mardi 23 mars 2010
3175
GILLES DUCEPPE ET LA RÉSISTANCE QUÉBÉCOISE
QUAND LES FÉDÉRALISTES S’ÉNERVENT, C’EST BON SIGNE
Pierre Cloutier
22 mars 2010
http://www.vigile.net/Quand-les-federalistes-s-enervent
Lawrence Cannon, le ministre fédéral et fédéraliste des affaires étrangères s’est indigné des propos du chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, qui a "osé", selon lui, décrire les indépendantistes québécois comme des RÉSISTANTS. Pourtant, un observateur extérieur, le comédien français Fabrice Luchini, avait dit la même chose du peuple québécois récemment à l’émission "Tout le monde en parle". Le comédien américain Sylvester Stallone aussi.
M. Cannon en a profité pour verser dans la démagogie et dans les techniques de propagande en déclarant que les propos de Gilles Duceppe "pouvaient" faire référence au régime nazi combattu entre 1940 et 1945, entre autres, par les forces de la "résistance" française. Le Canada n’a rien à voir avec un gouvernement nazi, nous a-t-il bassiné dans un gros soupir. Assez pour que les plumes à gages de Gesca et les ténors de Radio-Cadenas, sortent leurs chiffons rouges d’indignation.
Tant mieux si les fédéralistes s’énervent lorsque nous durcissons le ton. C’est bon signe, eux qui sont habitués à nous voir dociles et soumis en demeurant dans les limites du carré de sable constitutionnel auquel la nation québécoise est confinée.
Le temps est venu d’appeler les choses par leurs vrais noms et de radicaliser la lutte pour notre LIBÉRATION NATIONALE, comme l’avait crié le Général de Gaulle en 1967
("Vive le Québec libre !").
Le Québec est un État-Nation ANNEXÉ au Canada, réduit à un semi-État provincial "cul-de-jatte" avec un semi budget cul-de-jatte qui l’empêche d’assurer sa mission première qui est celle de protéger notre nation sur NOTRE TERRITOIRE.
Tant que, nous les québécois, allons continuer à envoyer la moitié de nos impôts et taxes à un gouvernement extérieur, nous serons dans une position de quêteux et de dépendants, exactement comme les femmes sous la tutelle de leurs maris d’avant la réforme du Code civil. À quand la désobéissance civile, la forme la plus noble de lutte contre l’injustice et l’oppression ?.
Le Canada est un ENVAHISSEUR sur notre territoire car son DRAPEAU y flotte partout. Ce drapeau n’est pas notre DRAPEAU et son HYMNE NATIONAL, l’ancien hymne des Canadiens-français, qu’on nous a volé et qu’on tente de nous rentrer de force dans les tympans, n’est plus depuis belle lurette notre hymne national, même si nous n’en avons pas un officiel.
L’ANNEXION de cet envahisseur conduit la nation québécoise tout droit à son ASSIMILATION. Tout se fait en douceur par la propagande,la diversion et la chappe de plomb de la constitution du Canada, comme l’a souhaité Lord Durham en 1840, après la révolte des Patriotes.
Il n’y a pas un peuple sur la terre, digne de ce nom et avec un minimum de fierté qui ne RÉSISTE pas à l’oppression, à l’assimilation et au génocide en douce.
Nous sommes des résistants et nous en sommes fiers. Ce combat cessera quand nous aurons notre pays. Pas avant.
"Résister c’est créer", nous dit Lucie Aubrac, une illustre résistante française.
QUAND LES FÉDÉRALISTES S’ÉNERVENT, C’EST BON SIGNE
Pierre Cloutier
22 mars 2010
http://www.vigile.net/Quand-les-federalistes-s-enervent
Lawrence Cannon, le ministre fédéral et fédéraliste des affaires étrangères s’est indigné des propos du chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, qui a "osé", selon lui, décrire les indépendantistes québécois comme des RÉSISTANTS. Pourtant, un observateur extérieur, le comédien français Fabrice Luchini, avait dit la même chose du peuple québécois récemment à l’émission "Tout le monde en parle". Le comédien américain Sylvester Stallone aussi.
M. Cannon en a profité pour verser dans la démagogie et dans les techniques de propagande en déclarant que les propos de Gilles Duceppe "pouvaient" faire référence au régime nazi combattu entre 1940 et 1945, entre autres, par les forces de la "résistance" française. Le Canada n’a rien à voir avec un gouvernement nazi, nous a-t-il bassiné dans un gros soupir. Assez pour que les plumes à gages de Gesca et les ténors de Radio-Cadenas, sortent leurs chiffons rouges d’indignation.
Tant mieux si les fédéralistes s’énervent lorsque nous durcissons le ton. C’est bon signe, eux qui sont habitués à nous voir dociles et soumis en demeurant dans les limites du carré de sable constitutionnel auquel la nation québécoise est confinée.
Le temps est venu d’appeler les choses par leurs vrais noms et de radicaliser la lutte pour notre LIBÉRATION NATIONALE, comme l’avait crié le Général de Gaulle en 1967
("Vive le Québec libre !").
Le Québec est un État-Nation ANNEXÉ au Canada, réduit à un semi-État provincial "cul-de-jatte" avec un semi budget cul-de-jatte qui l’empêche d’assurer sa mission première qui est celle de protéger notre nation sur NOTRE TERRITOIRE.
Tant que, nous les québécois, allons continuer à envoyer la moitié de nos impôts et taxes à un gouvernement extérieur, nous serons dans une position de quêteux et de dépendants, exactement comme les femmes sous la tutelle de leurs maris d’avant la réforme du Code civil. À quand la désobéissance civile, la forme la plus noble de lutte contre l’injustice et l’oppression ?.
Le Canada est un ENVAHISSEUR sur notre territoire car son DRAPEAU y flotte partout. Ce drapeau n’est pas notre DRAPEAU et son HYMNE NATIONAL, l’ancien hymne des Canadiens-français, qu’on nous a volé et qu’on tente de nous rentrer de force dans les tympans, n’est plus depuis belle lurette notre hymne national, même si nous n’en avons pas un officiel.
L’ANNEXION de cet envahisseur conduit la nation québécoise tout droit à son ASSIMILATION. Tout se fait en douceur par la propagande,la diversion et la chappe de plomb de la constitution du Canada, comme l’a souhaité Lord Durham en 1840, après la révolte des Patriotes.
Il n’y a pas un peuple sur la terre, digne de ce nom et avec un minimum de fierté qui ne RÉSISTE pas à l’oppression, à l’assimilation et au génocide en douce.
Nous sommes des résistants et nous en sommes fiers. Ce combat cessera quand nous aurons notre pays. Pas avant.
"Résister c’est créer", nous dit Lucie Aubrac, une illustre résistante française.