DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

dimanche 18 avril 2010

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NI BAVURE NI TORTURE, DIT NATYNCZYK

17 avril 2010
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/04/17/005-Natynczyk-lettre-torture.shtml

Dans une lettre publiée dans la nuit de vendredi, le chef d'état-major canadien, le général Walt Natynczyk, réfute plusieurs accusations portées par le traducteur Malgarai Ahmadshah devant le comité parlementaire sur l'Afghanistan, le 14 avril dernier.

Malgarai Ahmadshah, qui a travaillé pendant 13 mois pour les forces opérationnelles interarmées en Afghanistan, avait affirmé devant le comité que les soldats canadiens avaient tiré sur un jeune homme de 17 ans, lors d'une opération à Kandahar en 2007, le tuant d'une balle derrière la tête.

Selon M. Ahmadshah, les soldats auraient ensuite tenté de dissimuler cette mort en déposant une arme sur le cadavre.

Il a aussi affirmé que les militaires canadiens transféraient des détenus aux services de la Direction nationale de la sécurité (DNS) afghane. Le but : leur soutirer des informations par la torture.

Le général Natynczyk a réfuté ces deux allégations. L'opération qui a eu lieu à Kandahar dans la nuit du 18 au 19 juin 2007 ne s'est pas déroulée ainsi que le traducteur le dit, affirme-t-il tout d'abord dans sa lettre.

Un individu armé représentant une « menace directe et imminente » pour les soldats en mission a été repéré par un militaire canadien qui a pris la décision d'ouvrir le feu, affirme le général Natynczyk.

« Les actes du tireur correspondent aux règles d'engagement et ont sauvé les vies de nombreux membres des Forces canadiennes cette nuit-là » [traduction libre].

Dans son témoignage devant le comité parlementaire, Malgarai Ahmadshah a admis qu'il n'avait pas lui-même assisté à la scène. Les informations dont il disposait lui avaient été relatées par deux prisonniers afghans arrêtés par les Forces canadiennes cette nuit-là.

Le général Natynczyk souligne que l'un de ces prisonniers s'est rétracté, un peu plus tard. Les documents concernant cette opération ne seront pas publiés : ils contiennent des informations sur les techniques et les tactiques de combat que les Forces canadiennes ne veulent pas divulguer.

Walt Natynczyk a cependant précisé qu'une enquête interne était en cours.

PAS DE TORTURE NON PLUS

Malgarai Ahmadshah, qui avait « Pasha » pour nom de code, affirmait aussi que les militaires canadiens envoyaient les détenus à la DNS « lorsque les prisonniers ne leur disaient pas ce qu'ils voulaient entendre ».

« Si l'interrogateur [canadien] pensait qu'un détenu lui mentait, il l'envoyait à la DNS pour qu'on lui pose plus de questions, dans le style afghan.

Traduction : mauvais traitements et torture »,

avait déclaré M. Ahmadshah le 14 avril ajoutant que

« les militaires utilisaient la DNS comme sous-traitant pour les mauvais traitements et la torture».

Le général Natynczyk Natynczyk a également rejeté ces allégations.

« Les Forces canadiennes ne transfèrent pas les individus afin d'obtenir des informations »,

écrit-il dans sa lettre. Sur le terrain, le commandant doit s'assurer qu'il n'y a pas de risque de torture avant de transférer quelqu'un, explique-t-il.

Radio-Canada.ca avec Presse canadienne

*

FORCES NEVER SHOT INNOCENT AFGHAN: TOP GENERAL

April 17, 2010
CBC
http://www.cbc.ca/politics/story/2010/04/17/natynczyk-letter-malgarai.html

The country's top general has fired back at allegations made this week by a former military interpreter that Canadian troops were involved in, and then tried to cover up, the shooting of an unarmed, innocent man in Afghanistan in 2007.

Gen. Walter Natynczyk, the chief of defence staff, said Friday that the Canadian Forces have reviewed the interpreter's testimony to a parliamentary committee and are convinced that their soldiers acted appropriately at all times.

In a letter to the House of Commons special committee on the Afghan mission, a copy of which was obtained by the Globe and Mail newspaper, Natynczyk says the military "has every reason to believe" it has figured out what incident the interpreter was talking about.

During that incident, on the night of June 18, 2007, soldiers did indeed kill a man, Natynczyk writes — but he was an armed militant who posed a lethal threat to troops.

Natynczyk says the military, in conjunction with the Afghan army and NATO allies, was conducting a raid on a compound in Kandahar province that "a full year of intelligence gathering" had determined was a base for rocket and roadside-bomb attacks against the Canadian Forces and its partners.

"During the mission, an armed individual posed a direct and imminent threat to [Canadian Forces] soldiers as they entered the compound,"

NATYNCZYK SAYS

"A shooter who was providing support to the operation identified the individual and assessed he was a threat, and shot the individual.

"The actions of the shooter were an appropriate application of the rules of engagement and saved the lives of a number of Canadian Forces members that night."

Natynczyk's explanation differs markedly from testimony Wednesday by former military translator Ahmadshah Malgarai, who worked for the Forces in Afghanistan from June 2007 to June 2008.

Malgarai told the House committee that while he had no direct knowledge of any Canadian soldiers firing on an unarmed civilian, he took part in ensuing interrogations of men captured at the compound and read an intelligence report on the incident. He alleged that a member of the military personally described it to him as "murder," and that soldiers tried to cover it up.

Natynczyk's letter acknowledges that, during questioning, two of the 10 men captured in the June 2007 raid accused the military of planting a handgun on the shot militant.

"One of the two individuals later retracted his allegation,"

the general writes.

On Thursday, Malgarai told the CBC he could back up his claims and lead the government to people who witnessed the incident and to the family of the young man killed.

The Forces continue to probe Malgarai's allegations, Natynczyk said.

The Commons committee's next meeting is slated for Wednesday, when it is scheduled to hear from three senior officials in the Foreign Affairs Department.