lundi 21 septembre 2009
985. NOS AMIS LES POLITICIENS
Le professeur Bulle ne s’intéresse qu’à la poésie en Alexandrin (selon les préceptes de Boileau), la spiritualité pré-Conciliaire(Vatican II a marqué la fin de la civilisation), la philosophie pré-Socratique (Héraclite) (et les sceptiques Pyrrhoniens) et aux Haïku et Koan fait au chocolat (80%) liquide sur le dos ou le ventre d’une jolie femme. (appliquée lentement comme la peinture aux doigts) Pour tout dire, le professeur Bulle est un homme de goût exquis.
Ce qui fait qu’il ne s’intéresse pas à la politique municipale. Sauf si elle sert de leçon de chose. La chose à apprendre pour le public québécois (sous-espèce Montréalaise) (on dit aussi Montréaliste pour montrer l’intérêt particulier que l’on porte à la ville. Ce qui ressemble à la passion du chocolat et du Haïku pour le professeur Bulle) (et aux jolies femmes indispensables pour cet usage)
Mais nous nous trouvons devons un intéressant problème de logique auquel soit se soumettre une politicienne. Ce qui mérite comme dans un guide touristique «le coup d’œil». La politicienne en question est Madame Harel qui veut devenir mairesse de Montréal.
Vision Montréal. http://www.visionmtl.com/
Ce dont nous nous fichons complètement si ce n’était qu’Élaine Ayotte est une de ses candidates. Dont nous nous souvenons comme une animatrice tv intelligente, ce qui est rare. Nous avons gardé d’elle, de grandes émotions télévisuelles et intellectuelles Nous nous devons donc d’applaudir à deux mains comme un phoque.
Madame Harel devra nettoyer les écuries d’Augias de Montréal où la Mafia (légale ou non) bouffe les finances comme des hordes de chenilles. Sous le regard placide (c’est là son moindre défaut) (et son principal trait de caractère) du maire actuel.
Réussira t-elle? Le test d’intelligence suivant en donnera une idée. Le test ne vient pas de nous mais de ses «amis» politiciens.
Problème bien connu dans l’antiquité sous le nom générique de lit de Procuste.
Ou en anglais Catch 22. Ou Damned if you do and damned if you don't.
Il y aura un débat contradictoire (terme vieilli du temps de Duplessis, bataille de volonté et de gros mots – accompagnés parfois de coups de poings- qui attiraient les foules et qu’une époque plus policée transforme en conversation ou échange ennuyant.) (il y a parfois même des citations latines). Il y aura même 2 débats. Un en français. Et un autre en anglais.
Pour la «communauté angophone» qui forme malgré la loi 101, 50% des êtres vivants de la ville –en expansion- avec l’assimilation des immigrants. (Le professeur Bulle est perplexe. Ils auraient pu aller aux USA ou en Ontario où la langue d’office est l’anglais. Mélangés (?), ils viennent ici sans savoir ou sans qu’on leur ait dit (?) que la langue officielle est le français. Alors ils essaient de se faufiler dans une école anglaise et on essaie de les en empêcher. Petit jeu qui dure depuis une décennie. La question se pose toujours : pourquoi ne sont-ils pas allé aux USA ou en Ontario (Manitoba, etc.)
En français, madame Harel comme madame Marois son ex-patronne s’exprime avec sûreté et le ton maternel et bienveillant qui convient lorsqu’on s’adresse à des arriérés. Madame Marois semble moins patiente que madame Harel qui sourit sans cesse.
C’est là où ça se gâte. Le débat anglais. Madame Harel parlant légèrement mieux l’anglo que madame Marois, cheffe du PQ et future premier ministre dès que monsieur John James Charest aura donné sa démission.
Madame Marois parle anglais comme un russe copulant avec un parisien. D’où des sons inconnus, incongrus et inconvenants. Une personne ne bon goût évite d’assister à un spectacle de ce genre.
Madame Harel, légèrement mieux. Ça ressemble au logiciel de traduction automatique ou aux voix robotes des GPS.
Il va de soi que, logiquement, elle n’a aucun intérêt à débattre en anglais.
Il va de soi qu’aucune personne «raisonnable» ne se mettra dans une telle situation.
Il va de soi que ses adversaires ont tout intérêt à la piéger et à la faire baragouine l’anglais. On imagine déjà les émissions radio et les journaux qui vont se moquer. Sans compter les enregistrements sur Yutube qui tourneront éternellement pour le plaisir des ado de tout âge.
Si passer à la tv engraisse toute femme de 20 livres. Il diminue le quotient intellectuel de tout être vivant hors de cet écosystème de 10%. Sauf madame Ayotte, bien entendu.
On peut imaginer ce que deviendra le discours déjà pénible en milieu non dangereux dans ce terrain hostile.
Pourquoi ferrait-elle une telle gaffe?
Par manque d’intelligence. Car l’expérience, elle n’en manque pas.
Des sirènes supposées «amies» lui susurreront sans cesse à l’oreille à l’oreille qu’elle doit bien ça à la «communauté anglo», que c’est faire preuve d’humanité, d’humanisme, que l’anglo est devenu la langue d’échange internationale et qu’elle doit… Vous voyez les genre.
Un souvenir de ce genre revient au professeur Bulle du temps de son adolescence complexe. Lors d’une initiation scolaire où les «anciens» humilient les «nouveaux» sous le regard admiratif des professeurs et de la direction. Le professeur Bulle n’ayant aucune envie de courir à genoux, à 4 pattes, ce qui était l’épreuve du moment. Après tout qu’allait-on lui faire : le battre en public? Ce genre de chose se fait généralement en privé. Du moins si c’est de la part de d’êtres vivants du même âge. Mais une jolie jeune fille qui était dans sa classe lui dit qu’il ne devait pas se faire remarquer et gâcher le plaisir de tout le monde. Il devait «participer». Après tout, c’était la fête. Non un viol collectif. Ou une séance de masochisme, ce qui était plutôt l’opinion du professeur Bulle. C’était si bien dit et dans des sons si beaux et avec des yeux si aimables que le professeur Bulle participa. Ses genoux aussi. Après, tout il avait déjà le visage tout barbouillé de gouache rouge gracieuseté d’un des bourreaux improvisés. Qui, ironie du moment, était aussi dans la même classe et du même âge et aurait donc du subir les même supplices. Mais comme il mesurait 6 pieds et devait peser plus de 200 livres, on l’épargna et les organisateurs du camp de concentration comme c’est souvent le cas, l’admirent dans leur rang. Certains diront qu’il n’y a pas de justice. Ce qui veut dire qu’à un certain moment, ils y ont cru. Depuis ce temps (et avec quelques autres aventures expérimentales) le professeur Bulle se méfie de toute personne en position d’ordonner quoique ce soit. Même d’une voix amie.
Madame Harel se voit entourée de voix «amie» qui lui demande de «participer».
Elle a alors proposé d’y participer. À sa façon. D’écouter les réparties des protagonistes (elle dit savoir écouter l’anglo) ensuite, elle répondra en français. Quitte à ce qu’on mette des sous-titres au bas de l’écran. En théorie, les anglo d’ici sont supposé (?) entendre le français. Le Québec étant selon eux un pays bilingue.
Pour le franco de souche, né natif, il est supposé être français d’où une incompréhension mutuelle.
Question féminine. Modèle magazine Elle, Clin d’œil.
Blind date. Une femme rencontre un cavalier inconnu. Celui-ci lui propose de l’amener chez-lui. Pour ce faire, il lui bandera les yeux pour lui faire une surprise.
Comment doit-elle réagir?
Bien. Car elle est contente. Quoi de mieux qu’une surprise d’un amoureux.
Elle trouve une excuse parlant de sa perruche malade.
Elle appelle la police.
Elle doute. Se disant que le mot «surprise» de la part d’un homme (répétons qu’il s’agit d’un inconnu qu’elle ne connaît pas et n’a jamais vu) ou d’une femme ou d’elle peuvent avoir des sens différent.
Madame Harel se trouve dans la même situation. On veut lui faire une «surprise».
Que lui dit son instinct féminin? En a-t-elle un ?
Pour le public général, nous pourrons assister en direct à un test d’intelligence. Comment va-t-elle se débrouiller ? Non pour «communiquer» lors du débat anglo mais pour ne pas y aller.
Et comme on l’a dit tantôt : quoiqu’elle fasse, elle se fera critiquer.
Il ne faut pas oublier que les anglo sont ses ennemis. Et ne voteront jamais pour elle. Son passé de péquiste suffira. On préférera voter pour la Mafia.
Pour le public subtil, il sera intéressant de voir si nos politiciens sont des crétins sans jugement. Les plus pessimistes diront que la preuve est déjà établie et déposée depuis longtemps.
Il reste seulement à définir la catégorie. Les autres étant le vol et le meurtre. Et différentes perversions qu'on étudiera plus tard.
Ce qui fait qu’il ne s’intéresse pas à la politique municipale. Sauf si elle sert de leçon de chose. La chose à apprendre pour le public québécois (sous-espèce Montréalaise) (on dit aussi Montréaliste pour montrer l’intérêt particulier que l’on porte à la ville. Ce qui ressemble à la passion du chocolat et du Haïku pour le professeur Bulle) (et aux jolies femmes indispensables pour cet usage)
Mais nous nous trouvons devons un intéressant problème de logique auquel soit se soumettre une politicienne. Ce qui mérite comme dans un guide touristique «le coup d’œil». La politicienne en question est Madame Harel qui veut devenir mairesse de Montréal.
Vision Montréal. http://www.visionmtl.com/
Ce dont nous nous fichons complètement si ce n’était qu’Élaine Ayotte est une de ses candidates. Dont nous nous souvenons comme une animatrice tv intelligente, ce qui est rare. Nous avons gardé d’elle, de grandes émotions télévisuelles et intellectuelles Nous nous devons donc d’applaudir à deux mains comme un phoque.
Madame Harel devra nettoyer les écuries d’Augias de Montréal où la Mafia (légale ou non) bouffe les finances comme des hordes de chenilles. Sous le regard placide (c’est là son moindre défaut) (et son principal trait de caractère) du maire actuel.
Réussira t-elle? Le test d’intelligence suivant en donnera une idée. Le test ne vient pas de nous mais de ses «amis» politiciens.
Problème bien connu dans l’antiquité sous le nom générique de lit de Procuste.
Ou en anglais Catch 22. Ou Damned if you do and damned if you don't.
Il y aura un débat contradictoire (terme vieilli du temps de Duplessis, bataille de volonté et de gros mots – accompagnés parfois de coups de poings- qui attiraient les foules et qu’une époque plus policée transforme en conversation ou échange ennuyant.) (il y a parfois même des citations latines). Il y aura même 2 débats. Un en français. Et un autre en anglais.
Pour la «communauté angophone» qui forme malgré la loi 101, 50% des êtres vivants de la ville –en expansion- avec l’assimilation des immigrants. (Le professeur Bulle est perplexe. Ils auraient pu aller aux USA ou en Ontario où la langue d’office est l’anglais. Mélangés (?), ils viennent ici sans savoir ou sans qu’on leur ait dit (?) que la langue officielle est le français. Alors ils essaient de se faufiler dans une école anglaise et on essaie de les en empêcher. Petit jeu qui dure depuis une décennie. La question se pose toujours : pourquoi ne sont-ils pas allé aux USA ou en Ontario (Manitoba, etc.)
En français, madame Harel comme madame Marois son ex-patronne s’exprime avec sûreté et le ton maternel et bienveillant qui convient lorsqu’on s’adresse à des arriérés. Madame Marois semble moins patiente que madame Harel qui sourit sans cesse.
C’est là où ça se gâte. Le débat anglais. Madame Harel parlant légèrement mieux l’anglo que madame Marois, cheffe du PQ et future premier ministre dès que monsieur John James Charest aura donné sa démission.
Madame Marois parle anglais comme un russe copulant avec un parisien. D’où des sons inconnus, incongrus et inconvenants. Une personne ne bon goût évite d’assister à un spectacle de ce genre.
Madame Harel, légèrement mieux. Ça ressemble au logiciel de traduction automatique ou aux voix robotes des GPS.
Il va de soi que, logiquement, elle n’a aucun intérêt à débattre en anglais.
Il va de soi qu’aucune personne «raisonnable» ne se mettra dans une telle situation.
Il va de soi que ses adversaires ont tout intérêt à la piéger et à la faire baragouine l’anglais. On imagine déjà les émissions radio et les journaux qui vont se moquer. Sans compter les enregistrements sur Yutube qui tourneront éternellement pour le plaisir des ado de tout âge.
Si passer à la tv engraisse toute femme de 20 livres. Il diminue le quotient intellectuel de tout être vivant hors de cet écosystème de 10%. Sauf madame Ayotte, bien entendu.
On peut imaginer ce que deviendra le discours déjà pénible en milieu non dangereux dans ce terrain hostile.
Pourquoi ferrait-elle une telle gaffe?
Par manque d’intelligence. Car l’expérience, elle n’en manque pas.
Des sirènes supposées «amies» lui susurreront sans cesse à l’oreille à l’oreille qu’elle doit bien ça à la «communauté anglo», que c’est faire preuve d’humanité, d’humanisme, que l’anglo est devenu la langue d’échange internationale et qu’elle doit… Vous voyez les genre.
Un souvenir de ce genre revient au professeur Bulle du temps de son adolescence complexe. Lors d’une initiation scolaire où les «anciens» humilient les «nouveaux» sous le regard admiratif des professeurs et de la direction. Le professeur Bulle n’ayant aucune envie de courir à genoux, à 4 pattes, ce qui était l’épreuve du moment. Après tout qu’allait-on lui faire : le battre en public? Ce genre de chose se fait généralement en privé. Du moins si c’est de la part de d’êtres vivants du même âge. Mais une jolie jeune fille qui était dans sa classe lui dit qu’il ne devait pas se faire remarquer et gâcher le plaisir de tout le monde. Il devait «participer». Après tout, c’était la fête. Non un viol collectif. Ou une séance de masochisme, ce qui était plutôt l’opinion du professeur Bulle. C’était si bien dit et dans des sons si beaux et avec des yeux si aimables que le professeur Bulle participa. Ses genoux aussi. Après, tout il avait déjà le visage tout barbouillé de gouache rouge gracieuseté d’un des bourreaux improvisés. Qui, ironie du moment, était aussi dans la même classe et du même âge et aurait donc du subir les même supplices. Mais comme il mesurait 6 pieds et devait peser plus de 200 livres, on l’épargna et les organisateurs du camp de concentration comme c’est souvent le cas, l’admirent dans leur rang. Certains diront qu’il n’y a pas de justice. Ce qui veut dire qu’à un certain moment, ils y ont cru. Depuis ce temps (et avec quelques autres aventures expérimentales) le professeur Bulle se méfie de toute personne en position d’ordonner quoique ce soit. Même d’une voix amie.
Madame Harel se voit entourée de voix «amie» qui lui demande de «participer».
Elle a alors proposé d’y participer. À sa façon. D’écouter les réparties des protagonistes (elle dit savoir écouter l’anglo) ensuite, elle répondra en français. Quitte à ce qu’on mette des sous-titres au bas de l’écran. En théorie, les anglo d’ici sont supposé (?) entendre le français. Le Québec étant selon eux un pays bilingue.
Pour le franco de souche, né natif, il est supposé être français d’où une incompréhension mutuelle.
Question féminine. Modèle magazine Elle, Clin d’œil.
Blind date. Une femme rencontre un cavalier inconnu. Celui-ci lui propose de l’amener chez-lui. Pour ce faire, il lui bandera les yeux pour lui faire une surprise.
Comment doit-elle réagir?
Bien. Car elle est contente. Quoi de mieux qu’une surprise d’un amoureux.
Elle trouve une excuse parlant de sa perruche malade.
Elle appelle la police.
Elle doute. Se disant que le mot «surprise» de la part d’un homme (répétons qu’il s’agit d’un inconnu qu’elle ne connaît pas et n’a jamais vu) ou d’une femme ou d’elle peuvent avoir des sens différent.
Madame Harel se trouve dans la même situation. On veut lui faire une «surprise».
Que lui dit son instinct féminin? En a-t-elle un ?
Pour le public général, nous pourrons assister en direct à un test d’intelligence. Comment va-t-elle se débrouiller ? Non pour «communiquer» lors du débat anglo mais pour ne pas y aller.
Et comme on l’a dit tantôt : quoiqu’elle fasse, elle se fera critiquer.
Il ne faut pas oublier que les anglo sont ses ennemis. Et ne voteront jamais pour elle. Son passé de péquiste suffira. On préférera voter pour la Mafia.
Pour le public subtil, il sera intéressant de voir si nos politiciens sont des crétins sans jugement. Les plus pessimistes diront que la preuve est déjà établie et déposée depuis longtemps.
Il reste seulement à définir la catégorie. Les autres étant le vol et le meurtre. Et différentes perversions qu'on étudiera plus tard.