«Le gouvernement Harper indique que leurs demandes pourraient être irrecevables parce que « la désertion est une offense au Canada » en vertu de la Loi sur la défense nationale.
Les personnes qui contreviennent à cette loi risquent l'emprisonnement à vie, précise la directive. »
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2010/08/04/001-deserteurs-immigration.shtml
Un moment de méditation.
Souvenons-nous qu'il y a eu 2 guerres mondiales dans le siècle dernier qui s'est terminé il y a 10 ans. Et que pour chacune de ces guerres, malgré les promesses des partis politiques du moment (il s'est écoulé 30 ans entre les 2), le parti politique au pouvoir une fois au pouvoir les ont aussitôt niées. Promesse de ne pas faire de conscription. Que l'engagement soit volontaire si guerre il y avait. On gardait les choses dans le flou, il se pouvait qu'il n'y ait pas de guerre malgré que les choses étaient décidées depuis longtemps.
Pour les jeunes âmes pures et naïves de 50 ans - il y a plus de 60 ans depuis la dernière guerre- la conscription veut dire l'enrôlement forcé de tous les jeunes hommes dans l'armée.
Il y a un petit détail que les amateurs de liberté oublie ou ignore, c'est que l'État en plus des taxes, amandes et impôts obligatoire a le droit à l'impôt du sang. Chaque famille devant lui remettre ses jeunes mâles.
Une sorte de droit de cuissage comme on a parle au sujet du Moyen-Âge. Mais au lieu de déflorer les jeunes vierges (termes archaïques) on kidnappe des jeunes hommes (ou pas si jeunes puisque ça va jusqu'à la mi-quarantaine) pour en faire des tueurs.
Gare à ceux qui refusent ce devoir sacré de périr pour leur patrie en la défendant. Ou en attaquant qui on lui aura désigné.
Une fois que l'État aura décidé que vous faites parti de son menu, n'attendez aucune pitié. Et les supposés intellectuels, journalistes qui parlent tant de liberté seront les premiers à partir à encourager le massacre. Celui des ennemis de l'État ailleurs ou ici.
N'ayant rien fait de mal, on découvrira un nouveau crimée spécialement mitonné pour vous. Crime avec sentence et peine. On ne vous ratera pas.
Vous aurez le même statut qu'un assassin évadé de prison. La police sera à vos trousse. Vos voisins vous dénonceront. Le curé attirera les malédictions de Dieu et du Diable sur vous.
Et si on vous mêt finalement la main au collet, on vous enverra d'abord dans un camps de concentration pour vous mettre au pas. Et si vous n'êtes pas mort ensuite, on vous enverra en première ligne au front. Avec les mauvaises têtes. Vous aurez donc la chance de mourir rapidement pour votre «patrie» qui vous aura trahi sans aucune pitié. Ou de devenir infirme pour cette grosse vache.
Il est bon de temps en temps que le POUVOIR oublie sa réserve. Actuellement, on ne vise que les fuyards US qui voudraient devenir citoyens canadiens. Leur guerre ne nous intéresse pas même si on participe dans une des leurs (avec des volontaires employés du ministère) mais on devrait les considérer comme des criminels.
Déserteur désigne un criminel.
Les travailleurs du crime canadien à l'emploie de l'armée devrait être prudent. Si tout à coup, ils n'ont plus tellement envie de cet ouvrage, on s'occupera d'eux.
Et il est bon de se souvenir que les États ne laissent pas toujours le choix de leurs sujets. Comme au bon temps des rois.
Et que chaque comportement a été prévu avec récompense et punitions.
Et que si vous désobéissez vous serez traités comme des traîtres.
Si vous allez vous battre pour les riches du pays afin qu'ils conservent leur $, n'attendez aucune autre récompense que la médaille que l'on donne au chien. Et, encore, on ne la donne pas à tout le monde. Il faut avoir sérieusement risqué sa vie - plus que tous les autres- et qu'un officier vous aime bien pour l'avoir.
On oublie vite les traditions millénaires. Il y a bien pire que l'impôt. Il y a les sacrifices humains. Tout état est cannibale par essence. Il se nourrit de sang comme les divinités Aztèques.
Et lors de ces messes de sang grandiose (toujours historiques), l'État fait ses offrandes à des Dieux mystérieux dont le culte n'est partagé que par quelques grands hommes. Et les sacrifiés indispensables se comptent par millions. Se soustraient, si on veut être précis.
On ne compte pas les femmes inutiles et les enfants sans intérêts qu'on aura réduit en confiture rouge sang à coups de bombes.
On peut les cuire à la flamme ou au micro-onde.
Nous ne parlons ici que des hommes qui ont le «choix» très relatif de refuser de mourir. Les autres que l'on bombardera auront seulement la chance que la bombe écrase leurs voisins.
Le professeur Bulle ayant fort médité va aller se saouler.
Les personnes qui contreviennent à cette loi risquent l'emprisonnement à vie, précise la directive. »
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2010/08/04/001-deserteurs-immigration.shtml
Un moment de méditation.
Souvenons-nous qu'il y a eu 2 guerres mondiales dans le siècle dernier qui s'est terminé il y a 10 ans. Et que pour chacune de ces guerres, malgré les promesses des partis politiques du moment (il s'est écoulé 30 ans entre les 2), le parti politique au pouvoir une fois au pouvoir les ont aussitôt niées. Promesse de ne pas faire de conscription. Que l'engagement soit volontaire si guerre il y avait. On gardait les choses dans le flou, il se pouvait qu'il n'y ait pas de guerre malgré que les choses étaient décidées depuis longtemps.
Pour les jeunes âmes pures et naïves de 50 ans - il y a plus de 60 ans depuis la dernière guerre- la conscription veut dire l'enrôlement forcé de tous les jeunes hommes dans l'armée.
Il y a un petit détail que les amateurs de liberté oublie ou ignore, c'est que l'État en plus des taxes, amandes et impôts obligatoire a le droit à l'impôt du sang. Chaque famille devant lui remettre ses jeunes mâles.
Une sorte de droit de cuissage comme on a parle au sujet du Moyen-Âge. Mais au lieu de déflorer les jeunes vierges (termes archaïques) on kidnappe des jeunes hommes (ou pas si jeunes puisque ça va jusqu'à la mi-quarantaine) pour en faire des tueurs.
Gare à ceux qui refusent ce devoir sacré de périr pour leur patrie en la défendant. Ou en attaquant qui on lui aura désigné.
Une fois que l'État aura décidé que vous faites parti de son menu, n'attendez aucune pitié. Et les supposés intellectuels, journalistes qui parlent tant de liberté seront les premiers à partir à encourager le massacre. Celui des ennemis de l'État ailleurs ou ici.
N'ayant rien fait de mal, on découvrira un nouveau crimée spécialement mitonné pour vous. Crime avec sentence et peine. On ne vous ratera pas.
Vous aurez le même statut qu'un assassin évadé de prison. La police sera à vos trousse. Vos voisins vous dénonceront. Le curé attirera les malédictions de Dieu et du Diable sur vous.
Et si on vous mêt finalement la main au collet, on vous enverra d'abord dans un camps de concentration pour vous mettre au pas. Et si vous n'êtes pas mort ensuite, on vous enverra en première ligne au front. Avec les mauvaises têtes. Vous aurez donc la chance de mourir rapidement pour votre «patrie» qui vous aura trahi sans aucune pitié. Ou de devenir infirme pour cette grosse vache.
Il est bon de temps en temps que le POUVOIR oublie sa réserve. Actuellement, on ne vise que les fuyards US qui voudraient devenir citoyens canadiens. Leur guerre ne nous intéresse pas même si on participe dans une des leurs (avec des volontaires employés du ministère) mais on devrait les considérer comme des criminels.
Déserteur désigne un criminel.
Les travailleurs du crime canadien à l'emploie de l'armée devrait être prudent. Si tout à coup, ils n'ont plus tellement envie de cet ouvrage, on s'occupera d'eux.
Et il est bon de se souvenir que les États ne laissent pas toujours le choix de leurs sujets. Comme au bon temps des rois.
Et que chaque comportement a été prévu avec récompense et punitions.
Et que si vous désobéissez vous serez traités comme des traîtres.
Si vous allez vous battre pour les riches du pays afin qu'ils conservent leur $, n'attendez aucune autre récompense que la médaille que l'on donne au chien. Et, encore, on ne la donne pas à tout le monde. Il faut avoir sérieusement risqué sa vie - plus que tous les autres- et qu'un officier vous aime bien pour l'avoir.
On oublie vite les traditions millénaires. Il y a bien pire que l'impôt. Il y a les sacrifices humains. Tout état est cannibale par essence. Il se nourrit de sang comme les divinités Aztèques.
Et lors de ces messes de sang grandiose (toujours historiques), l'État fait ses offrandes à des Dieux mystérieux dont le culte n'est partagé que par quelques grands hommes. Et les sacrifiés indispensables se comptent par millions. Se soustraient, si on veut être précis.
On ne compte pas les femmes inutiles et les enfants sans intérêts qu'on aura réduit en confiture rouge sang à coups de bombes.
On peut les cuire à la flamme ou au micro-onde.
Nous ne parlons ici que des hommes qui ont le «choix» très relatif de refuser de mourir. Les autres que l'on bombardera auront seulement la chance que la bombe écrase leurs voisins.
Le professeur Bulle ayant fort médité va aller se saouler.
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Image. Konk
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