DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

mardi 8 mars 2011

5115. NOS AMIS LES PARASITES SOCIAUX

QUEBECOR : PLUS DE 1000 EMPLOIS COUPÉS DEPUIS 18 MOIS

08-03-2011
Les affaires.com .
http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/medias-et-communications/quebecor--plus-de-1000-emplois-coupes-depuis-18-mois/528158

Le géant québécois des médias et des télécommunications Quebecor a coupé l'équivalent de plus de 1000 emplois à temps plein sur une période de 18 mois, a indiqué la compagnie ce matin lors de la divulgation de ses résultats trimestriels.

[Et ils s'en vantent et ils sont contents. Asociaux psychopathes! Un bain chaud et une petite pilule pour se calmer.]

Cette diminution des effectifs a eu lieu dans le secteur des médias d'information, afin de faire face « à la conjoncture et aux problématiques structurelles auxquelles l'industrie est confrontée depuis les dernières années »,

[Traduction: pour faire plus de profits puisque la méthode traditionnelle: vendre des trucs et des miroirs marchaient moins. On fera travailler plus les esclaves qui resteront. Les témoins du vendalisme social ne savent pas quoi penser comme toujours. En attendant qu'on le leur dise à la radio ou dans les journaux du maître. Les complices, les actionnaires sont contents. Ils seront les prochains sur l'étal du boucher dans leur propre entreprise mais pour le moment ils sont contents. Et les théologiens de l'entreprenariat sont contents itou. Le professeur Bulle aime les gens contents comme le colonel Russell Williams un modèle de contentement.]

a précisé le président et chef de la direction de Quebecor Pierre Karl Péladeau dans un communiqué.

La mesure a permis de faire des économies d'opérations annualisées d'environ 100 millions $, ou 10 % des dépenses d'exploitations, ajoute Quebecor.

Cette réduction du personnel comprend des licenciements ainsi que de l'attrition naturelle, des départs à la retraite et des départs non remplacés lors d'une période de 18 mois se terminant le 31 décembre dernier.

Cela n'inclut donc pas les pertes d'emplois découlant de la fin du conflit de travail au Journal de Montréal, ou 253 employés et journalistes ont été mis en lockout pendant plus de deux ans.

Le lockout a pris fin le 26 février dernier, lorsque le Syndicat du quotidien a accepté une proposition du médiateur spécial nommé par le gouvernement du Québec et prévoyant le retour au travail de 62 employés.

Plus de 16 000 personnes travaillent pour Quebecor et Quebecor Media, a indiqué le porte parole de l'entreprise Serge Sasseville.

[Précision: travaillent «avec» Québecor. Forme de perversion mentale courante mais qui, heureusement, se soigne. Un peu de logique suffit. Un employeur ne «donne» pas du travail, il a un besoin absolu du travail des travailleurs. On dit ça en passant. Passons!]

LE BÉNÉFICE NET CHUTE DE 41 %

Quebecor a vu son bénéfice net chuter de 41 % au quatrième trimestre de son exercice 2010, a annoncé la compagnie ce matin.

[Traduction: On a fait des profits mais moins. On a donc surévalué les profits à venir.]

L'entreprise a enregistré un bénéfice net de 43,5 millions $ au dernier trimestre de son exercice, ou 68 cents par action, comparativement à 73,8 millions, ou 1,15 $ par action un an plus tôt.

La compagnie attribue cette baisse au nouveau réseau de téléphonie cellulaire 3G+ qui ne génère pas encore suffisamment de revenus pour couvrir la charge d'amortissement et les frais encourus pour chaque nouvelle ligne activée.

« Au cours des premiers mois suivant le lancement d'un nouveau produit, il est par ailleurs courant que les nouveaux revenus générés ne soient pas suffisants pour couvrir le niveau supérieur de dépenses »,

a commenté M. Péladeau.

Le bénéfice d'exploitation de Quebecor a reculé de 8 %, à 356,4 millions $, un recul de 31,2 millions $

Les revenus ont augmenté de 5,4 %, à 1,09 milliard $, notamment grâce à une hausse du côté des télécommunications de 9,9 %.

Du côté des médias d'information, les revenus ont encaissé un recul de 2,4 %, ou 6,7 millions $, à cause de la baisse des revenus publicitaires des journaux régionaux et des annuaires, en plus des revenus de tirage.

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COMMENTAIRE

1

PKP...C'est ce qu'on appelle un bon gestionnaire à la sauce néolibérale. Aucune vision à long terme, juste du profit. Aucune responsabilité sociale. Juste de la médisance envers les salariés. Il est temps que l'on se débarrasse de ces visions de management et que l'on revienne à des patrons comme on pouvait en voir dans les années 60-70, des gens qui s'investissaient dans tous les sens du terme dans leur compagnie et qui respectaient leurs employés.

[Hum! Si monsieur Péladeau père a fondé l'entreprise, il n'aurait rien pu faire sans tous ces gens qui travaillaient pour ou avec lui. Comme monsieur Péladeau fils qui semble comme les boss de sa génération voir les travailleurs comme des frais ou des taxes injustifiables ne provoquant que plaintes et démangeaisons en attendant l'époque bénie où les robots ou les chinois les remplaceront enfin. Gratos! On remarquera que la secte des patrons ne comporte qu'un petit nombre de membres et qu'il serait temps que la masse des travailleurs s'en rendent compte. Mais ils semblent avoir tellement hâte d'être exploités et si déçus de ne pas l'être ou de cesser de l'être. On se retrouve dans un roman de Sade adapté par Marx. Quant à la génération de Péladeau père, il ne faut pas l'idéaliser. Il se comportait comme un roi avec ses serfs (comme fifils aussi) et renvoyait qui lui déplaisait sur un coup de tête mais, selon ses biogragphes, comme il avait les nerfs trop fragiles pour supporter la confrontation ou les remords, il faisait faire le sale job par ses exécuteurs. Et comprenant l'astuce, il est arrivé que des mis-à-la-porte réussisse à le rencontrer pour se plaindre de leur sort, le coeur brisé, il les réengageait sur le champs se plaignant à son tour que des cadres aient pu prendre cette initiative sans lui en parler. Il lui arrivait aussi sur d'autres coups de têtes (comme beaucoup de gens de sa caste, les problèmes psychiâtriques étaient fréquents que l'alcool et la baise aidait à surmonter) il renvoyait ses secrétaires plusieurs fois par jour pour les réengager sitôt calmé et incapable de se retrouver dans le fouillis de ses papiers. Et n'oublions pas qu'il y avait pire que lui (la majorité) et qu'on n'hésitait pas à faire intervenir la police pour casser la tête des grévistes. Y compris la mafia quand c'était nécessaire. Aussi bien comme jaune que briseurs de grèves ou de grévistes. La grève de l'amiante est devenu légendaire. Les flics allaient jusque dans les maisons pour casser la gueule à toute la famille. Et sortaient les gens des autos pris dans les embouteillages les prenant pour des complices des grévistes et de méchants communistes pour leur casser la gueule à eux-aussi. On a rarement été plus loin en terme de folie sociale qu'à ce moment. D'où des relations durables entre la caste industrielle et les noms en I et O. Et les relations de toujours entre la police et les noms en I et O. Ce qui a donné l'idée à certains d'entre eux de réinvestir les profits de leurs activités: drogue - chantage - prêts usuraires - prostitution - cigarettes - armes - pédophilie dans des activités légales et d'infiltrer les gouvernements municipaux et provinciaux. Un manège enchanté de beaux dollars. Une farandoles d'investisseurs dansant allègrement sous les $ de la population émerveillée. On en restera là, à des relations moyennageuses du type seigneur/manant-serf tant qu'on ne verra pas le rapport de force qui est d'1 contre des millions. On reparlera de la version locale de la «démocratie» à un autre moment d'allégresse. Se souvenir: L'homme d'affaires ne «donne» pas du travail. Il a besoin du travail des personnes qui acceptent de travailler avec lui. Sans ça, il n'est bon qu'à fouiller dans les poubelles. C'est à la majorité de régler le cas de ces exploiteurs comme ils l'entendront. Ou les civiliser. Ou les mettre dans un zoo. S'ils sont trop stupides pour le faire, tant pis pour eux. Ce sera à une autre génération, un jour, de régler le problème. Car le rapport de force demeurera pour l'édification des masses laborieuses et du clergé. On affirmera que tous les patrons ne sont pas des exploiteurs mais c'est comme le français avec ses règles que les exceptions ne viennent que confirmer. Ce qui ne veut rien dire sauf que la règle est absolue avec quelques dérèglements passagers vestiges du passé vu comme un caprice élégant. Le travail comme la langue n’est qu’un moyen de communication destiné à la socialisation (et à combattre l'ennui d'une trop longue vie) à adapter par ses utilisateurs. Comme un jeu de société pour adulte. Comme le sexe entre adultes consentants. Non un instrument de torture et le moyen pervers de bâtir à ses frais et sur son dos un château pour ses exploiteurs attitrés.]


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Image. Hervé Philippe

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