lundi 14 mars 2011
5144
JAPON
TREMBLEMENT DE TERRE
DES ONDES SISMIQUES ENREGISTRÉES JUSQU'AU MANITOBA
11 mars 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/03/11/019-seisme-japon-sismographe-universite-manitoba.shtml
Le séisme de magnitude 8,9 qui a frappé le nord-est du Japon vendredi matin, provoquant un tsunami avec des vagues de 4 mètres de haut, a été tellement fort que des ondes sismiques ont été captées jusqu'au Manitoba.
Un sismographe situé à l'Université du Manitoba a enregistré le tremblement de terre qui a secoué le Japon. Les professeurs et les étudiants se sont rassemblés vendredi matin devant l'appareil installé dans le département de géologie.
L'amplitude des secousses sismiques a impressionné les spécialistes présents.
Les ondes détectées étaient tellement fortes que le sismographe n'a pas pu capter l'amplitude maximale, indique le sismologue Andrew Frederiksen.
Ce tremblement de terre était au moins 100 fois plus fort que celui de Nouvelle-Zélande en février dernier, donne-t-il à titre de comparaison.
L'enregistrement sur papier servira aux chercheurs de l'université à étudier comment le sol manitobain a absorbé ces ondes sismiques.
(...)
*
LE SÉISME JAPONAIS PROVOQUE UNE ONDE DE CHOC JUSQU'EN SASKATCHEWAN
11 mars 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/03/11/023-reactions-sask-seisme.shtml
(...)
Philip Charrier est professeur à l'Université de Regina. Spécialiste du Japon, il voyage souvent là-bas pour rendre visite à sa belle-famille et ses amis.
Selon lui, la menace d'une catastrophe aussi dévastatrice est une réalité quotidienne pour les Japonais.
«C'était un peu comme quand on était jeune ici au Canada et qu'il y avait la peur de la bombe nucléaire. C'est la même chose. On a le sens que notre vie est toujours précaire et qu'il faut être prêt à perdre des amis, des gens qu'on aime, de la famille.»
— Philip Charrier, spécialiste du Japon
*
Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois donc il lui arrive d'être.
TREMBLEMENT DE TERRE
DES ONDES SISMIQUES ENREGISTRÉES JUSQU'AU MANITOBA
11 mars 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/03/11/019-seisme-japon-sismographe-universite-manitoba.shtml
Le séisme de magnitude 8,9 qui a frappé le nord-est du Japon vendredi matin, provoquant un tsunami avec des vagues de 4 mètres de haut, a été tellement fort que des ondes sismiques ont été captées jusqu'au Manitoba.
Un sismographe situé à l'Université du Manitoba a enregistré le tremblement de terre qui a secoué le Japon. Les professeurs et les étudiants se sont rassemblés vendredi matin devant l'appareil installé dans le département de géologie.
L'amplitude des secousses sismiques a impressionné les spécialistes présents.
Les ondes détectées étaient tellement fortes que le sismographe n'a pas pu capter l'amplitude maximale, indique le sismologue Andrew Frederiksen.
Ce tremblement de terre était au moins 100 fois plus fort que celui de Nouvelle-Zélande en février dernier, donne-t-il à titre de comparaison.
L'enregistrement sur papier servira aux chercheurs de l'université à étudier comment le sol manitobain a absorbé ces ondes sismiques.
(...)
*
LE SÉISME JAPONAIS PROVOQUE UNE ONDE DE CHOC JUSQU'EN SASKATCHEWAN
11 mars 2011
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/03/11/023-reactions-sask-seisme.shtml
(...)
Philip Charrier est professeur à l'Université de Regina. Spécialiste du Japon, il voyage souvent là-bas pour rendre visite à sa belle-famille et ses amis.
Selon lui, la menace d'une catastrophe aussi dévastatrice est une réalité quotidienne pour les Japonais.
«C'était un peu comme quand on était jeune ici au Canada et qu'il y avait la peur de la bombe nucléaire. C'est la même chose. On a le sens que notre vie est toujours précaire et qu'il faut être prêt à perdre des amis, des gens qu'on aime, de la famille.»
— Philip Charrier, spécialiste du Japon
*
Le professeur Bulle a parlé. Ou pensé quelque chose. Ou eut une émotion quelconque. Le professeur Bulle pense quelques fois donc il lui arrive d'être.