DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

dimanche 13 mars 2011

5141. COMMENT PERDRE SON $ AVEC JOIE ET RECONNAISSANCE. COURS NUMÉRO 1. PAGE 1. CONSTRUIRE UN COLISÉE ET LE DONNER. PAGE 2. ACHETER UNE ÉQUIPE DE...

PARTENARIAT QUÉBÉCOR, VILLE DE QUÉBEC ET PROVINCE DE QUÉBEC DANS LE NOUVEAU COLISÉE PÉLADEAU

LE TRIOMPHE DE QUÉBEC INC.

[Si. Si. Le monsieur le dit!]

Jean Baillargeon, expert-conseil en communication et développement stratégique

11 mars 2011
Le Soleil.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/points-de-vue/201103/08/01-4377231-le-triomphe-de-quebec-inc.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4378732_article_POS5

Les citoyens de Québec peuvent être fiers de l'entente entre la ville de Québec et Quebecor, un investissement privé de 111 millions $ sans club de hockey de la ligue nationale et de 189 millions $ avec un nouveau club de hockey professionnel.

[Et on ne parle pas de l'«investissement» public de 400 millions. Chiffre éloquent. Et, peut-être, précoce ou prématuré (vision de bébé financier difforme), car cité avant même la réalisation des plans. La déviation d'une auto-route. La dépollution d'un terrain. Ect. Se souvenir du métro de Laval!]

Ce partenariat public-privé reflète donc le triomphe de Québec Inc, soit celui des entrepreneurs québécois qui n'ont pas peur d'investir dans le développement économique de la 2e plus grande ville au Québec.

Mais qui se rappelle que ce succès d'alliance public-privé n'a été possible que par l'investissement de la Caisse de dépôt et de placement du Québec de trois milliards de dollars lorsque Vidéotron a été racheté à la famille Chagnon par Quebecor?

Par ailleurs, avant cette vente à Quebecor en l'an 2000, la famille Chagnon avait utilisé abondamment dans les années 80 le Régime épargne actions (REA) mis en place par Jacques Parizeau pour financer notamment l'achat du réseau TVA sous l'oeil bienveillant de la Caisse de dépôt et de placement du Québec.


[On se rappellera aussi qu'il y eut un conflit entre 2 acheteurs: l'un québécois, l'autre étranger (Canadien.) qui était prêt à payer beaucoup plus cher que l'autre qui fouillait dans sa bas. Ce n'est que l'intervention du gouvernement québécois qui lui prêta les quelques milliards qui lui manquaient qui lui permirent d'acheter l'entreprise. Au grand déplaisir de son propriétaire d'alors, monsieur Chagnon qui fait entendre à la tv ses plaintes déchirantes et qui dut se contenter de bien moins qu'il espérait (1 milliard de moins, il y a de ces injustices du sort!), puisque la Caisse étant aussi actionnaire de son entreprise lui interdit de la vendre à qui il voulait. D'où bouderie. Qui ne dura pas. Ensuite, très vite, comme à tv, ce fut la crevaison d'une des nombreuses bulles financières comme on en verra beaucoup par la suite. Soudainement, l'entreprise valait bien moins que le mois d'avant. Monsieur Chagnon soupira profondément, car s'il eut attendu plus longtemps, il mangeait ses bas. Ou les savourait longuement, étant toujours le proprio d'une entreprise dévaluée (à sa valeur réelle) de quelques milliards. L'entrepreneur de l'Ouest qui était désireux de l'acheter très cher épargna beaucoup d'$. Monsieur PKP hérita d'une entreprise nouvelle et d'une grosse dette (que ses employées paieraient). Le seul qui perdit fut le gouvernement et la Caisse donc la valeur de l'actif (dévalué) était déplaisante. Le Québec hérita d'un nouveau monopole de l'information. Avec celui de monsieur Desmarais. On voulu éviter que des étrangers (anglais) achètent une entreprise d'information. En échange, on se fabriqua un roi. Qui, ironie suprême, déteste l'État et veut le décapiter. Et le PQ qui lui permit de devenir très riche. Et les socialistes qui lui permirent de devenir très riche. Et les indépendantistes qui lui permirent de devenir très riche. Et les syndicalistes qui... La réalité aime ces petits jeux.]

Donc, à deux reprises, ce sont les épargnes des Québécois qui ont permis à Pierre Karl Péladeau de bâtir son réseau médiatique, soit directement ou indirectement, en rachetant le groupe TVA et Vidéotron.

L'entente entre la ville de Québec et Quebecor est un juste retour sur l'investissement fait dans le passé par l'ensemble des citoyens du Québec qui ont misé leur épargne sur l'empire Quebecor.

[Y compris les ex-grévistes et nouveaux chômeurs, victime de la nouvelle vision d'Abraham entendant les voix du Marché. Oui! Il faut sacrifier ton fils. Ou, au moins, tes employés! Il y en a trop! Ils coûtent trop cher! Ils ne font rien! Ou de celle de vision de monsieur PKP qui, en bonne ménagère, est capable d'économiser et de faire plus avec moins. Et des petits plats dans des grands. Ou le contraire.]

Par conséquent, que 30 jours par année servent à des projets communautaires, dans le nouvel amphithéâtre, comme le Tournoi international de hockey Pee-Wee, c'est un geste de respect et de reconnaissance envers l'investissement collectif des Québécois.

[Que connaissant le sieur Péladeau, il se fera un plaisir de démontrer sa reconnaissance et la qualité de sa mémoire.]

Il ne reste plus qu'à boucler la boucle, en ramenant à Québec une équipe de la Ligue nationale de hockey, une équipe qui favorisera le recrutement de joueurs du Québec comme le souhaite Patrick Roy, propriétaire des Remparts de Québec.

[Une équipe, l'exemple des Canadiens le prouvant (et celle des Nordiques, avant. Et celle des joueurs des Expo, avant avant) préférera acheter ses joueurs à l'étranger parce qu'ils parlent anglais comme du monde normal. Avec l'idée que les bons joueurs sont ailleurs. Et meilleurs parce qu'ils parlent anglo. Et il est intéressant de voir ce que la nostalgie fait à la mémoire qui ne sélectionne alors que les bons moments, en les époussetant si besoin. J'ai, par contre, le souvenir très net d'une équipe de hockey continuellement perdante qui avait fini par écoeurer ses plus fidèles partisans. En fait, pas eux. Mais tous les autres. Il y avait aussi les propriétaires de l'équipe qui étaient contents. Et encore plus quand ils la vendirent une fois que le gouvernement refusa de l'acheter ou de la subventionner encore.]

Les Montréalais viendraient alors à Québec voir leurs idoles hockeyeurs québécois, [?] un objectif secondaire pour les Canadiens de Montréal.

[Dans le «plan d'affaire» particulièrement imaginatif et créatif, on prévoit que les spectateurs enthousiastes arriveront de Gaspésie ou de Lac Saint-Jean. Et ceux de Toronto. Qui sont tous déjà comptés parmi les sources de revenus et les spectateurs potentiels. L'optimisme est une forme de délire arrivé à ce point.]

Le maire de Québec a vu juste, en engageant Yvon Charest [parent de ? de ?] , président de l'Industrielle Alliance. Il a mobilisé le talent de Québec Inc de la région de la capitale nationale afin de négocier et d'attirer un autre fleuron de Québec Inc. de Montréal,

et ce au bénéfice des «payeurs de taxes» de Québec, dont le risque est pratiquement nul, [?]

600 000$ par année dans le pire des scénarios.

[Nous pouvons donc prédire, en bon prophète de malheur que nous sommes, que ce sera le minimum des pertes (en ajoutant ou non les frais de fonctionnement que le nouveau locataire trouvera bien moyen de refiler à la ville. En plus de la poursuite inévitable en révision des taxes municipales, basée tradionnellement sur la valeur (contestable) (on le verra) de l'immeuble. Comme on dit: ça va saigner. Mais, la tradition des spectacles de marionnettes veut qu'à ce moment, plus personne ne se souviendra de ces quelques détails. Il restera la facture réelle gonflé du double ou du triple comme d'habitude par rapport aux prévisions. Il suffira de couper quelques fonctionnaires inutiles ou quelques services trop généreux envers la population que donnait le gouvernement paternaliste. Qui seront évidamment reconnaissant.]

Enfin, le futur amphithéâtre aura un rôle prépondérant au chapitre de la diffusion et de la production de spectacles à Québec, ce qui consolidera l'industrie culturelle de la capitale nationale.

Décidément, notre maire entrepreneur a su canaliser les meilleures énergies de Québec Inc et son leadership renforcera Québec comme pôle de développement économique, tant sur le plan sportif que culturel, de quoi faire rougir d'envie les Montréalais.

*

Photo. http://homesoftherich.net/wp-content/uploads/2010/06/Picture-133.png

THE TULYONS RESIDENCE LAKE OF TWO MOUNTAINS

[On remarquera que si nos élites savent lire (ce qui est rassurant) il leur faut pour ce faire un décor adéquat. Malheureusement, contrairement à Montaigne, le lecteur dont on voit ici la modeste salle de lecture (ou la lectrice) ne grave pas de sages maximes latines ou grecques sur les poutres du plafond. Il n'y a pas de poutre. Et le plafond est bien haut. Ce qui est dommage.]