DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

dimanche 29 août 2010

4373. COMMENTAIRES DU PEUPLE. COMMISSION B

1

Un problème politique majeur

Jean Charest a eu raison d'intervenir après cette première journée d'audience. Comme d'habitude il abuse de son pouvoir et il est très agréable de le voir se débattre comme un diable paniqué dans l'eau bénite. Plus on le voit, plus il parle, plus il se démène, plus il se cale. Il devrait intervenir encore davantage pour accélérer son inévitable chute et faire en sorte qu'on soit débarassé de lui le plus rapidement possible. J'en ai marre de ce beau parleur qui a réussi à faire disparaître tous les ministres les plus apparemment honnêtes autour de lui. Il ne reste dans son entourage que les fidèles suiveux aveugles, ses disciples démesurément admiratifs de la première heure, envoutés par ses belles paroles d'avocat manipulateur.

Fidèle à son habitude, Jean Charest joue sur les mots. Que nous a-t-il dit hier? Il fait dire des choses à Marc Bellemare, des choses que celui-ci n'a jamais dit, pour pouvoir ensuite les nier fermement.

"Je ne suis pas un ami ou un proche de Franco Fava". Marc Bellemare n'a jamais dit que Jean Charest était un ami ou un proche de Franco Fava. Il a dit simplement que Franco Fava se vantait d'être un ami et un proche de Jean Charest. Ce n'est pas du tout la même chose. Jean Charest n'a pas d'ami. Il n'a que sa cour admirative d'inconditionnels aveugles, des collaborateurs-manipulateurs, des collègues de travail et de magouille, des colleux opportunistes qui disparaîtront lorsqu'il ne sera plus au pouvoir et des gens avec qui il fait affaire, des gens qui l'arrosent et qu'il arrose en retour. Jean Charest a également dit qu'il n'avait jamais reçu Franco Fava dans son bureau. Je ne me souviens pas avoir déjà entendu Marc Bellemare affirmer que Jean Charest avait déjà reçu Franco Fava dans son bureau. Jean Charest dit aussi que Franco Fava n'a pas d'accès privilégié au premier ministre. Encore là Marc Bellemare n'a jamais affirmé, à ce que je sache, que Franco Fava avait cet accès privilégié. Il a peut-être, tout au plus, laisser entendre que Franco Fava affirmait avoir cet accès privilégié. Même chose quand Jean Charest nie que Marc Bellemare lui ait déjà parlé de "pressions indûes". Peut-être que Marc Bellemare n'a jamais utilisé l'expression "pressions indûes" en présence de son premier ministre mais il semble bien lui avoir parlé de demandes insistantes, répétitives ou dérangeantes de la part de certains collecteurs de fonds pour le PLQ. Jean Charest fait dire des choses à Marc Bellemare, des choses que Marc Bellemare n'a jamais dit, il déforme ses propos pour mieux pouvoir les nier par la suite et pouvoir dire que Marc Bellemare ment. C'est là un travers agaçant chez un avocat manipulateur et un politicien de la pire espèce comme Jean Charest.

Je n'ai aucune confiance en Jean Charest alors que je ne vois pas pourquoi Marc Bellemare inventerait ces histoires et tous ces détails. Pourquoi se mettre dans un tel trouble quand ce n'est pas nécessaire. Il serait temps que les électeurs québécois qui sont encore un tant soit peu intelligents apprennent à faire la différence entre un politicien opportuniste et carriériste et un politicien qui s'investit dans le but d'aider la population, comme a tenté de le faire Marc Bellemare. Ceux qui affirment que Marc Bellemare veut simplement se venger parce qu'il n'a pas réussi à faire abandonner le "No Fault" devrait se rappeler que cet engagement en était un du PLQ au grand complet lors des élections de 2003. Tout le monde devrait en vouloir à un gouvernement qui ne respectent pas ses engagements, même si on n'est pas d'accord avec ces engagements. Ceux qui ne comprennent pas pourquoi Marc Bellemare a attendu tout ce temps pour parler devraient comprendre que Marc Bellemare n'avait pas intérêt à parler plus tôt. Ceux qui se demandent pourquoi il n'a pas parlé à son entourage immédiat pour avoir des témoins éventuels devraient penser au sacro-saint secret ministériel. S'il avait parlé à son entourage on lui rerocherait maintenant d'avoir briser ce secret.

Jean Charest n'avait pas à répondre aux allégations de Marc Bellemare comme il l'a fait hier. Il n'a qu'à attendre son tour et répondre devant la commission qu'il a créé et dont il a définit tous les contours. Est-ce que Monsieur Bellemare a convoqué une conférence de presse pour répondre à son tour aux propos tenus hier par Jean Charest? Quand on dit la vérité on n'a pas à faire des sorties publiques en panique comme l'a fait Jean Charest hier. Ce dernier ne reproduira peut-être pas la même erreur deux fois. Eh non! Il va plutôt envoyer un de ses acolytes à chaque jour pour faire cette sale job de tentative de récupération. Aujourd'hui ce sera Denis Roy.

Comment croire un premier ministre qui nous ment sur son nom depuis le début, un premier ministre qui nous cache une partie de ses revenus, des revenus provenant de son parti et donc probablement de quelques gros donateurs intéressés, un premier ministre qui nous avait promis de solutionner les problèmes dans le système de santé en quelques mois et un premier ministre qui a les deux mains sur le volant d'une voiture dont il ne nous a pas dit que les quatre pneus étaient "à terre" et que le réservoir d'essence était à sec?

Qu'il sacre son camp au plus sacrant, avec sa bande de suiveux inconditionnels. Envoyons le PLQ au purgatoire pour au moins une génération... Paolo Mitriou

2

Ce qu'il y a de plus remarquable, dans cette histoire, est que les deux disent la vérité. M. Bellemare dit, à sa façon, la vérité, et M. Charest joue sur les mots.

M. Charest affirme qu'il n'y a pas eu d'influence indue. Ce qui porte à penser qu'il y a eu influence, mais que pour M. Charest cette influence n'était pas indue. Elle était normale, selon les règles. C'est ainsi que j'ai compris le message de M. Charest. Rien à signaler. Situation normale. On nous demande de nommer des amis et on nomme des amis, comme d'habitude.

M. Charest dit la vérité, et M. Bellemare dit la vérité. Pour M. Charest, il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Pour M. Bellemare, c'est l'occasion de se venger pour des raisons qui sont siennes et inavouables.(…)

3

Ce n'est pas facile d'avoir les deux mains sur le volant si la majeure partie des gens croient qu'elles sont sales, maladroites et très baladeuses.

4

Qui a commencé le jeu?

Qui a rapatrier la Constitution avec Pierre Elliott Trudeau pour mieux ensuite denigrer celle-ci pendant 13 ans ?

Si les québécois sont trop solidaires, on les traite de fanatiques.

Si ils sont sceptiques ou critiques, on les accuse d'être cyniques.

Si ils sont en colère face au PLQ, on dit que toute la classe politique est en crise.

Si on blame certains politiciens d'abuser de leur pouvoir, vous êtes un pauvre naif ou un dangereux anarchiste qui remet en question la démocratie au grand complet.

Super.

Un pot de vin avec ça ?

5

« Fidèle à son habitude, Jean Charest joue sur les mots. »

Ainsi, Monsieur Charest a dit qu'il reçoit 75 000 $ par année de son parti.

Est-ce qu'il a dit que c'est tout ce qu'il reçoit?

Par exemple, s'il recevait en réalité 100 000 $, il ne mentirait pas en disant, en bon jésuite, qu'il reçoit 75 000 $.

Est-il vrai que M. Charest a reçu des sommes colossales pour quitter les conservateurs à Ottawa pour venir diriger les libéraux au Québec? Si oui, est-ce que ces sommes ont été déclarées au fisc?

On aimerait savoir.

Monsieur Charest aura-t-il le courage de dévoiler ses rapports d'impôt?

6

Marc Bellemare dit vrai, en partie. Ce n'est qu'un secret de polichinelle que les gouvernements «placent leur monde». Jean charest dit vrai, il n'a pas été sous une influence «indue».

Marc Bellemare ment: il n'est pas venu en politique pour quelques dossiers, et il est loin d'être blanc comme neige. Il a activement participé à la nomination argentière de certains juges. Et il l'a fait comme tous les ministres qui ne connaissent pas la poutine: en étant placé devant le fait accompli.

Jen Charest ment, aussi. Abondamment, sur tout plein de sujets. Mais c'est un homme loyal, serviable et un bon soldat. Il est la tête publique de quelque chose de bien plus gros que lui.

Il connaît la poutine. Il sait ce qu'elle goûte. Et il le rôle ingrat d'appliquer les directive du parti.

Un parti politique est une organisation délirante, nuisible pour la démocratie: car dans un parti, comme partout ailleurs, tout s'achète. Et tout a un prix. Carrières, titres, prestige, contrats... tout s'achète. Marc Belleamare est un type malheureux et suicidaire qui n'a pas reçu le bon montant. Jean Charest est une marionnette qui a reçu déjà trop d'argent (et bien trop de titres) pour ses faits d'armes passés lors du référendum de 1995. Le premier joue avec les médias pour mettre ses menaces à exécution; le second se fiche de son image puisque ses objectifs financiers sont déjà remplis (payback time, dit-on en anglais).

Ceci est évidemment une théorie. Dire que je «sais des choses» m'exposerait à des poursuites. Je déclare donc mon billet comme une fiction. Mais sachez séparer le blé de l'ivraie.

Le grand gagnant dans cette rixe de hauts placés? Le peuple. Le prochain gouvernement se tiendra les fesses serrées. C'est une bonne chose, vu sous cet angle. Mais n'oubliez pas ceci: il y a deux types de partis politiques. Les partis d'intérêt (qui se nourrissent de titres et d'argent), et les partis d'idées (qui se nourrissent d'idéaux et de progrès). Et qu'il y a deux profils de politiciens: les opportunistes qui n'ont rien à perdre et leur mère à vendre, et ceux qui gagneraient le double au privé et qui sont souvent très qualifiés.

Le nom des partis n'a rien à voir. Dans l'histoire, parfois c'est le parti libéral qui forme les idéologues indépendants de fortune, parfois c'est le parti québécois qui est l'opportuniste. L'histoire change rapidement. Heureusement, l'alterance des partis nous évite les maux de dents prolongés.

7

Quelles que soient les motivations personnelles profondes de Marc Bellemare, ce qui se passe à travers lui est plus grand que lui : à travers lui, c'est toute la population qui demande des comptes à son élite.

8

M. Charest, en bon Conservateur-Réformiste qu'il est, se moque, comme de sa première chemise, des lois, règlements et consignes qui l'embêtent. Le juge Bastarache, un ami pourtant, recommande, demande, implore? de ne pas commenter sur la place publique les déclarations de M. Bellemare, surtout si on est appelé à témoigner éventuellement.

Qu'à cela ne tienne. Fidèle à son ADN, M. Charest, comme il l'a fait alors qu'il était Ministre des sports, franchit la ligne et agit à sa convenance, pas selon les convenances. M. Charest est au dessus de tout cela. M. Charest est au-dessus des lois. Sa Majesté règne, elle ne subit pas. Pourtant, même le roi d'Angleterre a comparu, comme témoin, à un tribunal britannique. C'est ce qu'on appèle respecter les lois du pays, respecter les citoyens du pays. Mais M. Chares n'est pas de sang royal. M. Charest n'a pas de noblesse, ni d'âme, ni de sang. C'est un roturier mal dégrossi. Un malotru, un malpoli, une bien petite personne quoi. Et on a voté pour ça...

Pendant ce temps, les affaires autrements plus sérieuses : l'économie, la propriété légitime de l'argent, la mondialisation, etc passent à l'arrière plan et s'en donnent à coeur joie.

Que ne parle-t-on de géothermie plutôt que gaz de chiste? Une question, comme ça...

Et vogue la galère.

9

Au-delà de la crédibilité de l’un ou l’autre des deux protagonistes principaux de ce débat, Jean Charest et Marc Bellemare, telle qu’elle sera jugée par un simili tribunal à partir d’une structure de débats piégée pour l’accusé et déguisée en commission d’enquête soi disant indépendante, c’est non seulement le parti libéral du Québec qui sera jugé à cet aulne, mais l’ensemble des mécanismes administrato-judiciaires qui sont impliqués dans ce triste scénario. Ce quasi-tribunal aura beau se raidir dans une attitude parodiant la respectabilité, les procureurs de la Commission multiplier les interrogatoires où perse l’envie de mettre KO l’accusé, il y a fort à parier que ce sera au final l’opinion publique qui rendra le dernier verdict et que celui-ci sera terrible pour ceux qui espéraient s’en tirer avec cette apparence de justice.

Certes, ceux qui ont été accusés ont le droit de se défendre, mais encore faut-il qu’ils le fassent en respectant les règles de base de ces jeux dangereux. Or, elles ont déjà été violées à au moins deux reprises, d’abord en refusant la présence formelle de l’opposition aux audiences, ensuite par la présence sur les ondes des médias de l’un des deux protagonistes, Jean Charest, pour donner sa version de ce que devraient être selon lui les conclusions de cette Commission qui n’en est pourtant qu’à ses débuts.

Pour un peu, on se croirait revenu à la belle époque où un Premier Ministre se permettait d’intervenir dans le cours d’un procès, celui du célèbre Coffin au temps de Maurice Duplessis. Mais cette fois, cette Omerta a contrario est encore pire, car c’est un silence entretenu qui ne vise pas à protéger l’industrie touristique, mais un secteur clef de l’industrie du Québec et dont on refuse avec cet écran de fumée de la regarder pour ce qu’elle est avec ses implications politiques et sociales.

10

le coefficient de démission s'elabore de la manière suivante: vous prenez le nombre de vos adversaires naturels, vous les divisez par deux; vous prenez votre opposant le plus marginal et vous le multipliez par mille exposant N circonscriptions ou le chef marginal a fait élire un de ses clones; finalement, vous additionnez tous vos alliés objectifs qui vous ont abandonné depuis la naissance du dernier scandale public et vous obtenez un chiffre - ce chiffre vous donnera le nombre de semaine au cours desquelles le chef survivra au battage médiatique - puis vous multipliez tout cela et si vous obtenez un chiffre supérieur au nombre d'électeurs qui sont nécessaires a votre réélection, vous n'avez plus de job, monsieur le PM...

11

Fable moderne

Le Roi John James a lâché sa meute de chiens après un lapin qui l'avait mordu et qui vient de le remordre plus durement.

Le lapin a besoin d'être vite sur ses patins pour ne pas se faire déchiqueter par des crocs Libéraux, plus gros que les siens.

12

Jean Charest va se présenter au box avec un chandail des nordiques en allongeant la subvention de 100 millions pour le nouveau Colisée...

Le monde va y pardonner.

13

Ainsi, peu importe « qui dit vrai » dans ce dossier, Jean Charest a déjà perdu la partie. Cette histoire de nominations partisanes, au fond, n’est qu’une tempête dans un verre d’eau : tout le monde se doute depuis longtemps que les nominations à des postes importants sont toujours teintées par la couleur du parti au pouvoir, et tant qu’elles ne permettent pas à des incompétents notoires d’accéder à ces postes, on n’y trouve généralement pas grand-chose à redire.

Personne n'est dupe de cette commission Bastarache, qui ne sert qu’à détourner l’attention du vrai scandale – celui des rapports incestueux entre l’industrie de la construction, la mafia et le gouvernement en place.

Par son refus obstiné de tenir une vraie commission d’enquête que l’opposition et une frange importante de la population réclament à grands cris depuis de longs mois, le premier ministre actuel a irrémédiablement entaché sa propre réputation et, par ricochet, celle de son parti. Aux yeux de l’opinion publique, celui qui répugne à ouvrir son jeu a forcément quelque chose à cacher.

Jean Chrétien a été assez habile pour dévier les coups en direction du pauvre Paul Martin, devenu bien malgré lui le bouc émissaire d’un autre scandale, celui des commandites fédérales, qu’il avait pourtant contribué à faire éclater par souci de transparence; mais voyez dans quel état le « p’tit gars de Shawinigan », pour sauver sa peau, a laissé son parti!

Dès lors, la vraie question qui se pose est celle-ci : le PLQ subira-t-il le même sort que le PLC? Sera-t-il condamné à tomber de Charybde en Scylla (de Stéphane Dion en Michael Ignatieff…) dans une quête effrénée – et vaine – de sa crédibilité perdue? Quoi qu’il en soit, je ne vois pas comment Jean Charest pourrait se relever de cette crise politique; à mon avis, c’est le commencement de la fin pour Capitaine Canada.

14

Je ne donne pas cher de la peau de Charest. Non pas que Bellemare vaille mieux que lui mais Charest, comme je l'ai dit plus haut, n'a plus aucune crédibilité. En plus il est beaucoup plus dangereux de croire Charest que Bellemare, ce dernier n'ayant plus de pouvoir au sein d'un quelconque gouvernement.

15

arretez de voter pour des crosseurs de poules mortes qui ont moins d'etique et encore moins de pouvoir que la pauvre fille qui vend son Q sur le trottoir a son souteneur pour satisfaire des clients qui sont incapables de baiser gratis!

*
L'inquiétude de Jean Charest
Josée Legault
24 août 2010
http://www.voir.ca/blogs/jose_legault/archive/2010/08/24/l-inqui-233-tude-de-jean-charest.aspx

*

UN PROBLÈME POLITIQUE MAJEUR
Josée Legault
25 août 2010
http://www.voir.ca/blogs/jose_legault/archive/2010/08/25/un-probl-232-me-politique-majeur.aspx