bons moments, le sera t-il dans les mauvais? Comme on ne le sait jamais que trop tard, comme le savent tous ceux qui essaient d'emprunter de l'$. Pourquoi pas le vérifier tout de suite? Enfin, pourquoi pas? On ne le fait pas tout simplement que parce qu'on ne peut pas. Mais dieu le peut.
Il l'abandonna même à un individu encore plus louche appelé «Satan» lui permettant d'en faire tout ce qu'il lui plairait sauf le tuer.
Job se retrouva gravement malade, ruiné, méprisé par tous. Sur un tas de fumier. Les gens ordinaires voyant dans les calamités qui s'acharnaient si brutalement sur lui une forme de malédiction divine. Preuve évidente de la noirceur de son âme. Et comme ça n'apparaissait pas avant, ce n'était qu'un signe de plus de sa profonde hypocrisie.
Mais au contraire, Job était très aimé de lui et ce n'était qu'un moment d'humeur. On rirait bien ensuite.
Qu'il tue son fils n'a donc rien de surprenant. Qu'il lui ordonne de mourir non plus. Et vu le cas d'Abraham et de Job, personnalités fragiles facilement crédules dont il aime s'entourer, il est presque logique que son fils, écrasé par un telle figure paternelle, obéisse.
Il a sans doute souffert dans son enfance de la personnalité écrasante, capricieuse et castratrice de son père. Le genre de type qui se prend pour dieu.
De quoi vous faire enlever la garde de vos enfants par la DPJ. Et avoir un dossier criminel. Et ne plus pouvoir passer les douanes des USA. Et aller en prison.
Circonstance atténuante: il s'agit d'un cas de dédoublement de la personnalité. Fréquente chez les individus perturbés à tendances schizoïdes. Ces personnes croient être plusieurs personnes. Si. Si. Ou être possédés par des entités extérieures.
Ou, selon le cas, passent sans avertissement d'une identité à une autre sans en avoir conscience. Seuls le gens témoins extérieurs remarquent les modifications du comportement.
Mais l'individu en question ne garde aucun souvenir de ses passages d'un nom à un autre et reste tout à fait incrédule lorsqu'on tente de leur en faire prendre conscience.
On présume qu'un traumatisme survenu dès les premiers temps de la vie à tellement troublé la personnalité en devenir qu'elle a du se séparer d'elle-même, se créant un double fictif pour gérer la crise. Et, comme on dit, elle ne s'en est jamais remise.
Généralement, les crises graves sont inconscientes ou le deviennent. Ce qui n'est pas très clair. Elles passent à la conscience au moment de l'agir puis refont le sens inverse (ou plutôt, elles vous font agir, comme un possédé - un vrai fou- mais comme vous êtes dans un état second, vous ne vous en apercevez pas. On voit qu'il y a des nuances entre les différentes espèces de «vous».
Du moins, le «vous» habituel. En fait, «vous» n'êtes pas là. On dit alors que vous «êtes agi». L'Église parlait de «possession diabolique».
Comme ça demande beaucoup d'énergie, une fois celle-ci épuisée, le nouveau moi s'efface comme un poisson carnivore dans un banc de sable. S'il n'y a pas eu de témoins -sauf la femme violée morte- personne ne s'en souviendra. De nouveau, «honnête homme» «blanc comme neige» «le meilleur des voins».
De crise en crise, la violence augmente et, inévitablement, il y a un témoin qui ne meurt pas. Ou pas du tout de suite.
Et on pensait les avoir «oubliée». Une psychanalyse avec un bon analyste permet de les révéler.
Mais dans le pire des cas, c'est la personnalité entière que se brise ou se sépare. L'une portant le fardeau de la terrible épreuve et, écrasée sour le poids du fardeau, s'éteint ou implose. Pour réapparaître, parfois, subitement à l'occasion d'une autre crise.
Ou d'un surplus de tension. Comme lors d'un orage électrique. Ou d'une «discussion» avec «sa» femme.
On a vu aussi lors d'un augmentation de pression, sous une tension extrême alors que le sujet n'a plus aucune ressource intérieure à quoi se raccrochée (en plus d'avoir eu une enfance malheureuse sans modèle parental adéquat) le sujet explose. Il prend un fusil et va dans une école tuer des étudiantes.
Notre malade est un cas relativement rare de personnalités encore plus démultipliées. On en a déjà vu avec 7 identités différentes. Mais il s'agissait de femmes et on connait la fragilité de leur personnalité. Ici, il y en aurait 3. Selon les témoins.
Dénommé: le père, le fils et le saint-esprit. Sans doute des noms familiers donné à des notions bien connu de moi, surmoi et de ça.
La personne atteinte croit vraiment être divisée en 3. Tout en étant une. Le fait relativement rare est que cette division-unité semble connue de la personne. Alors que - on vient de le dire- souvent ceci se passe au niveau de l'inconscient ou du rêve éveillé ou de la crise psychotique ou schizophrénique.
Le Père (lui) ordonne au Saint-Esprit (lui)(l'inconscient) de demander à son fils (encore lui)
de se sacrifier.
Au fond, ça le regarde.
Que la raison officielle soit: «pour racheter les péchés des hommes» ou «le péché originel» (qu'il a lui même provoqué), ça le regarde aussi.
En fin de compte, ça se passe en famille, entre cinglés.
C'est à nous de choisir si on veut en faire parti.
On a déjà parlé de «Dieu le père» pas besoin d'en rajouter. Hannibal le Cannibale dans le Silence des Agneaux. Ça se précise.
Le Saint-Esprit, c'est un peu vague. Et une colombe c'est sympatique. Quoique les zoophiles ou les colombophiles disent que c'est un oiseau particulièrement idiot. La tourterelle est pire. Aucune mémoire. La parfaite cervelle d'oiseau. Et une intelligence très limité comparée à un oiseau ordinaire commun comme le moineau ou la corneille. Une corneille peut apprendre à tremper un biscuit particulièrement dur dans l'eau pour pouvoir le croquer. Si elle le laisse tomber dans une flaque d'eau et qu'il s'amollit par la suite, elle s'en rappelle. L'intelligence du ventre. Ou si elle voit faire une vieille corneille, elle l'imite. Une tourterelle mourra de faim à côté d'un biscuit et d'une flaque d'eau. Et si elle voit une corneille tremper le biscuit et le manger, elle ne comprendra rien de ce qui vient de se passer devant elle. Malgré tout, tout le monde préfère une colombe à une corneille. Mais, elles ne sont peut-être pas toutes pareilles. Les gens sont si méchants.
Il reste le fils. Un peu maniaco lui-aussi - il a de qui tenir- mais bien moins pire que le Père (lui). Dans le lot, c'est le plus sympathique même s'il finit mal.
Une vie de criminel, asocial, terroriste, apostat, fanatique religieux, trahi par ses complices, mis au banc de la société, rejeté par les siens - sa propre famille (frères et soeurs)- et condamné par les autorités judiciaires.
Ensuite, ça devient un peu vague.