vendredi 24 juillet 2009
669. COMMENTAIRES DU PROFESSEUR BULLE AU SUJET DU NO. 668
La civilisation avance à petit pas. Et on ne la remarque même pas. Et, malgré qu'on en pense bien du mal et en dise autant, l'hypocrisie est sa meilleure vertu. Il y a des choses que l'on trouvait tout à fait naturelle et que l'on faisait sans même y penser anciennement que l'on trouverait monstrueuse. Et auxquelles on n'ose même pas penser. Ce qui ne vaut pas dire qu'on ne fasse pas encore de choses monstrueuses pour toute les bonnes raisons possibles. Mais il y a une escalade (ou une descente dans la monstruosité) que l'on ne peut plus faire. Rien ne dit que ça ne changera pas pour le pire dans l'avenir, mais actuellement ça semble être le cas.
SOLUTION ANCIENNE
Lorsqu'une armée envahissait un pays pour le piller (voler), elle violait toutes les femmes (et parfois les hommes) qui lui tombaient sous la main, tuait tout le reste (y compris les violé(e)s). S'il y avait beaucoup de monde, il en restait encore de vivant après le premier massacre, une fois l'armée conquérante épuisée de ses combats et de la fête de sa victoire. Car l'armée victorieuse était tout de même moins nombreuse que le peuple conquis. On vendait donc les survivants comme esclave.
IL FALLAIT ENSUITE PACIFIER LE PAYS
Une arme en avait combattue une autre. L'une avait perdu. Le général gagnant tuait le roi perdant et prenait sa place ou la donnait à un de ses généraux si le pays était peu important. On distribuait les terres ennemies sans le demander à leur propriétaire perdant en récompense aux soldats. C'est ainsi que commença l'aristocratie.
Mais les communications étaient lentes avant le téléphone. Tout le monde n'était pas au courant du changement de pouvoir. Et certains n'étaient pas d'accord. Il fallait combattre encore.
Comme il s'agissait de civils, on y allait au plus pressé. L'important était de faire un exemple. Une forme d'enseignement ancienne. Si l'armée était attaquée près d'un village, on rasait le village et tuait tout le monde et brûlait tout. Après avoir violé toutes les femmes (important le viol. Pas de bonne guerre sans viol).
On pouvait décapiter tout le monde. Faire des montagnes de têtes. Qui devenaient des montagnes impressionnantes de crânes. Ou on pouvait crucifier tous les hommes. Ou les empaler. Supposant que dans le lot, il y avait des gens qui avaient attaqué lâchement (mot important) les troupes.
Si une ville refusait de se rendre, lorsqu'elle tombait enfin, on tuait tout le monde. Décapitait tout le monde. Etc.
Au début, il y avait beaucoup de villes et de villages mais, avec le temps, de moins en moins.
Parfois, on prenait des otages. Si un soldat était tué ou attaqué, on ramassait tous les gens qui étaient dans les environs pour les vendre comme esclave. Ou on les décapitait.
Parfois, si on savait compter, on tuait un homme sur 10. Ou sur 100.
Les Allemands lors de la seconde guerre mondiale, ont voulu imposer cette intéressante initiative qui a été décriée. Pourtant, c'est ainsi que s'est faites l'Histoire du monde.
Dans les années 1900, lors des combats pour l'indépendance Irlandaise qui a conduit à la libération de la moitié de ce pays, les soldats anglais étaient fatiguées d'être harcelés par les terroristes (mot à retenir) irlandais. Ils attendirent donc que la foule soit réunie dans un stade pour assister à un sport quelconque pour entrer avec des auto-mitrailleuse. Les soldats fermèrent les portes pour éviter la panique et les auto-mitrailleuses tirèrent dans la foule. Et s'arrêtèrent lorsqu'ils jugèrent qu'il y avait assez de morts pour compenser les leurs. 10 pour 1. ou 100 pour 1. ou 1000 pour 1. Personne ne les a jamais compté.
Avant, c'est ainsi que se sont faîtes les guerres indiennes aux USA. Village après village et tribus après tribus. En comptant les famines et les maladies, on établit le génocide à quelques millions de morts.
On extermina tous les habitants des îles sud-américaines pour les remplacer par des esclaves noirs. La population orginale de Cuba, Haïti, par exemple, a disparu.
Et ce n'est rien comparé à ce que les Espagnols ont fait en Amérique.
Que des méthodes aussi efficaces ne soient plus utilisées et paraissent scandaleuses de nos jours est peut-être le signe que la civilisation ou la politesse commence à entrer dans le crâne épais des singes humanoïde.
Certains disent que c'est la preuve que 2000 ans de christianisme ont agi. On n'a même plus besoin de croire ou même on se croit athée tout en agissant selon des principes moraux stricts.
Dans les temps Antiques, il était tout à fait naturel de tuer les plus faibles. La force étant le seul principe valable. Belles idées que le National-Socialisme a essayé de faire revivre mais sans succès.
CONCLUSION
La population de l'Afghanistan fait la population du Canada, une trentaine de millions. À côté, il y a le Pakistan bien plus nombreuse. Il est impossible de gagner à moins de recourir aux méthodes anciennes.
Un autre signe de civilisation, c'est que malgré qu'on puisse détruire tout le pays et exterminer tous ses habitants avec quelques bombes atomiques pour un coût minime - ce qui permettrait du point de vue écologique et environnemental de se débarrasser de vieilles bombes coûteuses à entreposer et dangereuse à la longue. Et les recycler instantanément en énergie.
Et il n'y a rien de plus périlleux que de désamorcer une bombe. Et rien de plus coûteux. Et il y a les déchats toxiques à entreposer qui demeurent nocifs pendant des millénaires. Il est donc plus simple de les faire exploser.
Au bout de 10 ans, sauf dans l'épicentre, tout va assez bien. Comme bien des pays ne voudront pas que l'expérience se fasse chez eux. Y compris des États pourtant les plus patriotes des USA, il faut donc joindre l'utile à l'agréable et les faire exploser sur des civils ennemis. Parmi lesquels se cachent des terroristes. N'oublions pas le mot «terroriste».
Et la guerre sera gagnée.
Un bon coup de balai et on verra la lumière au bout du tunnel et du choc des idées naît la lumière et pauvreté n'est pas vice.
SOLUTION ANCIENNE
Lorsqu'une armée envahissait un pays pour le piller (voler), elle violait toutes les femmes (et parfois les hommes) qui lui tombaient sous la main, tuait tout le reste (y compris les violé(e)s). S'il y avait beaucoup de monde, il en restait encore de vivant après le premier massacre, une fois l'armée conquérante épuisée de ses combats et de la fête de sa victoire. Car l'armée victorieuse était tout de même moins nombreuse que le peuple conquis. On vendait donc les survivants comme esclave.
IL FALLAIT ENSUITE PACIFIER LE PAYS
Une arme en avait combattue une autre. L'une avait perdu. Le général gagnant tuait le roi perdant et prenait sa place ou la donnait à un de ses généraux si le pays était peu important. On distribuait les terres ennemies sans le demander à leur propriétaire perdant en récompense aux soldats. C'est ainsi que commença l'aristocratie.
Mais les communications étaient lentes avant le téléphone. Tout le monde n'était pas au courant du changement de pouvoir. Et certains n'étaient pas d'accord. Il fallait combattre encore.
Comme il s'agissait de civils, on y allait au plus pressé. L'important était de faire un exemple. Une forme d'enseignement ancienne. Si l'armée était attaquée près d'un village, on rasait le village et tuait tout le monde et brûlait tout. Après avoir violé toutes les femmes (important le viol. Pas de bonne guerre sans viol).
On pouvait décapiter tout le monde. Faire des montagnes de têtes. Qui devenaient des montagnes impressionnantes de crânes. Ou on pouvait crucifier tous les hommes. Ou les empaler. Supposant que dans le lot, il y avait des gens qui avaient attaqué lâchement (mot important) les troupes.
Si une ville refusait de se rendre, lorsqu'elle tombait enfin, on tuait tout le monde. Décapitait tout le monde. Etc.
Au début, il y avait beaucoup de villes et de villages mais, avec le temps, de moins en moins.
Parfois, on prenait des otages. Si un soldat était tué ou attaqué, on ramassait tous les gens qui étaient dans les environs pour les vendre comme esclave. Ou on les décapitait.
Parfois, si on savait compter, on tuait un homme sur 10. Ou sur 100.
Les Allemands lors de la seconde guerre mondiale, ont voulu imposer cette intéressante initiative qui a été décriée. Pourtant, c'est ainsi que s'est faites l'Histoire du monde.
Dans les années 1900, lors des combats pour l'indépendance Irlandaise qui a conduit à la libération de la moitié de ce pays, les soldats anglais étaient fatiguées d'être harcelés par les terroristes (mot à retenir) irlandais. Ils attendirent donc que la foule soit réunie dans un stade pour assister à un sport quelconque pour entrer avec des auto-mitrailleuse. Les soldats fermèrent les portes pour éviter la panique et les auto-mitrailleuses tirèrent dans la foule. Et s'arrêtèrent lorsqu'ils jugèrent qu'il y avait assez de morts pour compenser les leurs. 10 pour 1. ou 100 pour 1. ou 1000 pour 1. Personne ne les a jamais compté.
Avant, c'est ainsi que se sont faîtes les guerres indiennes aux USA. Village après village et tribus après tribus. En comptant les famines et les maladies, on établit le génocide à quelques millions de morts.
On extermina tous les habitants des îles sud-américaines pour les remplacer par des esclaves noirs. La population orginale de Cuba, Haïti, par exemple, a disparu.
Et ce n'est rien comparé à ce que les Espagnols ont fait en Amérique.
Que des méthodes aussi efficaces ne soient plus utilisées et paraissent scandaleuses de nos jours est peut-être le signe que la civilisation ou la politesse commence à entrer dans le crâne épais des singes humanoïde.
Certains disent que c'est la preuve que 2000 ans de christianisme ont agi. On n'a même plus besoin de croire ou même on se croit athée tout en agissant selon des principes moraux stricts.
Dans les temps Antiques, il était tout à fait naturel de tuer les plus faibles. La force étant le seul principe valable. Belles idées que le National-Socialisme a essayé de faire revivre mais sans succès.
CONCLUSION
La population de l'Afghanistan fait la population du Canada, une trentaine de millions. À côté, il y a le Pakistan bien plus nombreuse. Il est impossible de gagner à moins de recourir aux méthodes anciennes.
Un autre signe de civilisation, c'est que malgré qu'on puisse détruire tout le pays et exterminer tous ses habitants avec quelques bombes atomiques pour un coût minime - ce qui permettrait du point de vue écologique et environnemental de se débarrasser de vieilles bombes coûteuses à entreposer et dangereuse à la longue. Et les recycler instantanément en énergie.
Et il n'y a rien de plus périlleux que de désamorcer une bombe. Et rien de plus coûteux. Et il y a les déchats toxiques à entreposer qui demeurent nocifs pendant des millénaires. Il est donc plus simple de les faire exploser.
Au bout de 10 ans, sauf dans l'épicentre, tout va assez bien. Comme bien des pays ne voudront pas que l'expérience se fasse chez eux. Y compris des États pourtant les plus patriotes des USA, il faut donc joindre l'utile à l'agréable et les faire exploser sur des civils ennemis. Parmi lesquels se cachent des terroristes. N'oublions pas le mot «terroriste».
Et la guerre sera gagnée.
Un bon coup de balai et on verra la lumière au bout du tunnel et du choc des idées naît la lumière et pauvreté n'est pas vice.