lundi 3 août 2009
783. LU
C'est avantageux pour un gouvernement et pour le législatif de ne pas déclarer la guerre car tout les députés sont protégés en cas de pépin :
Wikipédia.
"Ne pas déclarer la guerre permet, par certains aspects, de contourner les garanties constitutionnelles contre les guerres réellement déclarées, et également, dans certains cas, d'éviter de se sentir entravé par les lois de la guerre reconnues internationalement.
[Ce qui permet d'utiliser la torture ou d'emprisonner dans des camps de concentration ou des prisons secrètes des individus bizarres appelés soudainement tout aussi bizarrement «ennemis combattants» qui ne sont pas des soldats d'une armée ennemie en guerre avec qui on doit respecter certaines conventions des lois de la guerre -Conventions de Genève- pour, au moins, ne pas apparaître comme des nazis qui ont, selon certains, mauvaises réputations et que l'on a d'ailleurs sévèrement critiqués et, parfois, condamnés au Tribunal de Nuremberg. Pour différentes raisons et armi celles-ci l'un des crimes les plus graves - dit: crime contre l'humanité-agression armée contre un pays sans déclaration de guerrre ou déclaration de guerre sans provocation, crimes dont on accusait les nazis et qui a valu la pendaison à certains responsables. Comme lors d'un différent entre individus, il y a légitime défense lorsque l'autre attaque le premier. On ne peut pas se «défendre» préventivement. Sous prétexte qu'un jour, quelqu'un pourrait avoir envie de nous en vouloir. Raison que l'on utilise pour menacer l'Iran. Crime perpétré dans la béhatitude de tous lors de l'invasion en Irak. La deuxième. Même si la première ne valait pas mieux, elle avait au moins des prétextes bénisseurs. À quand la mise en accusation du trimuvirat Bush-Cheney-Rumsfield ?]
De plus, en évitant une validation par les chambres, le corps législatif se sent libéré de ce fardeau qu'il confie à l'exécutif seul.
De fait, si la guerre se déroule mal, la colère de l'opinion publique ne sera dirigée qu'à l'encontre de l'exécutif et non contre le législatif.
Ne pas utiliser le mot "guerre" est également un moyen de ne pas choquer dans les relations publiques.
Pour l'ensemble de ces raisons, les gouvernements ont généralement cessé de produire des déclarations de guerre, faisant plutôt usage d'euphémismes comme "actions de police" ou encore "usage autorisé de la force"." [Mission de «maintien de la paix» ou «civilisatrice» ou «maintien de la démocratie» ou quand il n'y en a pas encore «mission d'établissement de la démocratie. Tout cela est beau.]
La manipulation des mots est importante : le souci des députés n'est pas la sécurité des soldats mais leur réélection sans trop de dégât.
Wikipédia.
"Ne pas déclarer la guerre permet, par certains aspects, de contourner les garanties constitutionnelles contre les guerres réellement déclarées, et également, dans certains cas, d'éviter de se sentir entravé par les lois de la guerre reconnues internationalement.
[Ce qui permet d'utiliser la torture ou d'emprisonner dans des camps de concentration ou des prisons secrètes des individus bizarres appelés soudainement tout aussi bizarrement «ennemis combattants» qui ne sont pas des soldats d'une armée ennemie en guerre avec qui on doit respecter certaines conventions des lois de la guerre -Conventions de Genève- pour, au moins, ne pas apparaître comme des nazis qui ont, selon certains, mauvaises réputations et que l'on a d'ailleurs sévèrement critiqués et, parfois, condamnés au Tribunal de Nuremberg. Pour différentes raisons et armi celles-ci l'un des crimes les plus graves - dit: crime contre l'humanité-agression armée contre un pays sans déclaration de guerrre ou déclaration de guerre sans provocation, crimes dont on accusait les nazis et qui a valu la pendaison à certains responsables. Comme lors d'un différent entre individus, il y a légitime défense lorsque l'autre attaque le premier. On ne peut pas se «défendre» préventivement. Sous prétexte qu'un jour, quelqu'un pourrait avoir envie de nous en vouloir. Raison que l'on utilise pour menacer l'Iran. Crime perpétré dans la béhatitude de tous lors de l'invasion en Irak. La deuxième. Même si la première ne valait pas mieux, elle avait au moins des prétextes bénisseurs. À quand la mise en accusation du trimuvirat Bush-Cheney-Rumsfield ?]
De plus, en évitant une validation par les chambres, le corps législatif se sent libéré de ce fardeau qu'il confie à l'exécutif seul.
De fait, si la guerre se déroule mal, la colère de l'opinion publique ne sera dirigée qu'à l'encontre de l'exécutif et non contre le législatif.
Ne pas utiliser le mot "guerre" est également un moyen de ne pas choquer dans les relations publiques.
Pour l'ensemble de ces raisons, les gouvernements ont généralement cessé de produire des déclarations de guerre, faisant plutôt usage d'euphémismes comme "actions de police" ou encore "usage autorisé de la force"." [Mission de «maintien de la paix» ou «civilisatrice» ou «maintien de la démocratie» ou quand il n'y en a pas encore «mission d'établissement de la démocratie. Tout cela est beau.]
La manipulation des mots est importante : le souci des députés n'est pas la sécurité des soldats mais leur réélection sans trop de dégât.