jeudi 27 mai 2010
3672. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE
Qu'entend-on par le mot «riche» ?
Le professeur Bulle est un homme précis qui aime la précision.
Le problème n'est pas «les riches» qui, si on trouve qu'ils sont «trop riches» pourraient payer plus d'impôt mais les pauvres.
Pourquoi payraient-ils seulement leurs frais médicaux? Pourquoi pas la rue qui passe devant chez eux ou leurs lampadaires?
Que de questions?
Et les pauvres. Car il y a tant de pauvres? Et des gens qui sont pauvres sans même le savoir.
Si vous pouvez vous payer un hamburger chez MacDo, vous vous croyez au-dessus de vos affaires. Si vous pouvez vous payer une chirurgie cardiaque à 100,000$ et 1000$ par jour d'hospitalisation en chambre privée aussi.
Le seul problème est qu'on ne parle pas des mêmes personnes. Et le problème deviendra évident sera lorsque l'heureux gastronome voudra se faire faire son triple pontage.
Doit-on assassiner le riches? Ou seulement les plus vieux parce qu'ils courent le moins vite ?
Si, par contre, on élimine (dans la joie et la douceur) (idéalement avec leur consentement) les pauvres qui sont innombrables: vieillards, bébés, personnes entre les 2 âges, mère monoparentale assistée-sociale, prisonniers, infirmes, accidentés, anormaux, orphelins, on sent déjà plus de clarté. Un air frais. Des finances publiques en surplus. Un ministre des finances joyeux alors que l'espèce est généralement sombre et jaune signe d'aigreur et de mauvaise digestion.
Il va de soi que le professeur Bulle n'a aucun sentiment particulier envers les »riches» et qu'il peut envisageur leur assassinat logiquement comme tout autre problème à résoudre si ceci peut aider la société.
Ou, comme qui peut le plus peut le moins, l'augmentation des frais médicaux de leur classe sociale, ou le fait d'imposer à 90% (ou 99%) tout revenu annuel de plus de 1 million.
Mais est-ce que la solution proposée servira à autre chose qu'à égayer les coeurs simples? C'est sans doute son but.
Il va de soi que le lobby de gens gagnant 1 million et plus (le plus étant imposé à 99%) sera particulièrement bruyant.
On peut procéder moins rûdement en «privatisant» la médecine. On retournera à la belle période où les docteurs étaient payés en poulets à Noël.
Le «tiquet modérateur» équivaut à la même chose. Qu'on l'appelle «taxe santé» ou «joie de vivre» pour faire sourire les gens à l'intelligence limitée. On expulse du système ceux qui ne pourrant plus se payer le billet d'entrée. Et chaque augmentation diminuera le nombre de «bénéficaire». Jusqu'à ce qu'on atteigne l'idéal, la pleine tarification des services pour que les coûts et dépenses s'équilibrent. Mieux, avec un léger profit.
À ce moment, seuls ceux qui auront les moyens pourront occuper le temps du personnel qui aura davantage de loisirs.
Quant au reste, les églises retrouveront leur vocation originale comme lieux de prière.
Un lampion coûte 1$, ce qui est tout à fait raisonnable.
Et il y a même des lampions électriques ce qui permet à l'Église d'économiser la cire d'abeille qui coûte bonbon.
Heureux d'avoir pu vous servir!
Le professeur Bulle est un homme précis qui aime la précision.
Le problème n'est pas «les riches» qui, si on trouve qu'ils sont «trop riches» pourraient payer plus d'impôt mais les pauvres.
Pourquoi payraient-ils seulement leurs frais médicaux? Pourquoi pas la rue qui passe devant chez eux ou leurs lampadaires?
Que de questions?
Et les pauvres. Car il y a tant de pauvres? Et des gens qui sont pauvres sans même le savoir.
Si vous pouvez vous payer un hamburger chez MacDo, vous vous croyez au-dessus de vos affaires. Si vous pouvez vous payer une chirurgie cardiaque à 100,000$ et 1000$ par jour d'hospitalisation en chambre privée aussi.
Le seul problème est qu'on ne parle pas des mêmes personnes. Et le problème deviendra évident sera lorsque l'heureux gastronome voudra se faire faire son triple pontage.
Doit-on assassiner le riches? Ou seulement les plus vieux parce qu'ils courent le moins vite ?
Si, par contre, on élimine (dans la joie et la douceur) (idéalement avec leur consentement) les pauvres qui sont innombrables: vieillards, bébés, personnes entre les 2 âges, mère monoparentale assistée-sociale, prisonniers, infirmes, accidentés, anormaux, orphelins, on sent déjà plus de clarté. Un air frais. Des finances publiques en surplus. Un ministre des finances joyeux alors que l'espèce est généralement sombre et jaune signe d'aigreur et de mauvaise digestion.
Il va de soi que le professeur Bulle n'a aucun sentiment particulier envers les »riches» et qu'il peut envisageur leur assassinat logiquement comme tout autre problème à résoudre si ceci peut aider la société.
Ou, comme qui peut le plus peut le moins, l'augmentation des frais médicaux de leur classe sociale, ou le fait d'imposer à 90% (ou 99%) tout revenu annuel de plus de 1 million.
Mais est-ce que la solution proposée servira à autre chose qu'à égayer les coeurs simples? C'est sans doute son but.
Il va de soi que le lobby de gens gagnant 1 million et plus (le plus étant imposé à 99%) sera particulièrement bruyant.
On peut procéder moins rûdement en «privatisant» la médecine. On retournera à la belle période où les docteurs étaient payés en poulets à Noël.
Le «tiquet modérateur» équivaut à la même chose. Qu'on l'appelle «taxe santé» ou «joie de vivre» pour faire sourire les gens à l'intelligence limitée. On expulse du système ceux qui ne pourrant plus se payer le billet d'entrée. Et chaque augmentation diminuera le nombre de «bénéficaire». Jusqu'à ce qu'on atteigne l'idéal, la pleine tarification des services pour que les coûts et dépenses s'équilibrent. Mieux, avec un léger profit.
À ce moment, seuls ceux qui auront les moyens pourront occuper le temps du personnel qui aura davantage de loisirs.
Quant au reste, les églises retrouveront leur vocation originale comme lieux de prière.
Un lampion coûte 1$, ce qui est tout à fait raisonnable.
Et il y a même des lampions électriques ce qui permet à l'Église d'économiser la cire d'abeille qui coûte bonbon.
Heureux d'avoir pu vous servir!