jeudi 27 mai 2010
3671
CRISE DES COÛTS DE LA SANTÉ
LES AÎNÉS RICHES FONT PARTIE DE LA SOLUTION
27 mai 2010
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2010/05/27/002-td-sante-couts.shtml
Commenter (71)
Les aînés qui en ont les moyens devraient payer leurs médicaments, et la rémunération des médecins devrait être déterminée en fonction de la qualité et l'efficience des soins qu'ils dispensent.
[Erreur de mot. À la place, utiliser le mot «bénéficiare», ça fait un peu parasite, c'est très bien. «Usager» c'est pas mal. Placer le mot «charité» serait bien aussi.]
Ce sont deux d'une série de recommandations d'économistes de la Banque TD, dont l'objectif est d'assurer la pérennité du système de santé canadien.
La ministre de la Santé de l'Ontario Deb Matthews a commandé ce rapport à la Banque TD.
Mme Matthews est à la recherche d'idées pour freiner la croissance des dépenses en santé. Elles s'élèvent à 46 milliards de dollars par année et pourraient bientôt représenter plus de 50 % du budget de la province.
Le rapport des économistes de la Banque TD analyse la situation de l'Ontario, mais les autres provinces peuvent aussi en tirer des leçons parce qu'elles sont toutes aux prises avec une escalade des coûts.
Il faut savoir aussi que les accords de paiements de transferts fédéraux aux provinces, pour la santé notamment, viendront à échéance le 1er avril 2013.
Ces accords sur trois transferts majeurs aux provinces, portant sur les programmes sociaux, la péréquation et les soins de santé, coûtent à Ottawa environ 54 milliards de dollars par année.
En entrevue au quotidien The Globe and Mail, l'économiste en chef de la TD, Don Drummond, a précisé que les mesures proposées permettraient aux provinces de limiter la croissance des dépenses en santé à 4 % par année, comparativement à la croissance actuelle de 6,5 %.
LES AÎNÉS RICHES FONT PARTIE DE LA SOLUTION
27 mai 2010
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2010/05/27/002-td-sante-couts.shtml
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Les aînés qui en ont les moyens devraient payer leurs médicaments, et la rémunération des médecins devrait être déterminée en fonction de la qualité et l'efficience des soins qu'ils dispensent.
[Erreur de mot. À la place, utiliser le mot «bénéficiare», ça fait un peu parasite, c'est très bien. «Usager» c'est pas mal. Placer le mot «charité» serait bien aussi.]
Ce sont deux d'une série de recommandations d'économistes de la Banque TD, dont l'objectif est d'assurer la pérennité du système de santé canadien.
La ministre de la Santé de l'Ontario Deb Matthews a commandé ce rapport à la Banque TD.
Mme Matthews est à la recherche d'idées pour freiner la croissance des dépenses en santé. Elles s'élèvent à 46 milliards de dollars par année et pourraient bientôt représenter plus de 50 % du budget de la province.
Le rapport des économistes de la Banque TD analyse la situation de l'Ontario, mais les autres provinces peuvent aussi en tirer des leçons parce qu'elles sont toutes aux prises avec une escalade des coûts.
Il faut savoir aussi que les accords de paiements de transferts fédéraux aux provinces, pour la santé notamment, viendront à échéance le 1er avril 2013.
Ces accords sur trois transferts majeurs aux provinces, portant sur les programmes sociaux, la péréquation et les soins de santé, coûtent à Ottawa environ 54 milliards de dollars par année.
En entrevue au quotidien The Globe and Mail, l'économiste en chef de la TD, Don Drummond, a précisé que les mesures proposées permettraient aux provinces de limiter la croissance des dépenses en santé à 4 % par année, comparativement à la croissance actuelle de 6,5 %.