lundi 4 mai 2009
393
COMMENTAIRES DU TEXTE DE PIERRE CLOUTIER : À QUI PROFITE LE "CRIME" ?
La Caisse de dépôt a échangé des milliards de dollars véritables et solides pour des papiers commerciaux qui se sont avérés sans valeur.
Nous on se retrouve avec des papiers sans valeur, mais les gens qui nous les ont vendus ont nos milliards qui eux valent quelque chose.
Bon mettons qu’une bonne partie de cet argent est allé aux banques pour leur acheter ces fameuses mauvaises créances.
Quand on les a achetées, j’imagine qu’on ne savait pas qu’elles seraient mauvaises.
Toujours est-il que les banque ont reçu l’argent équivalent aux créances et cela a compensé l’argent qu’elles ont remis aux vendeurs des maisons au moment de leur achat par des clients avérés insolvables plus tard.
Donc les banques et les vendeurs de maisons ne sont pas à plaindre.
Pourtant, le gouvernement donne quand même des milliards aux banques.
Pourquoi ?
Et les créances ne sont pas devenues mauvaises instantanément, les gens non solvable ont quand même payé pendant parfois des années avant de se faire saisir, donc les banques ou les détenteurs des papiers commerciaux ont quand même vidé les poches de ces pauvres gens pendant tout ce temps.
Tout l’argent qu’ils ont payé sur ces maisons, ils ne le reverront plus et ils n’ont aucun actif pour compenser.
Et les maisons elles-mêmes, même dévaluées et invendables, à qui appartiennent-elles maintenant ?
Bref, si je comprend bien, les intermédiaires financiers nous ont d’abord vidé la poche de gauche (nos épargnes) et maintenant ils nous vident la poche de droite (nos impôts) et ils organisent une vaste campagne médiatique pour qu’on se fasse à l’idée qu’on en a encore pour plusieurs années à se faire tondre la laine sur le dos jusqu’à l’os. Serge Grenier
S’ajoute à votre liste comptable les invraisemblables bêtises entendues à la commission parlementaire spéciale de la part de la Ministre des Finances, Monique-Jérôme Forget. Au travers de ses réponses du genre "très bonne question", des dizaines de "justement" et "vous la poserez aux autres", la sacoche à terre nous prend pour des valises en tentant de nous faire croire avoir ignoré les résultats des pertes de la Caisse de dépôt en possession de son sous-ministre à la fin novembre, 2008 et des conséquences sur les déposants, à la veille du jours du scutin frauduleux libéral. La nomination surréaliste du nouveau PDG Michael Sabia démontre que le gouvernement Charest n’est pas en mode SOLUTION comme voudrait nous le faire croire la ministre mais en mode PANIQUE. Mario Goyette
Confier la caisse de la Nation Québecoise à un étranger canadian unilingue anglais et ultra fédéraliste en dit long sur le travail de sape de Charest pour détruire le Québec MichelG
Suis absolument d’accord avec ce questionnement, et personnellement avec toutes les malversations que l’on a connues depuis Trudeau, un homme a le pouvoir et l’écoute de nos fiscalistes, et cela, il peut le faire indirectement ; je relie l’affaire à ce monsieur, qui fort de ses portefeuilles hors Québec, influence maintenant le Président de la France., puisque qu’il chapeaute tout ce qui se passe à Ottawa depuis que Power a prêté ses actuaires au Canada pour reconstruire sa fiscalité, et cela , sous Trudeau, qui était son émissaire politique.
Le détournement des énergies d’Henri-Paul Rousseau en est la démonstration et si celui-ci est entré chez Power avec un cadeau d’accueil de 800,000 actions, il est clair que c’est son pourcentage.
Ce puissant multi-nationnaliste s’est juré d’avoir la peau et le sang d’un peuple qu’il rejette, et si le Québec a une capacité de devenir une République de banane, on en a l’image impressionniste en regardant l’Émirat de Sagard.
Qui va fouiller suffisamment ce dossier pour éclaircir, du même coup, les évasions fiscales dont nous sommes les victimes ; Canada Steampship Lines, inscrite au Bahamas en est la preuve. Martin Lavoie
La Caisse de dépôt a échangé des milliards de dollars véritables et solides pour des papiers commerciaux qui se sont avérés sans valeur.
Nous on se retrouve avec des papiers sans valeur, mais les gens qui nous les ont vendus ont nos milliards qui eux valent quelque chose.
Bon mettons qu’une bonne partie de cet argent est allé aux banques pour leur acheter ces fameuses mauvaises créances.
Quand on les a achetées, j’imagine qu’on ne savait pas qu’elles seraient mauvaises.
Toujours est-il que les banque ont reçu l’argent équivalent aux créances et cela a compensé l’argent qu’elles ont remis aux vendeurs des maisons au moment de leur achat par des clients avérés insolvables plus tard.
Donc les banques et les vendeurs de maisons ne sont pas à plaindre.
Pourtant, le gouvernement donne quand même des milliards aux banques.
Pourquoi ?
Et les créances ne sont pas devenues mauvaises instantanément, les gens non solvable ont quand même payé pendant parfois des années avant de se faire saisir, donc les banques ou les détenteurs des papiers commerciaux ont quand même vidé les poches de ces pauvres gens pendant tout ce temps.
Tout l’argent qu’ils ont payé sur ces maisons, ils ne le reverront plus et ils n’ont aucun actif pour compenser.
Et les maisons elles-mêmes, même dévaluées et invendables, à qui appartiennent-elles maintenant ?
Bref, si je comprend bien, les intermédiaires financiers nous ont d’abord vidé la poche de gauche (nos épargnes) et maintenant ils nous vident la poche de droite (nos impôts) et ils organisent une vaste campagne médiatique pour qu’on se fasse à l’idée qu’on en a encore pour plusieurs années à se faire tondre la laine sur le dos jusqu’à l’os. Serge Grenier
S’ajoute à votre liste comptable les invraisemblables bêtises entendues à la commission parlementaire spéciale de la part de la Ministre des Finances, Monique-Jérôme Forget. Au travers de ses réponses du genre "très bonne question", des dizaines de "justement" et "vous la poserez aux autres", la sacoche à terre nous prend pour des valises en tentant de nous faire croire avoir ignoré les résultats des pertes de la Caisse de dépôt en possession de son sous-ministre à la fin novembre, 2008 et des conséquences sur les déposants, à la veille du jours du scutin frauduleux libéral. La nomination surréaliste du nouveau PDG Michael Sabia démontre que le gouvernement Charest n’est pas en mode SOLUTION comme voudrait nous le faire croire la ministre mais en mode PANIQUE. Mario Goyette
Confier la caisse de la Nation Québecoise à un étranger canadian unilingue anglais et ultra fédéraliste en dit long sur le travail de sape de Charest pour détruire le Québec MichelG
Suis absolument d’accord avec ce questionnement, et personnellement avec toutes les malversations que l’on a connues depuis Trudeau, un homme a le pouvoir et l’écoute de nos fiscalistes, et cela, il peut le faire indirectement ; je relie l’affaire à ce monsieur, qui fort de ses portefeuilles hors Québec, influence maintenant le Président de la France., puisque qu’il chapeaute tout ce qui se passe à Ottawa depuis que Power a prêté ses actuaires au Canada pour reconstruire sa fiscalité, et cela , sous Trudeau, qui était son émissaire politique.
Le détournement des énergies d’Henri-Paul Rousseau en est la démonstration et si celui-ci est entré chez Power avec un cadeau d’accueil de 800,000 actions, il est clair que c’est son pourcentage.
Ce puissant multi-nationnaliste s’est juré d’avoir la peau et le sang d’un peuple qu’il rejette, et si le Québec a une capacité de devenir une République de banane, on en a l’image impressionniste en regardant l’Émirat de Sagard.
Qui va fouiller suffisamment ce dossier pour éclaircir, du même coup, les évasions fiscales dont nous sommes les victimes ; Canada Steampship Lines, inscrite au Bahamas en est la preuve. Martin Lavoie