dimanche 26 juillet 2009
716. OPINION DU PROFESSEUR BULLE SUR LE 715
Il n'y a jamais eu d'élection sur le sujet précis de la présence Canadienne (on s'en fout!) ou Québécois en Afghani.
C'était un package deal de tendance arriérée dont le menu a déplu rien qu'à l'odeur à beaucoup de gens. Mais ce qui a mordu le plus sur la classe moyenne est l'éternelle promesse de faire baisser les taxes ou les impôts ou si ce n'est pas une promesse, c'est une intention réitérée de bien faire. Quant au reste...
Derrière la facade attendent les nains jaunes bossus des prétendus catho-chrétien traditionnalistes dont la principale obsession est l'utérus des femmes. Ceci pour les militants les plus accro aux partis.
Malgré ses essais répétés le gouvernement arriérés fédéral demeure minoritaire et ne reste au pouvoir que grâce au goût du confort de l'opposition. Et au manque de jugement général qui a pu faire croire pendant de longs mois (qui ont bien servi les arriérés) que monsieur Stéphane Dion était un nouveau Trudeau. L'amour est dans l'oeil de celui qui regarde, dit-on.
Manque de jugement qui en dit long de la part de l'apprenti grand-homme qui a pu croire un instant pouvoir même être chef de parti. On ne parle même pas de chef de gouvernement ou de chef d'État.
Et c'est un prof d'université. Ce qui en dit long sur le genre de diplôme décerné et le genre de candidat qui le recoit. Et de la fabrique de diplôme en question. Amen.
Ceci pour les naïfs qui croient que nous vivons en «démocratie». On nous permet de voter de temps en temps en autant que ce soit pour les «bons» candidats et les «belles paroles». Et suffisamment de monde font ce qu'on attend d'eux pour qu'on n'ait pas besoin d'envisager de forme plus rigide de gestion de la population. Puisque c'est de ça qu'il s'agit.
Mais ce qui contrôle vraiment est le système banque-industrie militaire-ambassade US.
Pour résumer: Le Canada n'est qu'un vassal du Grand Satan voisin pour utiliser des métaphores religieuses. Comme il l'était dans le passé récent de ce qu'on appelait la Grande Bretagne ou l'Empire Britannique. Et qui n'est plus maintenant qu'une île appelée Angleterre dont on trouve encore les exploits passés dans les livres d'Histoire ancienne.
Une petite île particulièrement endettée. Dotée pourtant d'un des grands centres financiers mondiaux qui, avec New York, ont précipité le monde dans le désastre financier qui ne fait que commencer. Le désastre économique ne fait que suivre le désastre diplomatique et s'en vient le désastre environnemental.
Pour résumer: on est en Afghani parce qu'on a reçu l'ordre d'y être du nouvel Empire.
Ordre qui ne se discute pas.
Ordre qui n'avait pas besoin d'être martelé puisque les chiens de poches que constituent les chefs de gouvernements actuels: Canada (on ne parlera pas du basset québécois frisé)-Allemagne-Italie-France-Angleterre etc, sont aux ordres et en parfaite communion de pensée avec Washington. On devine et se presse avant même qu'on ait besoin d'insister.
Et il aurait fallu l'arrogance d'un Trudeau au somment de sa popularité pour oser s'opposer. Tout autre aurait plié devant les menaces commerciales et autres (en gradation constante).
Et ceux qui pensent qu'un gouvernement du PQ dans un pays appelé Québec y changera quoi que ce soit. Peut-être? Les pessimistes dont je fais parti en doutent.
Mais tout change tout le temps et l'Histoire est la mémoire vague de tout ce qui a été oubliée. Ce n'est qu'une question de temps avant que le nouvel Empire rejoigne les anciens. Il se peut qu'alors les 2 situations se déroulent parallèlement ce qui va donner plus de liberté aux uns et aux autres.
Mais quand à savoir la date de l'inévitable, polissez vos boules de cristal.
Mais on peut apprécier les efforts que fait l'Empire et ses maîtres pour s'autodétruire. Une telle constance dans la psychose a de quoi émerveiller. Mais on ne détruit pas un tel Empire en 1 jour.
Actuellement.
La situation géographique, le nombre, la richesse et la force décident de tout. Depuis toujours.
Demandez aux voisins du club de motards les Anges Souriants de Sorel ce qu'ils en pensent. Ou au conseil muncipal de Soreil.
C'était un package deal de tendance arriérée dont le menu a déplu rien qu'à l'odeur à beaucoup de gens. Mais ce qui a mordu le plus sur la classe moyenne est l'éternelle promesse de faire baisser les taxes ou les impôts ou si ce n'est pas une promesse, c'est une intention réitérée de bien faire. Quant au reste...
Derrière la facade attendent les nains jaunes bossus des prétendus catho-chrétien traditionnalistes dont la principale obsession est l'utérus des femmes. Ceci pour les militants les plus accro aux partis.
Malgré ses essais répétés le gouvernement arriérés fédéral demeure minoritaire et ne reste au pouvoir que grâce au goût du confort de l'opposition. Et au manque de jugement général qui a pu faire croire pendant de longs mois (qui ont bien servi les arriérés) que monsieur Stéphane Dion était un nouveau Trudeau. L'amour est dans l'oeil de celui qui regarde, dit-on.
Manque de jugement qui en dit long de la part de l'apprenti grand-homme qui a pu croire un instant pouvoir même être chef de parti. On ne parle même pas de chef de gouvernement ou de chef d'État.
Et c'est un prof d'université. Ce qui en dit long sur le genre de diplôme décerné et le genre de candidat qui le recoit. Et de la fabrique de diplôme en question. Amen.
Ceci pour les naïfs qui croient que nous vivons en «démocratie». On nous permet de voter de temps en temps en autant que ce soit pour les «bons» candidats et les «belles paroles». Et suffisamment de monde font ce qu'on attend d'eux pour qu'on n'ait pas besoin d'envisager de forme plus rigide de gestion de la population. Puisque c'est de ça qu'il s'agit.
Mais ce qui contrôle vraiment est le système banque-industrie militaire-ambassade US.
Pour résumer: Le Canada n'est qu'un vassal du Grand Satan voisin pour utiliser des métaphores religieuses. Comme il l'était dans le passé récent de ce qu'on appelait la Grande Bretagne ou l'Empire Britannique. Et qui n'est plus maintenant qu'une île appelée Angleterre dont on trouve encore les exploits passés dans les livres d'Histoire ancienne.
Une petite île particulièrement endettée. Dotée pourtant d'un des grands centres financiers mondiaux qui, avec New York, ont précipité le monde dans le désastre financier qui ne fait que commencer. Le désastre économique ne fait que suivre le désastre diplomatique et s'en vient le désastre environnemental.
Pour résumer: on est en Afghani parce qu'on a reçu l'ordre d'y être du nouvel Empire.
Ordre qui ne se discute pas.
Ordre qui n'avait pas besoin d'être martelé puisque les chiens de poches que constituent les chefs de gouvernements actuels: Canada (on ne parlera pas du basset québécois frisé)-Allemagne-Italie-France-Angleterre etc, sont aux ordres et en parfaite communion de pensée avec Washington. On devine et se presse avant même qu'on ait besoin d'insister.
Et il aurait fallu l'arrogance d'un Trudeau au somment de sa popularité pour oser s'opposer. Tout autre aurait plié devant les menaces commerciales et autres (en gradation constante).
Et ceux qui pensent qu'un gouvernement du PQ dans un pays appelé Québec y changera quoi que ce soit. Peut-être? Les pessimistes dont je fais parti en doutent.
Mais tout change tout le temps et l'Histoire est la mémoire vague de tout ce qui a été oubliée. Ce n'est qu'une question de temps avant que le nouvel Empire rejoigne les anciens. Il se peut qu'alors les 2 situations se déroulent parallèlement ce qui va donner plus de liberté aux uns et aux autres.
Mais quand à savoir la date de l'inévitable, polissez vos boules de cristal.
Mais on peut apprécier les efforts que fait l'Empire et ses maîtres pour s'autodétruire. Une telle constance dans la psychose a de quoi émerveiller. Mais on ne détruit pas un tel Empire en 1 jour.
Actuellement.
La situation géographique, le nombre, la richesse et la force décident de tout. Depuis toujours.
Demandez aux voisins du club de motards les Anges Souriants de Sorel ce qu'ils en pensent. Ou au conseil muncipal de Soreil.