lundi 6 avril 2009
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(…) c’est un malheur extrême que d’être assujetti à un maître dont on ne peut jamais être assuré de la bonté, et qui a toujours le pouvoir d’être méchant quand il le voudra. Quant à obéir à plusieurs maîtres, c’est être autant de fois extrêmement malheureux.
DISCOURS DE LA SERVITUDE VOLONTAIRE. Étienne de La Boétie. 1549
DISCOURS DE LA SERVITUDE VOLONTAIRE. Étienne de La Boétie. 1549