Serge Forgues
9 mars 2011
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/03/20110309-070359.html
Agence QMI
Les personnes vivant dans un quartier à statut socioéconomique faible sont plus vulnérables aux effets de la pollution atmosphérique que les gens plus fortunés.
[Qui vivent, comme par hasard, dans des endroits non pollués. Ce qui est vraiment un mystère de la vie.]
Telle est la conclusion qui ressort d’un rapport produit par l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) ayant été rendu public mardi.
En s’appuyant sur les taux d’hospitalisations en raison de troubles de circulation et respiratoires, l’ICIS démontre que la proximité d’une installation polluante n’a pas la même incidence sur la santé des personnes provenant de milieu socioéconomique différent.
[Heu! C'est que les personnes de milieu socioéconomique différent ne vivent pas au même endroit. Et certains (qui?) certainement pas à proximité d'une installation polluante. On sais pas pourquoi. Affaire de goût? Ou sens plus poussé de l'esthétique?]
Selon Mélanie Josée Davidson, Chef d’équipe Initiative sur la santé de la population, l’une des hypothèses pouvant expliquer cette réalité serait la qualité des habitations.
« Avec de moins bonnes fenêtres, un moins bon système d’aération, la pollution pourrait être plus présente et demeurer plus longtemps à l’intérieur. »
Dans les milieux les plus pauvres, on dénote 1782 hospitalisations chez les individus vivants à moins de 500 mètres d’une installation polluante,
soit 234 de plus que chez les individus demeurant à plus de deux kilomètres d’une telle source.
[Voilà! Plus tu as de l'$ plus tu restes loins des autoroutes, des dompes à vidanges, des usines de viandes à chat, des centrales nucléaires. Et moins tu sens les mauvaises odeurs, c'est comme ça.]
La différence est nettement moins marquée dans les secteurs socioéconomiques les plus élevés, alors que 1202 personnes ayant élu domicile à moins de 500 mètres d’une installation polluante ont été hospitalisées, contre 1117 chez ceux qui bénéficient d’une « zone tampon » de deux kilomètres, une différence de seulement 85 cas.
Plus d'un million de Canadiens vivent en milieu urbain dans une région à statut économique faible se trouvent à un kilomètre ou moins d’une installation polluante.
[Comme par hasard!?]
[L'État fait des annonces pour prévenir les gens de ne pas fumer ou de cesser tout de suite. Peut-être qu'être pauvre rend malade mais on n'est pas sûr tant que l'État ne passera pas d'annonce à la tv. On peut croire que la pauvreté, comme la cigarette, l'alcool et la drogue, est mauvaise pour la santé. Et il vaut mieux cesser tout de suite cette activité malsaine et cette mauvaise habitude si on veut vivre longtemps et en santé. ]
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