Après le secret de Fatima et la malédiction sur le Canada, la fin du monde en 2012, la guerre Afghane, le vol de 50 milliards à la Caisse de Dépôt et Placement du Québec, la réélection de messieurs John James Charest et Stephen Harpen, nous pensions avoir atteint le fond du tonneau des calamités, voila t-y pas que Radio-Canada non contente de nous les annoncer comme d’habitude y participe.
On savait déjà que la politique menait à tout avec comme dernier exemple de la mairie de Montréal. (En PPP. Partenariat Public Privé avec la Mafia) On apprend aussi que monsieur Mario Dumont, ex-chef de l’ADQ. (Action Démocratique du Québec) (qui aurait pu gagné les élections s’il s’était motivé un brin)(mais comme pour le vieux proverbe chinois, on ne saura jamais si c’aurait été une bonne chose!) recyclé en animateur au «nouveau réseau V» (ex-TQS) [pourquoi «réseau», c’est une station de tv!? Un «poste» de tv comme on disait.]. Où on montre en direct des gens torturés. Gentiment. Pas tant que ça. (Mais ils sont volontaires.) Dans un jeu questionnaire.
Il remplacera monsieur le sénateur André Arthur, autre sénateur recyclé en informateur public. Ou, animateur radio recyclé en député. Le sénateur, ce sera pour la prochaine fois s’il continue d’appuiyer comme député «indépendant» (moment d’humeur et inspiration de la Vierge) le gouvernement «Conservateur» (Reform Party) de monsieur Harper. On nomme déjà un ex-coach de hockey et toujours animateur radio-tv.
On dit «analyste» à RadioCan ce qui justifie une grille salariale plus élevée. Lâchez-pas monsieur Arthur.
Comme si ce n’était déjà pas assez dans ce monde de douleur, cet automne on verra muter les chenilles Monique Jérôme-Forget et André Boisclair en chroniqueuses radio. (dans les 2 cas, le féminin l’emporte sur le féminin) (quoique dans les 2 cas, il puisse aussi y avoir des doutes) (dans le cas de madame sacoche Monique comme dans le cas de la décédée ex-premier ministre Margaret Thatcher (dans le gouvernement anglais était disait-on la seule personne ayant des couilles.)
Comme la guéguerre est finie à l’Assemblée nationale, le péquiste et la libérale, joueront dorénavant dans la même équipe pendant une nouvelle émission L'après-midi porte conseil, animée par Dominique Poirier où on blablatera gentiment autour de la consommation, la santé et l'alimentation. Sans torturer d’animaux ni de prisonniers politiques. Ou de téléspectateurs. (Les seuls êtres vivants qu’il n’est pas permis de torturer sont les animaux. Du moins, pour le plaisir.)
Pour nos oreilles émerveillées à la Première Chaîne de Radio-Canada, la chose sera diffusée gratuitement du lundi au vendredi de 13 h à 15 h, et en reprise de 22 h à minuit. Le tout débutera le 21 septembre.
L'ex-chef du PQ (Parti «Québécois») (on n’est plus très sûr) (Pour le PLP, Parti Libéral Provincial, succursale du Fédéral, franchise (terme commercial et non moral) (ça se saurait) En fait, on sait déjà) causera environnement les vendredis après-midi. Dans le segment revue de presse (!)
Sa chronique "rayons verts" sera complétée par celle "rayons-x" (santé) de l'urgentologue Alain Vadeboncoeur et "rayons rouges" (consommation ) (l'intervenant n'est pas encore choisi).
Le mot «intervenant» est un beau mot.
Comme si nos épreuves n’étaient pas terminées, le "conseil de famille" réunira chaque lundi une jeune mère d'un jeune enfant, un père d'adolescents (Lamine Foura, ingénieur à Bombardier, d'origine algérienne) et madame rourou, une grand-mère, docteure en psychologie (McGill, 1976 et ex-ministre des finances Libérale Provinciale (on ne sait plus très bien non plus s’il s’agit des finances libérales ou québécoises) Monique Jérôme-Forget (mexicaine d’adoption).
On rappelle pour les idiots qui pullulent, que la madame a réussi à faire perdre 50 milliards à la Caisse de Dépôt et Placement du Québec (avec la collaboration éclairée de messieurs John James Charest et Henri-Paul Rousseau qui a préféré se recycler chez messieurs Desmarais et fils au lieu de faire de la radio. (Sans doute que monsieur Desmarais y a contribué aussi mais on ne sait pas comment.) (Pas encore.)
"Ils parleront d'éducation et de famille. Par exemple: doit-on laisser sa fille de 15 ans inviter son ami à dormir à la maison?" a expliqué Dominique Poirier hier au lancement de la programmation de la Première Chaîne.
Doit-on laisser un incapable jouer au poker avec 50 milliards de $. Et au lieu de le punir pour l’$ égaré (c’est pas de sa faute), (c’est la météo!) (la tempête parfaite.) on lui donne une prime de départ, une pension et des remerciements.
Demandera t-on à cette grand-mère où placer son argent? Et où a-t-elle placé sa pension?
Et a-t-elle enfin appris l’Espagnol?
Il semble que Madame Forget ait trois petits-enfants et ait affirmé« vouloir s'en rapprocher» en quittant la politique, le 8 avril dernier. Elle avait alors déclaré devoir partir de toute urgence au Mexique pour apprendre l’espagnol? On pensait ne jamais la revoir.
Et on la revoit!
Ou on la réentend!
Elle croyait sans doute que lors de la découverte du scandale et de l’accumulation de mensonges du couple Charest-Forget-Rousseau (Trois. C’est un trio. Une perversion. Un accomodement raisonnable.) les québécois lui en voudraient à jamais. Heureusement pour elle, il semble que les québécois ont la mémoire d’une huître. Quel $? La Caisse de Dépôt, hein!
Je suis une huître. Je filtre l’eau. Je suis heureuse. Je suis une huître, je filtre l’eau et je suis contente.
On peut donc dire qu’ils ont le gouvernement qu’ils méritent. Et que le dit-gouvernement les traite comme il pense qu’ils le méritent. Tout ceci est de la logique la plus élémentaire. Et la vie est bien faite.
«J’ai eu un coup de cœur pour Dominique Poirier d’abord, a commenté monsieur André Boisclair (il s’agit d’une métaphore, comme on dit avoir eu un coup de cœur pour un livre), qui est aujourd’hui conseiller aux changements climatiques (?) et développement durable (?) au cabinet Ernst & Young (?) (On dira lobbyiste!) Et partage son expérience de gestion de crise avec les étudiants du baccalauréat en relations publiques de l'université québécoise anglophone Concordia. (Les pauvres!)
Il a parfaitement le droit de faire du lobby et de l’appeler comme il veut.
Agent d’influence, c’es très bien aussi.
Comme un ancien ministre des arbres à la tête dénudée devenu tout d’un coup à sa retraite de la vie politique (quelques jours après et ensuite), un combattant passionné des compagnies forestières qui, pas méchante, ne lui en ont pas voulu de leur avoir fait la vie dure lors de sa carrière en tant que ministre du ministère en question et protecteur des biens public. Et des arbres. Il me semble qu’il y a quelque chose qui cloche dans tous ces mots mais je ne me vois pas. Je vais relire plus tard.
"Je ne veux pas faire de discours ou donner des leçons. Je viens pour échanger" (dit-il). «Je vais prendre plaisir à participer à un magazine d’information, d’éducation et de débats»
On est content d’apprendre que si ces 2 personnages d’élite on trouvé un nouvel emploi à Radio Canada (tout en gardant leurs retraites et pensions et leurs salaires), 805 postes seront abolis à CBC/Radio-Canada dont 336 dans le «service français».
Depuis des décennies, le service de distractions gouvernementales navigue au gré des coupures et embauches, selon la bonne humeur politique. Engageant et régurgitant des fournées d’employés.
Monsieur Peter Elliot Trudeau, ex-premier ministre décédé du Canada voulait faire fermer cette boite de séparatistes. Comme en amour, le point de vue (sur la beauté ou la politique) dépend de celui qui regarde. Pour la plupart des gens normaux, Radio Canada comme son nom le dit est une boite peuplée de fédéralistes.
Mais il y a peu de gens normaux qui font de la politique.
Amen.
On savait déjà que la politique menait à tout avec comme dernier exemple de la mairie de Montréal. (En PPP. Partenariat Public Privé avec la Mafia) On apprend aussi que monsieur Mario Dumont, ex-chef de l’ADQ. (Action Démocratique du Québec) (qui aurait pu gagné les élections s’il s’était motivé un brin)(mais comme pour le vieux proverbe chinois, on ne saura jamais si c’aurait été une bonne chose!) recyclé en animateur au «nouveau réseau V» (ex-TQS) [pourquoi «réseau», c’est une station de tv!? Un «poste» de tv comme on disait.]. Où on montre en direct des gens torturés. Gentiment. Pas tant que ça. (Mais ils sont volontaires.) Dans un jeu questionnaire.
Il remplacera monsieur le sénateur André Arthur, autre sénateur recyclé en informateur public. Ou, animateur radio recyclé en député. Le sénateur, ce sera pour la prochaine fois s’il continue d’appuiyer comme député «indépendant» (moment d’humeur et inspiration de la Vierge) le gouvernement «Conservateur» (Reform Party) de monsieur Harper. On nomme déjà un ex-coach de hockey et toujours animateur radio-tv.
On dit «analyste» à RadioCan ce qui justifie une grille salariale plus élevée. Lâchez-pas monsieur Arthur.
Comme si ce n’était déjà pas assez dans ce monde de douleur, cet automne on verra muter les chenilles Monique Jérôme-Forget et André Boisclair en chroniqueuses radio. (dans les 2 cas, le féminin l’emporte sur le féminin) (quoique dans les 2 cas, il puisse aussi y avoir des doutes) (dans le cas de madame sacoche Monique comme dans le cas de la décédée ex-premier ministre Margaret Thatcher (dans le gouvernement anglais était disait-on la seule personne ayant des couilles.)
Comme la guéguerre est finie à l’Assemblée nationale, le péquiste et la libérale, joueront dorénavant dans la même équipe pendant une nouvelle émission L'après-midi porte conseil, animée par Dominique Poirier où on blablatera gentiment autour de la consommation, la santé et l'alimentation. Sans torturer d’animaux ni de prisonniers politiques. Ou de téléspectateurs. (Les seuls êtres vivants qu’il n’est pas permis de torturer sont les animaux. Du moins, pour le plaisir.)
Pour nos oreilles émerveillées à la Première Chaîne de Radio-Canada, la chose sera diffusée gratuitement du lundi au vendredi de 13 h à 15 h, et en reprise de 22 h à minuit. Le tout débutera le 21 septembre.
L'ex-chef du PQ (Parti «Québécois») (on n’est plus très sûr) (Pour le PLP, Parti Libéral Provincial, succursale du Fédéral, franchise (terme commercial et non moral) (ça se saurait) En fait, on sait déjà) causera environnement les vendredis après-midi. Dans le segment revue de presse (!)
Sa chronique "rayons verts" sera complétée par celle "rayons-x" (santé) de l'urgentologue Alain Vadeboncoeur et "rayons rouges" (consommation ) (l'intervenant n'est pas encore choisi).
Le mot «intervenant» est un beau mot.
Comme si nos épreuves n’étaient pas terminées, le "conseil de famille" réunira chaque lundi une jeune mère d'un jeune enfant, un père d'adolescents (Lamine Foura, ingénieur à Bombardier, d'origine algérienne) et madame rourou, une grand-mère, docteure en psychologie (McGill, 1976 et ex-ministre des finances Libérale Provinciale (on ne sait plus très bien non plus s’il s’agit des finances libérales ou québécoises) Monique Jérôme-Forget (mexicaine d’adoption).
On rappelle pour les idiots qui pullulent, que la madame a réussi à faire perdre 50 milliards à la Caisse de Dépôt et Placement du Québec (avec la collaboration éclairée de messieurs John James Charest et Henri-Paul Rousseau qui a préféré se recycler chez messieurs Desmarais et fils au lieu de faire de la radio. (Sans doute que monsieur Desmarais y a contribué aussi mais on ne sait pas comment.) (Pas encore.)
"Ils parleront d'éducation et de famille. Par exemple: doit-on laisser sa fille de 15 ans inviter son ami à dormir à la maison?" a expliqué Dominique Poirier hier au lancement de la programmation de la Première Chaîne.
Doit-on laisser un incapable jouer au poker avec 50 milliards de $. Et au lieu de le punir pour l’$ égaré (c’est pas de sa faute), (c’est la météo!) (la tempête parfaite.) on lui donne une prime de départ, une pension et des remerciements.
Demandera t-on à cette grand-mère où placer son argent? Et où a-t-elle placé sa pension?
Et a-t-elle enfin appris l’Espagnol?
Il semble que Madame Forget ait trois petits-enfants et ait affirmé« vouloir s'en rapprocher» en quittant la politique, le 8 avril dernier. Elle avait alors déclaré devoir partir de toute urgence au Mexique pour apprendre l’espagnol? On pensait ne jamais la revoir.
Et on la revoit!
Ou on la réentend!
Elle croyait sans doute que lors de la découverte du scandale et de l’accumulation de mensonges du couple Charest-Forget-Rousseau (Trois. C’est un trio. Une perversion. Un accomodement raisonnable.) les québécois lui en voudraient à jamais. Heureusement pour elle, il semble que les québécois ont la mémoire d’une huître. Quel $? La Caisse de Dépôt, hein!
Je suis une huître. Je filtre l’eau. Je suis heureuse. Je suis une huître, je filtre l’eau et je suis contente.
On peut donc dire qu’ils ont le gouvernement qu’ils méritent. Et que le dit-gouvernement les traite comme il pense qu’ils le méritent. Tout ceci est de la logique la plus élémentaire. Et la vie est bien faite.
«J’ai eu un coup de cœur pour Dominique Poirier d’abord, a commenté monsieur André Boisclair (il s’agit d’une métaphore, comme on dit avoir eu un coup de cœur pour un livre), qui est aujourd’hui conseiller aux changements climatiques (?) et développement durable (?) au cabinet Ernst & Young (?) (On dira lobbyiste!) Et partage son expérience de gestion de crise avec les étudiants du baccalauréat en relations publiques de l'université québécoise anglophone Concordia. (Les pauvres!)
Il a parfaitement le droit de faire du lobby et de l’appeler comme il veut.
Agent d’influence, c’es très bien aussi.
Comme un ancien ministre des arbres à la tête dénudée devenu tout d’un coup à sa retraite de la vie politique (quelques jours après et ensuite), un combattant passionné des compagnies forestières qui, pas méchante, ne lui en ont pas voulu de leur avoir fait la vie dure lors de sa carrière en tant que ministre du ministère en question et protecteur des biens public. Et des arbres. Il me semble qu’il y a quelque chose qui cloche dans tous ces mots mais je ne me vois pas. Je vais relire plus tard.
"Je ne veux pas faire de discours ou donner des leçons. Je viens pour échanger" (dit-il). «Je vais prendre plaisir à participer à un magazine d’information, d’éducation et de débats»
On est content d’apprendre que si ces 2 personnages d’élite on trouvé un nouvel emploi à Radio Canada (tout en gardant leurs retraites et pensions et leurs salaires), 805 postes seront abolis à CBC/Radio-Canada dont 336 dans le «service français».
Depuis des décennies, le service de distractions gouvernementales navigue au gré des coupures et embauches, selon la bonne humeur politique. Engageant et régurgitant des fournées d’employés.
Monsieur Peter Elliot Trudeau, ex-premier ministre décédé du Canada voulait faire fermer cette boite de séparatistes. Comme en amour, le point de vue (sur la beauté ou la politique) dépend de celui qui regarde. Pour la plupart des gens normaux, Radio Canada comme son nom le dit est une boite peuplée de fédéralistes.
Mais il y a peu de gens normaux qui font de la politique.
Amen.
