DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mardi 20 octobre 2009

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SOUDAN : AMNESTY INTERNATIONAL DEMANDE LE RETRAIT DE LA LOI PÉNALISANT LE PORT DE PANTALON PAR LES FEMMES

L'ancienne journaliste Lubna Hussein quitte le café de Khartoum où elle a été interpellée parce qu'elle portait un pantalon

4 septembre 2009
http://www.amnesty.org/fr/news-and-updates/news/amnesty-international-sudan-repeal-law-penalizing-women-wearing-trousers-20090904

Alors que doit reprendre lundi 7 septembre à Khartoum le procès de Lubna Hussein, journaliste soudanaise jugée pour avoir porté un pantalon, Amnesty International a appelé le gouvernement soudanais à annuler les charges retenues contre cette femme et à abroger la loi utilisée pour justifier la condamnation de femmes à être fouettées pour avoir porté des vêtements considérés comme « indécents ».

« La manière dont cette loi a été utilisée contre des femmes est inacceptable et la peine prévue par la loi, qui peut aller jusqu'à 40 coups de fouet, est révoltante », a déclaré Tawanda Hondora, directeur adjoint du programme Afrique d'Amnesty International.

L'article 152 du Code pénal soudanais de 1991 prévoit, en résumé, qu'une personne qui commet un acte « indécent » ou porte des vêtements « indécents » peut être punie d'une peine de 40 coups de fouet au maximum, ou d'une peine d'amende, ou des deux.

« La loi est rédigée de telle façon qu'il est impossible de déterminer ce qui est décent ou indécent, a déclaré Tawanda Hondora.

Cela a pour effet que régulièrement des femmes sont arrêtées, détenues, jugées, condamnées et fouettées simplement parce que des policiers n'étaient pas d'accord avec la façon dont elles étaient habillées.

La loi est également discriminatoire, dans le sens où elle est utilisée de manière disproportionnée contre les femmes. »

En 2003, la Commission africaine a demandé au Soudan de modifier l'article 152, en invoquant le fait que les peines de fouet s'apparentaient à des actes de torture cautionnés par l'État ; huit femmes avaient porté plainte contre le gouvernement soudanais après avoir été arrêtées pour avoir pique-niqué en public avec des amis parmi lesquels se trouvaient des hommes.

Ces femmes avaient été fouettées avec un câble et un fouet en plastique qui leur auraient laissé des cicatrices permanentes.

Le gouvernement n'a rien fait pour modifier la loi depuis la décision de la Commission.

« Nul ne devrait être fouetté, a déclaré Tawanda Hondora. Il s'agit d'un traitement cruel, inhumain et dégradant qui bafoue le droit international et les normes communes de dignité humaine. »