samedi 17 avril 2010
3369. QUAND BRÛLERA-T-ON LES FEMMES, CES CRÉATURES DU DÉMON?
CONTRE LES VICES CHARNELS ET L’IMPURETÉ
par Zacharias
Publié le 19 avril 2009
http://www.paperblog.fr/1829481/contre-les-vices-charnels-et-l-impurete/
À cinq ansSainteMarguerite-Marie Alacoque(1647-1690), fit, à l’insu de tous, sa première consécration à la messe ou elle prononça ces mots :
« Ô mon Dieu, je vous consacre ma pureté et vous fais vœu de perpétuelle chasteté »
Il m’apparaît judicieux de proposer, eu égard aux incroyables ravages provoqués par la licence et la décomposition des mœurs dans nos sociétés modernes, y compris dans les milieux prétendus catholiques où l’on voit aujourd’hui d’indignes littérateurs conciliaires auteurs d’abjects ouvrages blasphématoires qui sont l’objet d’une incroyable publicité, se faire les coupables avocats de la luxure et de l’orgasme, un sermon deBourdaloue (l’un des plus grands moralistes du XVIIe siècle, le plus « janséniste » des jésuites selon la formule devenue célèbre) sur « l’impureté », sermon qu’il prononça en période de carême, afin de mettre en exergue la terrible puissance séductrice d’un nocif penchant à l’impudicité charnelle qui s’est imposé hideusement à l’ensemble de nos contemporains.
En effet, le spectacle de l’immoralité est à ce point devenu courrant, que l’on ne s’étonne plus de voir des femmes, évidemment dans la plus complète nudité d’Eve, exposées dans des positions qui manifestent une rare absence de honte, tant sur les murs de nos villes que dans les magazines ou les journaux, ceci au prétexte de publicité ; sans parler des horreurs de l’érotisme et de la pornographie dans toutes les variantes de leurs diverses sous-catégories immondes, qui s’étalent de façon généralisée aux yeux de tous, et dont l’univers nauséabond et affreusement diabolique de l’internet est un extraordinaire pourvoyeur auprès des populations, y compris les plus jeunes âmes qui y trouvent à présent un terrain propice à leur perdition.
« Celui qui veut garder inviolablement la chasteté, ditsaint François de Sales, doit la confier et la mettre entre les mains de la reine des anges, et attendre tous les secours nécessaires pour surmonter les difficultés qui s'y rencontrent de sa puissante protection. Il doit se souvenir que c'est un don de Dieu, qu'il faut par suite lui demander par prières, jeûnes et autres bonnes œuvres, que c'est un don qui est accordé aux humbles, l'impureté étant la peine du vice superbe, étant certain que tôt ou tard les vains et orgueilleux tomberont dans quelque péché honteux. »
Plus que jamais, il importe donc de s’élever avec fermeté contre le venin de l’impureté, chemin effectif de réprobation, car il nous représente dès cette vie l'état des réprouvés après la mort dans la mesure où, précisément, rien ne nous expose à un danger plus certain de tomber dans l'état infernal des réprouvés, c’est-à-dire d’être éloigné et séparé de Dieu, que ce vice abject, sachant que l’impureté ouvre une voie directe, par son attraction voluptueuse, aux pires abaissements libidineux et compromissions révoltantes dont se délecte l’ennemi du genre humain pour faire chuter et perdre en permanence les faibles créatures que nous sommes, et surtout les ravir définitivement à Dieu.
Il est de la sorte, si nous voulons nous prémunir contre les redoutables pièges du démon, plus qu’utile de lire attentivement les lignes que nous laisse Bourdaloue, et d’en méditer avec un soin tout spécial le sens, afin de s’engager véritablement, en se gardant des pièges tendus par les vices charnels, dans la recherche d’un état de sainteté intérieure que le Ciel exige de chaque chrétien.
par Zacharias
Publié le 19 avril 2009
http://www.paperblog.fr/1829481/contre-les-vices-charnels-et-l-impurete/
À cinq ansSainteMarguerite-Marie Alacoque(1647-1690), fit, à l’insu de tous, sa première consécration à la messe ou elle prononça ces mots :
« Ô mon Dieu, je vous consacre ma pureté et vous fais vœu de perpétuelle chasteté »
Il m’apparaît judicieux de proposer, eu égard aux incroyables ravages provoqués par la licence et la décomposition des mœurs dans nos sociétés modernes, y compris dans les milieux prétendus catholiques où l’on voit aujourd’hui d’indignes littérateurs conciliaires auteurs d’abjects ouvrages blasphématoires qui sont l’objet d’une incroyable publicité, se faire les coupables avocats de la luxure et de l’orgasme, un sermon deBourdaloue (l’un des plus grands moralistes du XVIIe siècle, le plus « janséniste » des jésuites selon la formule devenue célèbre) sur « l’impureté », sermon qu’il prononça en période de carême, afin de mettre en exergue la terrible puissance séductrice d’un nocif penchant à l’impudicité charnelle qui s’est imposé hideusement à l’ensemble de nos contemporains.
En effet, le spectacle de l’immoralité est à ce point devenu courrant, que l’on ne s’étonne plus de voir des femmes, évidemment dans la plus complète nudité d’Eve, exposées dans des positions qui manifestent une rare absence de honte, tant sur les murs de nos villes que dans les magazines ou les journaux, ceci au prétexte de publicité ; sans parler des horreurs de l’érotisme et de la pornographie dans toutes les variantes de leurs diverses sous-catégories immondes, qui s’étalent de façon généralisée aux yeux de tous, et dont l’univers nauséabond et affreusement diabolique de l’internet est un extraordinaire pourvoyeur auprès des populations, y compris les plus jeunes âmes qui y trouvent à présent un terrain propice à leur perdition.
« Celui qui veut garder inviolablement la chasteté, ditsaint François de Sales, doit la confier et la mettre entre les mains de la reine des anges, et attendre tous les secours nécessaires pour surmonter les difficultés qui s'y rencontrent de sa puissante protection. Il doit se souvenir que c'est un don de Dieu, qu'il faut par suite lui demander par prières, jeûnes et autres bonnes œuvres, que c'est un don qui est accordé aux humbles, l'impureté étant la peine du vice superbe, étant certain que tôt ou tard les vains et orgueilleux tomberont dans quelque péché honteux. »
Plus que jamais, il importe donc de s’élever avec fermeté contre le venin de l’impureté, chemin effectif de réprobation, car il nous représente dès cette vie l'état des réprouvés après la mort dans la mesure où, précisément, rien ne nous expose à un danger plus certain de tomber dans l'état infernal des réprouvés, c’est-à-dire d’être éloigné et séparé de Dieu, que ce vice abject, sachant que l’impureté ouvre une voie directe, par son attraction voluptueuse, aux pires abaissements libidineux et compromissions révoltantes dont se délecte l’ennemi du genre humain pour faire chuter et perdre en permanence les faibles créatures que nous sommes, et surtout les ravir définitivement à Dieu.
Il est de la sorte, si nous voulons nous prémunir contre les redoutables pièges du démon, plus qu’utile de lire attentivement les lignes que nous laisse Bourdaloue, et d’en méditer avec un soin tout spécial le sens, afin de s’engager véritablement, en se gardant des pièges tendus par les vices charnels, dans la recherche d’un état de sainteté intérieure que le Ciel exige de chaque chrétien.
DOUTEUR. PROFESSEUR BULLE. HENRY DICKSON
Sur l'impureté