mercredi 18 août 2010
4312. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE LA SOUDAINE POLITESSE DES «TALIBANS»
Chacun a ses petits secrets. Il va de soi que parmi les «pertes civiles» sur laquelle veulent enquêter conjointement les Talibans et associés, on ne comptera pas les personnes punies légitiment peur leurs péchés. Les Otaniniens comme le dit si bien l'agence Russe Novosti ne veulent pas non plus qu'on enquête sur les assassasinés ciblés modèles Israéliens faits par les spécialistes des agences privées qui ne sont tenus à aucune règle de combat particulière sauf l'efficacité. Et de ce point de vue, on a dépassé le simple artisanat mafieux avec le profilage technologique et social qui permet aux drones (avions miniatures téléguidés) de ne plus s'embarrasser de chasser une cible particulière mais compte tenu des info sur les déplacements, les appels téléphoniques, les relations généalogiques, on définit un profil social et géographique et on tire du haut des airs à l'endroit où pourrait se trouver la cible désignée. Bonjour les dégâts. Et il est trop tôt pour avoir des considérations pour l'ennemi du moment et en faire un interlocuteur valable.
Si on compte les morts Otaniens mais pas les blessés - ce qui pourrait être embarrassant. On ne compte ni les morts ni les blessés Afghans. Depuis une décennie. Le chiffre «officiel» est fantaisiste. Depuis les premiers carnages jusqu'aux présents, il doit y avoir 100,000 morts facile. Quant aux blessés, étant donné le niveau technologique médical local qui est celui de l'Afrique où une aspirine par patient est un progrès appréciable, la durée de survie des amochés doit être assez brève. Aussi on ne prend pas la peine de les compter.
La guerre est une boucherie.
Et ceux qui la font des bouchers.
Si on compte les morts Otaniens mais pas les blessés - ce qui pourrait être embarrassant. On ne compte ni les morts ni les blessés Afghans. Depuis une décennie. Le chiffre «officiel» est fantaisiste. Depuis les premiers carnages jusqu'aux présents, il doit y avoir 100,000 morts facile. Quant aux blessés, étant donné le niveau technologique médical local qui est celui de l'Afrique où une aspirine par patient est un progrès appréciable, la durée de survie des amochés doit être assez brève. Aussi on ne prend pas la peine de les compter.
La guerre est une boucherie.
Et ceux qui la font des bouchers.