lundi 8 mars 2010
3125. COMMENTAIRE DU PROFESSEUR BULLE SUR LE 3122
Première règle de la vie en société: Tout ce qu'on vout dit est faux.
Tout ce que vous lisez, tout ce que vous entendez, tout ce que vous voyez est faux.
Corrolaire: Donc, tout ce que vous savez est faux.
C'est ainsi qu'une société organisée peut exister au-delà du state d'une fourmilière. Que ce soit en Afghanie ou au Japon.
Le mot important est «organisé». Et «organisation». Et «organisme».
À ce stade, on est face à une nouvelle forme de vie. Forme immense qui vous englobe sans effort. Et vous donne à voir.
Et l'étrangeté du mode de vie et de pensée n'est évident que pour un étranger.
Il faut donc vous adapter ou vous en aller.
À condition que vous puissiez faire l'un ou l'autre?
Il va de soi qu'une si parfaite organisation du mensonge exige des esprits perfectionnés et sans défauts.
Ce qui est loin d'être le cas pour l'observateur.
Il résulte de ce petit défaut que la vérité peut filtrer. Ici ou là. Dans la glace, le métal ou le béton. Car tout se corrode, fond, se désagrège et pourrit.
Les humains se suivent dans l'éternel cycle de naissance et de destruction. Et entre la naissance et la mort de l'un et de tous, le recyclage incessant de tout ce qui existe se poursuite pour le transformer en autre chose.
Un petit peu de vérité suinte.
Un rien de lumière perceptible aux esprits éveillés.
Le doute systématique doit être appliqué à tout ce qu'on dit-entend-voit-pense-rêve. Rien ne dit que vous rêvez vos propres rêves et rêvez votre propre vie.
Et la première erreur -si satisfaisante- est de se croire libre.
Le premièr mensonge de celui qui ne vous veut aucun bien est de vous dire libre.
Peut-être que la liberté est impossible ici-bas, lors de notre brève existence.
Puisque le mensonge commun est essentiel à la vie en société. À l'obéissance instantanée. Afin que ce qui existe continue, dure, s'éternise.
Et ce qui existe, malgré tout, changera.
Il faut donc se perfectionner, s'entraîner à la méfiance et au doute.
Sauf si vous tenez absolument à ce qui existe. Et votre place dans cette existence.
Ce peut être le cas.
L'illusion vous est alors nécessaire. Autant qu'à celui qui est en bas et obéit de sa naissance à la mort comme on l'a dressé pour que jamais il ne se rende compte de sa situation dans toutes les autres situations possibles.
Pour que des millions de gens dans une ville aillent et viennent et fassent ce qu'on attend d'eux - sinon, aucune ville de millions de gens ne pourraient exister- on a perfectionné la férocité et la peur qui servait depuis toujours mais avec des résultats bien inférieurs aux méthodes modernes. On éduque donc les gens. Sans cesse. Sans que ces ordres ne viennent d'un endroit précis. Comme on n'a jamais découvert encore d'où provient le système qui fait tenir si bien la moindre fourmilière et la plus petite fourmis agitée.
Il reste tant de choses à découvrir sur nous même.
Mais on peut tester nos modestes instruments sur des matériaux friables comme la nouvelle du jour. Ce qu'on tient absolument à ce que vous sachiez et qui a été choisi parmi des millions de nouvelles.
Nécessairement pour votre bien.
La conclusion de votre lecture sera invariablement que tout va bien ou, sinon, que c'est pire ailleurs. Que les gens qui vous dirige «mais que vous avez élu et qui vous représentent- savent ce qui est bon pour vous.
Commençons donc par l'Islande.
On nous dit -et il faut le croire qu'un pays de 300,000 personnes (il semblait pourtant que le Québec avec 7 millions d'habitants était trop maigrichon pour devenir pays) a pu laisser SES banques faire des afffaires internationales. Le résultat étant la faillite D'UNE BANQUE et une dette de 5 milliards que l'Angleterre veut faire payer.
La raison (?) étant que l'Angleterre (et autres pays moins importants) ont dû rembourser les épargnants qui avaient déposé leur $ dans les banques Islandaises insatallées sur leur sol.
Intéressant!
On nous demande de croire que sur les centaines de succursales de banques locales et étrangères installés en Angleterre, les clients se sont ruées sur des banques inconnues d'un pays minisculte et mystérieux. Une île. Un des point commun avec l'Angleterre ce qui rendait l'attraction irrésistible.
5 milliards de déposants ont déposé chacun $1 (ou euro ou livres, peu importe)
Ou
5,000 épargnants ont déposé chacun 1 million.
Intéressant.
Le gouvernement Islandais pour «aider» «ses» banques (qui l'a convaincu?) avait semble-t-il garanti les dépôts.
Au Canada, il y a une garantie semblable en cas de faillite qui rembourse les premièrs 60,000 ou 100,000. Le reste va à l'égoût. Et ceci uniquement en cas de faillite. Les innombrables recyclable d'$ en rien qui ont eu lieu l'année dernière sont restés comme tels puisque aucune banque n'a fait faillite (parce que l'État les a soutenu - mais pas les «investisseurs»)
La faute de l'Islande - à ce qu'on dit- (et vous savez ce que je pense de ce «qu'on dit») a été de tout garantir.
Mais qui le savait vraiment à part ceux qui sont bien placé pour tout connaître des finances.
Les petites banques étaient donc noyées parmi des institutions plus grandes, immenses et la réputation légendaire.
On peut donc penser que les épargnants ordinaires n'ont eu aucune idée du bonus qu'on leur offrait. Sauf des gens peu ordinaires qu'on appelle «banquier».
Comment les 3 petites banques faisaient-elles pour offrir le taux d'intérêt alléchant pour attirer les affamés?
Ce n'est certainement pas en misant sur les industries de l'île.
On voit donc apparaître des manoeuvres financières qui ont contaminé toutes les autres. Le SIDA financier si contagieux venant des USA.
Les banques étrangères (et anglaises) ont investi dans les 3 petites banques pour continuer le jeu.
Jusqu'à ce que tout éclate. Comme un fusible trop chargé.
Pour sauver le «système» et éviter l'émergence d'un autre, ON a sauvé toutes les banques. Sauf aux USA où on a voulu donner un exemple.
On devine donc que les banques et parasites financiers anglais ont joué 5 milliards sur les petites banques. Que l'État leur a remboursé.
Il va de soi que les individus se sont fait lavés.
L'Angleterre demande maintenant à l'Islande de le rembourser, lui.
Il va de soi que l'Angleterre, ex-grande puissance ne demenadera jamais aux USA de le rembourser des milliards que leur SIDA a détruit. À une autre époque, c'aurait été un acte de guerre. On est à une autre époque et les puissances se sont distribuées différamment.
On se souviendra qu'il y quelques années, monsieur Georges Soros a joué contre la monnaie anglaise et aurait pu, à lui seul, banquerouter le pays.
À une autre époque, le chef d'État aurait demandé aux spécialistes de ses services secrets de s'occuper du monsieur.
On se souviendra qu'un grand financier, amateur de journaux, à fini «noyé» «suicidé» pour bien moins que ça. Il est facile de tomber du bateau.
Le jeu de la finance est devenue une arme de guerre.
Et une nouvelle forme de terrorisme pratiqué par les grands. À côté de ces méthodes, les mauvaises manières dénconçées par tout le monde concernant quelques excités du Tiers-Quart Monde ne sont que de l'amateurisme.
La Finance mondiale a été sauvée. Elle va se venger de la peur qu'elle a eue. Il lui faut recycler son $ et ses symboles financiers tant qu'il leur reste quelque aura. On n'a sauvé que les apparences avec des simulacres de chiffres.
On les marchandera contre la richesse réelle des pays (mines, etc.). On les échangera. On menacera.
Jusqu'à quand ce jeu pervers durera-t-il?
6-7 milliards de gens sur Terre dépendent de quelques magiciens.
Il suffit de ne plus les croire.
Tout ce que vous lisez, tout ce que vous entendez, tout ce que vous voyez est faux.
Corrolaire: Donc, tout ce que vous savez est faux.
C'est ainsi qu'une société organisée peut exister au-delà du state d'une fourmilière. Que ce soit en Afghanie ou au Japon.
Le mot important est «organisé». Et «organisation». Et «organisme».
À ce stade, on est face à une nouvelle forme de vie. Forme immense qui vous englobe sans effort. Et vous donne à voir.
Et l'étrangeté du mode de vie et de pensée n'est évident que pour un étranger.
Il faut donc vous adapter ou vous en aller.
À condition que vous puissiez faire l'un ou l'autre?
Il va de soi qu'une si parfaite organisation du mensonge exige des esprits perfectionnés et sans défauts.
Ce qui est loin d'être le cas pour l'observateur.
Il résulte de ce petit défaut que la vérité peut filtrer. Ici ou là. Dans la glace, le métal ou le béton. Car tout se corrode, fond, se désagrège et pourrit.
Les humains se suivent dans l'éternel cycle de naissance et de destruction. Et entre la naissance et la mort de l'un et de tous, le recyclage incessant de tout ce qui existe se poursuite pour le transformer en autre chose.
Un petit peu de vérité suinte.
Un rien de lumière perceptible aux esprits éveillés.
Le doute systématique doit être appliqué à tout ce qu'on dit-entend-voit-pense-rêve. Rien ne dit que vous rêvez vos propres rêves et rêvez votre propre vie.
Et la première erreur -si satisfaisante- est de se croire libre.
Le premièr mensonge de celui qui ne vous veut aucun bien est de vous dire libre.
Peut-être que la liberté est impossible ici-bas, lors de notre brève existence.
Puisque le mensonge commun est essentiel à la vie en société. À l'obéissance instantanée. Afin que ce qui existe continue, dure, s'éternise.
Et ce qui existe, malgré tout, changera.
Il faut donc se perfectionner, s'entraîner à la méfiance et au doute.
Sauf si vous tenez absolument à ce qui existe. Et votre place dans cette existence.
Ce peut être le cas.
L'illusion vous est alors nécessaire. Autant qu'à celui qui est en bas et obéit de sa naissance à la mort comme on l'a dressé pour que jamais il ne se rende compte de sa situation dans toutes les autres situations possibles.
Pour que des millions de gens dans une ville aillent et viennent et fassent ce qu'on attend d'eux - sinon, aucune ville de millions de gens ne pourraient exister- on a perfectionné la férocité et la peur qui servait depuis toujours mais avec des résultats bien inférieurs aux méthodes modernes. On éduque donc les gens. Sans cesse. Sans que ces ordres ne viennent d'un endroit précis. Comme on n'a jamais découvert encore d'où provient le système qui fait tenir si bien la moindre fourmilière et la plus petite fourmis agitée.
Il reste tant de choses à découvrir sur nous même.
Mais on peut tester nos modestes instruments sur des matériaux friables comme la nouvelle du jour. Ce qu'on tient absolument à ce que vous sachiez et qui a été choisi parmi des millions de nouvelles.
Nécessairement pour votre bien.
La conclusion de votre lecture sera invariablement que tout va bien ou, sinon, que c'est pire ailleurs. Que les gens qui vous dirige «mais que vous avez élu et qui vous représentent- savent ce qui est bon pour vous.
Commençons donc par l'Islande.
On nous dit -et il faut le croire qu'un pays de 300,000 personnes (il semblait pourtant que le Québec avec 7 millions d'habitants était trop maigrichon pour devenir pays) a pu laisser SES banques faire des afffaires internationales. Le résultat étant la faillite D'UNE BANQUE et une dette de 5 milliards que l'Angleterre veut faire payer.
La raison (?) étant que l'Angleterre (et autres pays moins importants) ont dû rembourser les épargnants qui avaient déposé leur $ dans les banques Islandaises insatallées sur leur sol.
Intéressant!
On nous demande de croire que sur les centaines de succursales de banques locales et étrangères installés en Angleterre, les clients se sont ruées sur des banques inconnues d'un pays minisculte et mystérieux. Une île. Un des point commun avec l'Angleterre ce qui rendait l'attraction irrésistible.
5 milliards de déposants ont déposé chacun $1 (ou euro ou livres, peu importe)
Ou
5,000 épargnants ont déposé chacun 1 million.
Intéressant.
Le gouvernement Islandais pour «aider» «ses» banques (qui l'a convaincu?) avait semble-t-il garanti les dépôts.
Au Canada, il y a une garantie semblable en cas de faillite qui rembourse les premièrs 60,000 ou 100,000. Le reste va à l'égoût. Et ceci uniquement en cas de faillite. Les innombrables recyclable d'$ en rien qui ont eu lieu l'année dernière sont restés comme tels puisque aucune banque n'a fait faillite (parce que l'État les a soutenu - mais pas les «investisseurs»)
La faute de l'Islande - à ce qu'on dit- (et vous savez ce que je pense de ce «qu'on dit») a été de tout garantir.
Mais qui le savait vraiment à part ceux qui sont bien placé pour tout connaître des finances.
Les petites banques étaient donc noyées parmi des institutions plus grandes, immenses et la réputation légendaire.
On peut donc penser que les épargnants ordinaires n'ont eu aucune idée du bonus qu'on leur offrait. Sauf des gens peu ordinaires qu'on appelle «banquier».
Comment les 3 petites banques faisaient-elles pour offrir le taux d'intérêt alléchant pour attirer les affamés?
Ce n'est certainement pas en misant sur les industries de l'île.
On voit donc apparaître des manoeuvres financières qui ont contaminé toutes les autres. Le SIDA financier si contagieux venant des USA.
Les banques étrangères (et anglaises) ont investi dans les 3 petites banques pour continuer le jeu.
Jusqu'à ce que tout éclate. Comme un fusible trop chargé.
Pour sauver le «système» et éviter l'émergence d'un autre, ON a sauvé toutes les banques. Sauf aux USA où on a voulu donner un exemple.
On devine donc que les banques et parasites financiers anglais ont joué 5 milliards sur les petites banques. Que l'État leur a remboursé.
Il va de soi que les individus se sont fait lavés.
L'Angleterre demande maintenant à l'Islande de le rembourser, lui.
Il va de soi que l'Angleterre, ex-grande puissance ne demenadera jamais aux USA de le rembourser des milliards que leur SIDA a détruit. À une autre époque, c'aurait été un acte de guerre. On est à une autre époque et les puissances se sont distribuées différamment.
On se souviendra qu'il y quelques années, monsieur Georges Soros a joué contre la monnaie anglaise et aurait pu, à lui seul, banquerouter le pays.
À une autre époque, le chef d'État aurait demandé aux spécialistes de ses services secrets de s'occuper du monsieur.
On se souviendra qu'un grand financier, amateur de journaux, à fini «noyé» «suicidé» pour bien moins que ça. Il est facile de tomber du bateau.
Le jeu de la finance est devenue une arme de guerre.
Et une nouvelle forme de terrorisme pratiqué par les grands. À côté de ces méthodes, les mauvaises manières dénconçées par tout le monde concernant quelques excités du Tiers-Quart Monde ne sont que de l'amateurisme.
La Finance mondiale a été sauvée. Elle va se venger de la peur qu'elle a eue. Il lui faut recycler son $ et ses symboles financiers tant qu'il leur reste quelque aura. On n'a sauvé que les apparences avec des simulacres de chiffres.
On les marchandera contre la richesse réelle des pays (mines, etc.). On les échangera. On menacera.
Jusqu'à quand ce jeu pervers durera-t-il?
6-7 milliards de gens sur Terre dépendent de quelques magiciens.
Il suffit de ne plus les croire.