DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

lundi 28 septembre 2009

1017. LE PROFESSEUR BULLE AIDE SON PROCHAIN


COMMENTAIRE DU PROFESSEUR BULLE AU SUJET DE L'ÉDITORIAL DE MONSIEUR RENÉ-DANIEL DUBOIS À L'ÉMISSION DE MADAME MARIE-FRANCE BAZZO.

Spécimen intéressant. A première vue, le diagnostic est simple. Crétin, ignare, manque de jugement et de sens critique avec un goût immodéré de faire la leçon aux gens. La morale. De les rendre honteux. Prétentieux. Suffisant. Le ton de prédicateur qui rappelle les père Blancs de notre enfance. Personnage dont il a la corpulence et la gueule. Ou Goebbels.

Ces quelques lignes suffiraient pour des spécimens vivants du même genre comme André Arthur ou Jeff Fillion. Intéressants à empailler. On n’aurait pas besoin d’en dire davantage et on les abandonnerait à leur destin. Et une crise cardiaque bienfaisante les libérerait finalement d’une existence terrestre difficile.

Mais monsieur Dubois est d’une autre espèce. C’est un comédien et au auteur. Et, comme on disait «tout un personnage!». Sa performance est amusante lorsqu’il déclame son texte. Il serait même convaincant tant il est convaincu lui-même si on était un enfant.

Mais c’est un bon spectacle. Comme il est auteur de théâtre qu’est-ce qu’il attend pour commencer à travailler?

Il est vraiment dommage qu’aucun metteur en scène ne lui laisse la place à la tv, au cinéma ou au théâtre. On préfère sans doute des minous plus malléables.

Alors, il en est réduit à la prédication. Et les mauvaises fréquentations comme celle de monsieur Jacques Godbout ne peuvent qu’être néfastes pour les esprits dotés de plus de nerfs que de neurones.

Il ne sert à rien de démonter comme un vieille montre tous ses «arguments» tant c’est du travail d’amateur. Mais juste pour faire vicieux, on peut utiliser son exemple de «guerre civilisatrice» avec dans l’éprouvette la deuxième guerre mondiale.

On dit que 6 millions de juifs ont été éliminés mais ils ne sont pas morts pour rien car ce fut pour faire œuvre utile soit la création d’Israël qui aurait été impossible sans ça.

Et il y eut tant d’autres transformations sociales, économiques, culturelles et géographiques résultant de ce conflit qu’on n’en mesure pas encore la fin. Et tout ceci grâce à un artiste génial, Adolf Hitler qui a décidé de faire des «installations» avec du vivant au lieu de se servir de tableaux démodés même à son époque. Un grand esprit et un visionnaire.

Après tout, il n’y a même pas encore un siècle de passé. Et on ne peut résumer ce genre de chose et l’accumulation de conséquences qui deviennent par la suite des causes suivies de nouvelles conséquences qu’avec des règles de 100 ans ou des compas de 1000 ans.

Mais personne ne dirait en passant du présent au passé – comme le ferait un romancier écrivant une uchronie- que le présent – le nôtre- étant indispensable, il fallait nécessairement cette guerre pour que ces si jolies choses existent. Et que les millions de morts étaient indispensables.

Le temps en va que dans un sens. Il y a eu la guerre qui a détruit et construit. Le remous et la marée se ressentent encore de nos jours.

Dire que le régime français d’Ancien Régime qui a disparu en France lors de la Révolution aurait continué jusqu’à nos jours s’il n’y avait eu l’intervention providentielle de nos «conquérants» est une connerie.

Un violeur n’améliore pas la vie d’une femme. Il la change. Peut-être s’ennuyait-elle avant? Elle s’ennuie peut-être mois depuis mais si un «historien» essaie de lui prouver à quel point cet événement fut bénéfique pour elle, il risque d’avoir des ennuis. Mais en toute logique, il l’a changée. Ce qu’elle est maintenant et ce qu’elle sera dorénavant c’est grâce à lui qu’elle le doit. Doit-elle lui dire merci?

Et l’Église Catho du temps = Talibans. Pauvre chou!

Il n’y a pas une ligne qui ne mettrait monsieur Jean Morisset en fusil mais le professeur Bulle est stoïque. Monsieur Falardeau ne l’était pas.

Il n’y a pas plus Zen que lui. Lorsqu’il sort de chez lui, il va au zoo et rencontre des êtres vivants variés qui prétendent être soit animaux communs ou animaux humains et distraient sa marche en gazouillant des bruits divers, les uns chantés, les autres grammaticalement approximativement corrects. Ce qui ne veut pas dire de prendre les uns et les autres aux mots! Toutes ces formes de vies sont provisoires et ne servent qu’à décorer le monde. Qui en devient beau ou intéressant ou curieux.

Et les sons des animaux à 2 pattes même si on les décrit sous le terme générique «d’idées» ne valent généralement pas la peine d’être rappelés. Ils décorent aussi l’air ou la tv.

DIAGNOSTIC

Il va de soi que si on n’avait à soigner que messieurs Arthur ou Fillion, on ne se donnerait pas tant de mal. L’euthanasie est le conseil le plus immédiat qui vient à l’esprit. Ou dire que les champs de fraises manquent de bras. Quoique monsieur Arthur soit vraiment trop gros et trop vieux et le temps des fraises vraiment trop passé date.

Par contre, monsieur RDD nous intéresse. Et nous passeront quelques lignes à essayer d’améliorer son sort. Il semble si malheureux que nous ne voudrions pas qu’il finisse pendu comme Nelly Arcand.

Un artiste ou un romancier ou un auteur de théâtre ou un comédien n’a pas besoin d’intelligence et beaucoup nous le démontrent tous les jours. Je ne veux pas dire qu’il n’en faut pas un peu mais juste assez pour ne pas manger du foin. Trop (pour un comédien, bien sûr) est trop. Beaucoup est mieux sans doute. Mais généralement, aucune personne intelligente – vraiment intelligence- ne voudra se donner en spectacle. Alors, comédien, chanteurs, animateur tv ou de nouvelles…

Par contre, pour faire ces métiers il faut avoir un égo encombrant qui veut s’étendre et s’épandre continuellement. Ou «le besoin d’amour» des chanteuses. Et chacun fera des gazouillis divers. Ce qu’une personne (très) moyennement intelligente prendra pour de l’intelligence. Et il va de soi que le gazouilleur ou la gazouilleuses se prendra très au sérieux.

Comme cette personne prendra pour une preuve de conviction, de vérité de ses arguments, le fait que l’interlocuteur reste bouche bée devant elle. Ce qui généralement est dû au fait que la fille est wow! Ou le gars, impressionnant. Ou effrayant. Personne ne songe à démentir monsieur Mom Boucher quand il philosophe.

L’intelligence est nuisible dans les arts. Encombrante. On se mêt à penser au lieu d’agir. On veut «donner du sens» à des objets qui doivent être ressenti. Et on finit dans l’art moderne par parler davantage de ce qu’on va faire plutôt que de faire. Ou par parler, décrire, écrire longuement sur le peu de chose qu’on a fait parce que cette chose sans tous ces mots est parfaitement insignifiante quoique parfois surprenante. Et il faut distraire.

Ainsi on a vu récemment, quelqu’un a fait gicler 650 litres de ketchup dans un appartement en appelant ceci «performance». Il y avait même «une dimension sociale» comme d’habitude et c’est indispensable de nos jours.

L’effet semble provenir d’un film gore où toute une famille aurait été égorgée par un vampire. Et si c’est intéressant à la tv, l’odeur doit être assez…

On donnera l’exemple de Leonard de Vinci qui était un grand artiste et un esprit immense. Ce qui est un mauvais exemple. D’abord parce que cet homme est d’un siècle où les personnalités exceptionnelles comme lui abondaient. On a rarement vu autant de talents assemblés au même moment et dans les mêmes lieux. Pas surprenant qu’on ait appelé cette période «Renaissance». Et on n’en a pas connu une deuxième depuis. On le saurait.

Les autres artistes d’autres périodes ont rarement rangé dans le même cerveau, intelligence et talent. Par contre, orgueil, vanité, prétention remplacent avantageusement l’intelligence. Et peuvent l’imiter pour beaucoup d’observateurs novices.

Et si on la santé, l’énergie et la chance indispensable sans qui rien ne se fait, on peut aller loin.

La ménagère dira que tout ça est bien compliqué. Il y a des artistes ou des écrivains qui se rongent les doigts en essayant de faire la phrase idéale et ne foutent rien. Sauf gâter leur foie. D’autres veulent faire de la politique, réformer la société, améliorer le sort de l’humanité, promouvoir le végétarisme et ne cessent d’avoir des idées a lieu d’écrire.

Penser n’est pas leur métier. Ce sont des artisans, des amuseurs. Parfois plus mais rarement.

Il faut donc que l’artiste se méfie de son cerveau. S’il est un romancier, il contera des histoires. S’il est un peintre, il fera des tableaux. Tout ceci occupe bien sa journée et son année.

Ajouter des «dimensions politiques» à son roman ou son tableau est déjà un début de vanité. Probablement que s’il le fait c’est qu’il ne peut pas s’en empêcher. Il est comme ça. Tant pis! On finit par faire une robe de viande (des steaks) pour dénoncer la condition féminine. Ou mettre un cochon mort dans un aquarium fermé pour le voir pourrir en direct. On ajoutera des lettres et des phrases pour prouver l’indispensable de la chose.

Il faut certainement une intelligence moyenne et utile ce qui permet à l’artiste qui est loin d’être doué pour la vie de ne pas finir dans la rue ou de ne pas s’éborgner avec un crayon en essayant de se gratter.

Compte tenu du nombre de suicidés, d’alcooliques et de drogués dans la profession, on se rend bien compte du manque de sens pratique de tous ces gens. Comme si ce n’était pas suffisant, la vie est tout simplement invivable pour beaucoup d’entre eux.

Peut-être que penser davantage les aurait aidés?

Quoi faire si on est moyennement intelligent (ce qui est la définition de la majorité des artistes) et qu’on ne peut s’empêcher de répandre ses «idées»?

Il faut cesser de penser.

C’est la pire des choses à faire si on n’a pas de jugement. On ne fait que se faire du mal en essayant. On se force. C’est comme être constipé et avoir les hémorroïdes.

On peut faire utile et se servir tout de même de son cerveau limité, de ses «idées». Pourquoi ne pas en faire une partition. Une scène. Un rôle. Les donner à «jouer» à un de ses personnages. Ce qui obligera en toute justice à lui donner un opposant. Un autre personnages contradicteurs qui cherchera les failles dans son argumentations. Ici, on aurait eu le texte de RDD et la répartie de Pierre Falardeau.

Dans la vie réelle, monsieur Falardeau aurait rasé gratis les élucubrations pitoyables de monsieur Dubois mais dans la représentation d’une discussion de café entre 2 intellectuels cocus, on aurait eu une belle scène.

Et on la perd parce que monsieur RDD s’obstine à jouer au politicien miteux à la tv.

Monsieur Dubois ne joue pas assez, il ne fait pas suffisamment ce pour quoi il est vraiment doué : écrire des pièces. Alors, il monologue en public ce qui est sans intérêt si on n’est pas Yvon Deschamps.

Mais la tv aime les spectacles volontaires ou non, ce qu’elle appelle la «controverse». Comme le scandale du By By qui a fait frire tant d’ondes cérébrales. Alors on se sert de lui. Puis on le jettera. Peut-être essaie-il lui-aussi de se servir de la boite à idiots?-Mais il perdra. Une onde chasse l’autre. Un oubli le suivant.

On dit que les écrits restent alors à quand sa prochaine pièce?

Le professeur Bulle dans un but humanitaire qui l’honore a encore une fois aidé son prochain.
*
Image. Frontispice du « Mystère des cathédrales » de Fulcanelli, dessin de Julien Champagne.

Corbeau et tête de mort sont les symboles de la putréfaction. Le corps est beau dans la mort : le calembour oiselé signale l’étape indispensable de la putréfaction dans la réalisation du Grand-Œuvre. Le crâne est une tête (chef, en ancien français, se prononce che) putréfiée, corrompue, et doit se lire « chef vil ». Avec le corbeau cela forme un rébus, en Langue des Oiseaux, signifiant « cheval courbe » : CHeF ViL CoRBeau = CHVLCRB = CHeVaL CouRBe