DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mardi 19 mai 2009

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Le mot «meurtre» choque.

Tout un flot d'images hante l'esprit de la personne qui l'évoque. Elle se voit déjà à sa place, par terre, «baignant dans son sang» comme aime l'écrire les journalistes qui préfèrent les formulaires.

Il y a une «victime» (toujours) «innocente».

Et un «criminel».

Généralement, ces 2 termes provoquent de nombreuses émotions intenses et variées. Du moins chez la plupart des gens considérés comme «normaux».

Et on trouve tout à fait normal que l'État, le gouvernement pourchasse les «criminels», les «tueurs» et interdise le «crime» et le «meurtre». Et punissent ceux qui ont commis ces actes.

Même un meutre commis ailleurs et dont on aura appris l'existence par les journaux provoquera des émotions de compassion. Les journaux aiment bien provoquer ce genre d'émotions. Les accidents d'autobus sont aussi utiles lorsqu'on n'a rien d'intéressant dans la nouvelle locale ou seulement des choses trop compliquées à comprendre pour le cerveau de qualité moyenne des lecteurs. (Au moins, ceux-ci lisent, que dire des autres?)

Si la mort «injuste» d'un seul individu plonge dans un tel état de détresse psychologique le consommateur de nouvelles, on pourrait penser que davantage de morts serait encore plus traumatisants.

Et bien non. Le nombre de morts dilue l'émotion. Comme si on en avait moins pour chacune des victimes mais aussi pour le lot. Ce qui est curieux.

Et quand il y en a vraiment mais vraiment beaucoup, la personne généralement sensible ne sent plus rien.

On appelle ce genre de phénomène «guerre». Il n'y a pas de nom pour l'effet d'inertie et d'indifférence qui flotte sur la personne qui entend le mot «guerre». Ce qui est curieux. Étant donné que c'est une des principales occupations de l'humanité depuis 10,0000 ans. Une des principales causes de mortalité à part l'intervention de la Nature par famine, épidémie, inondation, tremblement de terre, sécheresse.

Et la principale occupation des États depuis qu'on peut utiliser ce mot. Ces mêmes États qui interdisent le meutre privé sous peine de punition sévère - le meurtre de l'assassin entre autre.

Tout ceci est compliqué et exige un certain nombre de neurons en bon état de marche, le profeseur Bulle y reviendra plus tard. Et il a tout son temps puiqu'on ne semble pas sur le point de cesser cette activité ou ce raisonnement en apparence illogique.

On arrive à la conclusion curieuse que la fin abrupte d'une seule vie est plus choquante que le même phénomène sur un million.

On appelle cette dernière situation «guerre».

Le mot dans la plupart des esprits est tout à fait anodin.

Tandis que le mot «meutre» traumatise.

Tout ce qu'on peut dire pour le moment est que c'est curieux.