samedi 29 mai 2010
3691. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE
Il est tout à fait normal de voir les parasites sociaux et leurs porte-paroles intervenir pour calmer le jeu. On est en train de révéler petits secrets et vilaines confidences comment fonctionne le modèle économique québécois qui ressemble de plus en plus à la Mafia. Ce qui est intéressant. Les jolis entrepreneurs, assistés sociaux économiques chroniques, parasites financiers se révèlent dans leur véritable nature. Il y a, bien sûr, des nuances. Comme monsieur Hitler, le professeur Bulle adore les nuances. Il y a donc les gangs de rue, les Hells Angels, (entre les 2 les Mowaks), la Mafia (qui n'est pas seulement Italienne ou Corse ou Napolitaine mais aussi de toutes les couleurs) et au bout les hommes d'affaires honnetes qui ne sont pas si nombreux que ça. Du moins parmi ceux qui «réussissent dans la vie!». Monsieur Vincent Lacroix et Earl Jones ne sont que des joueurs solitaires et maladroits d'un jeu sournois qui fait que l'$ de la population après avoir transité par le gouvernement grâce aux amendes, tarifs, taxes et impôts revient sous forme de contrats louches à une grande parti des «entrepreneurs» de la Province. On a d'abord pointé la construction, puis les compagnies d'ingénéries et on hésite à aller plus loin. On verra si on va y aller.
Il ne faut pas oublier pour ceux à qui il reste un peu de mémoire la belle affaire des «élections clé-en-mai» qu'avaient commençé à révéler le journal La Presse, il y a au moins une décennie. Tous ces maires (combien?) qui bénéficiaent de l'aide de compagnies privées (?) pour leur élection et qui retournaient l'ascenceur par toutes sortes de contrats sans appel d'offre une fois retournés à leurs bureaux. Certains y étant depuis une éternité. Et d'autres, en apparence nouveau, ne faisant que remplacer un vieux croche devenu trop mou. Et d'autres, remplaçaient quelqu'un d'honnêtes qui ne voulaient pas jouer. L'$ peut tout si bien utilisé.
Qu'est-il arrivé à ce beau scandale qui aurait pu embraser la province? Les mêmes noms reviennent aujourd'hui après une période de lantence d'une décennie. Rien. Il n'est rien arrivé.
Pourquoi?
Parce que, par hasard, par coïncidence, monsieur Bouchard qui était alors premier ministre a décidé de lancer la fusion des villes. Il trouvait et, de grands sages avec lui, que les villes étaient trop petites. Et comme les villages étaient encore plus petits, il fallait les accoupler durablement. Sans leur demander leur avis.
Certains proposaient la chose depuis longtemps pour Montréal. Une île, une ville. Mais comme Montréal, avec sa population (avec les environs qu'on peut faire fusionner aussi: les 2/3 des électeurs), deviendrait le centre du pouvoir dans la province. Ce qui est beaucoup pour la Gaspésie.
Une fusion légère entre anglo de Westmont et le quartier voisin était envisageable et suffisant pour se pratiquer et aurait offert un spectale qui aurait amusé toute la province. Que les anglo riches se lementent au sujet de leurs droits aurait été ravissant! Une partie aurait peut-être déménagé à Toronto pour jouir de l'air frais de la liberté ce qui aurait laissé quelques maisons libres pour franco qui avaient réussi dans la vie et qui voulaient vivre enfin avec des gens de leur (nouveau) niveau social.
Qu'a donc fait notre grand sage, monsieur Lucide en personne qui revient de temps en temps en boitillant nous donner des leçons d'élévation morale? Encore récemment, il a reproché au vilain peuple (Méchant Méchant Peuple!) son cynisme envers la classe politique. Et, un peu avant, il y trouvait une cause dans le fait que les politiciens passaient trop à la tv. Le monsieur disait ça justement à la tv.
Qu'à donc fait le monsieur monsieur si bien habillé?
Il aurait pu agir prudemment, un premier coup d'épée dans l'eau ou peut-être pas? Il a étendu sa «réforme» à toute la province. Et au lieu de quelques personnes dignes et bien habillées se plaignant que les nazis de la loi 101 les brime encore, toute la province et le moindre village centenaire qu'on voulait dépecer s'est lamenté pendant un an.
Il va de soi que la nouvelle au sujet des élections clé en main a été oubliée.
Il y avait tous ces hurlements venant de partout dont il fallait rendre compte. Et, ensuite, on a parlé des ovules de madame Celine (sans accent) pendant la décennie. Ce n'est que tout récemment que les journalistes se sont réveillés (seuls ceux qui enquêtent peuvent porter ce titre les autres ne sont que des fournisseurs de contenus à tasser entre 2 annonces).
Reviendra-t-on à ce climat de paix et de sérénité où on faisait la promotion de l'excellence. Tout en permettant aux vieux maires de têter le bourgeois et aux bourgeois de s'empiffrer de contrats municipaux et provinciaux. On pourrait aussi parler des scolaires.
Encore là, il s'agira probablement d'un hasard qui fut fort satisfaisant pour nos élites (qui ont senti le souffle de la lame aérer leurs nuques) et ce n'est que la force de caractère de notre grand homme qui nous a valu cette grande oeuvre. Qui s'effondra comme le reste.
Le monsieur semblait souffrir d'intempérence agissante. Ou hyperactivité politique. Très bon à écraser les syndicats faibles (infirmières et professeurs), il savait se coucher devant les puissants: médecins, policiers. Et, bien sûr, les milieux financiers.
Si on se rappelle avec quelle élégance, il a résolu le problème de l'autobus de vieillards qui menaçait l'élite des compagnise autobussièrs. Pour ceux qui ne se rappellent rien: un autobus de vieux (c'est un fait et nous le rappelons pour susciter des émotions - ici de la tristesse et de la mélancolie - ces gens étaient allés en pélerinage puis en pic nic et pensaient passer une auter belle journée de leur retraite active mais pour beaucoup ce fut la derniere- le professeur Bulle s'intéresse parfois aux humains quoique, généralement, il les trouve plutôt répugnant) a manqué de frein (l'enquête révéla qu'ils étaient foutus depuis longtemps) le chauffeur était maladroit, endormi et avait trafiqué son livre de bord dans lequel il doit noter ses temps de sommeil - il est obligatoire d'en prendre de temps en temps ce que certains patrons trouvent irritant) Bref, l'autobus, plein de voyageur, descendit à toute berzingue une des belles côtes de la province. Le reste est la simple démonstration des lois de la pesanteur et du transfert d'énergie. Toutes sont très mauvaises pour de simples corps humains. Tous ces gens avaient de la famille. Le scandale commença avec l'autobus en mauvais état, le chauffeur pas mieux, la compagnie de transport sur le bord de la faillite et qui avait, malgré des entorses qui auraient dû voir la révocation de son permis réussit à le faire renouveler on ne sait comment. On commença à bavarder et on appris que des compagnies qui se foutaient des lois et de la sécurité des passagers étaient nombreuses. On allait peut-être savoir combien. On parla de faire une vérification systématique des freins des autobus et, tant qu'a y être, des autobus en entier et puisqu'on y serait des compagnies. On apprendrait des choses passionnantes.
Que s'est-il passé? Pas d'enquête. Au lieu de pointer son regard généralement sombre vers le vilain autobus et ses semblables, le monsieur regarda d'un vilain air la côte. On la jugeau bien côteuse. Même si des gens y montaient et descendaient tous les jours depuis des générations. Et juste avant et un peu après l'accident. Et les gens du coin aimaient le paysage qu'ils trouvaient superbe et apprécié des touristes.
On refit la côte. Mais pas les milliers d'autres semblables ou pires dans la province. On installa même des lits de graviers à coups de millions censé (le joli mot) arrêter un autobus sans frein (pas celui qui venaient d'écrabouiller ses passagers, il était trop tard pour tout le monde). Et juste au moment où on venait de finir les installations (en gâchant le paysage de tout le monde) un autre autobus sans frein arriva. Et faillit y rester parce que le terrain d'atterrissage à autobus ne fonctionnait pas aussi bien que prévu. On le refit. Tout ceci coûta des tas et des tas de millions à la grande joie des entrepreneurs en côte et en asphalte.
On aurait pu épargner tout ce bon $ qui aurait pu servir à payer des profs et des infirmières (toutes ces vilaines filles qui prétendent manger et dormir de temps en temps) en installant provisoirement une police de la route (il y en a ici et là qui pèse les camions au printemps pour leur permettre de défoncer les routes légalement) pour une inspection sommaire des freins et autres machins. En cas de problème, l'autobus est remorqué et inspecté. Et on va voir son propriétaire pour faire un tour. Comme on a fait avec les artisans fromager récemment. Au bout de quelques petits tapages de doigts, d'autobus mis à la ferraille, de quelques compagnies sur le bord de la faillite couiqué et quelques compagnies rentables mais trop près de la piscine de leur patron (ça coûte cher à construire et il faut bien couper quelque part) mis à contribution, on aurait réglé le problème pour un temps. On n'a rien fait de tout ça. Les cercuiels roulants continuent à circuler. Et des morts-vivants plus ou moins chanceux, les habiter provisoirement. Chanceux s'ils se rendent à destination. Moins s'ils y restent.
Mais on a préservé une talle d'entrepreneurs locaux et de futurs petits bourgeois. Comme on a préservé les élites municipales qui auraient été obligés de démissionner ou de faire de la prison. Soupir.
Comme on vient de le dire, les élites eurent une décennie de paix pour engranger le bon grain. Les employés des journaux tenant à leur job comprirent qu'il fallait parler d'autre choses. Par exemple, «le crime». À chaque instant, un voleur de sacoche peut vous voler votre sacoche. Même si, année après année, il y a de moins en moins de meurtres et que la variété de crimes habituels diminuent aussi, on nous donne l'impression de vivre au Liban des bonnes années de meurtres collectifs.
Mais si on parle avec grande lamentation des petits criminels, on évitera avec grand soin les grands.
Et, amusant retour du Destin, on en reparle. Comme un gilet de laine, il suffit de tirer sur un brin pour démailloter tout le reste. Pour le moment, on n'a fait qu'effilocher un bout de manchette.
Voilà qu'arrive à la rescousse les agents d'influence des gens influents.
Bon travail.
Il ne faut pas oublier pour ceux à qui il reste un peu de mémoire la belle affaire des «élections clé-en-mai» qu'avaient commençé à révéler le journal La Presse, il y a au moins une décennie. Tous ces maires (combien?) qui bénéficiaent de l'aide de compagnies privées (?) pour leur élection et qui retournaient l'ascenceur par toutes sortes de contrats sans appel d'offre une fois retournés à leurs bureaux. Certains y étant depuis une éternité. Et d'autres, en apparence nouveau, ne faisant que remplacer un vieux croche devenu trop mou. Et d'autres, remplaçaient quelqu'un d'honnêtes qui ne voulaient pas jouer. L'$ peut tout si bien utilisé.
Qu'est-il arrivé à ce beau scandale qui aurait pu embraser la province? Les mêmes noms reviennent aujourd'hui après une période de lantence d'une décennie. Rien. Il n'est rien arrivé.
Pourquoi?
Parce que, par hasard, par coïncidence, monsieur Bouchard qui était alors premier ministre a décidé de lancer la fusion des villes. Il trouvait et, de grands sages avec lui, que les villes étaient trop petites. Et comme les villages étaient encore plus petits, il fallait les accoupler durablement. Sans leur demander leur avis.
Certains proposaient la chose depuis longtemps pour Montréal. Une île, une ville. Mais comme Montréal, avec sa population (avec les environs qu'on peut faire fusionner aussi: les 2/3 des électeurs), deviendrait le centre du pouvoir dans la province. Ce qui est beaucoup pour la Gaspésie.
Une fusion légère entre anglo de Westmont et le quartier voisin était envisageable et suffisant pour se pratiquer et aurait offert un spectale qui aurait amusé toute la province. Que les anglo riches se lementent au sujet de leurs droits aurait été ravissant! Une partie aurait peut-être déménagé à Toronto pour jouir de l'air frais de la liberté ce qui aurait laissé quelques maisons libres pour franco qui avaient réussi dans la vie et qui voulaient vivre enfin avec des gens de leur (nouveau) niveau social.
Qu'a donc fait notre grand sage, monsieur Lucide en personne qui revient de temps en temps en boitillant nous donner des leçons d'élévation morale? Encore récemment, il a reproché au vilain peuple (Méchant Méchant Peuple!) son cynisme envers la classe politique. Et, un peu avant, il y trouvait une cause dans le fait que les politiciens passaient trop à la tv. Le monsieur disait ça justement à la tv.
Qu'à donc fait le monsieur monsieur si bien habillé?
Il aurait pu agir prudemment, un premier coup d'épée dans l'eau ou peut-être pas? Il a étendu sa «réforme» à toute la province. Et au lieu de quelques personnes dignes et bien habillées se plaignant que les nazis de la loi 101 les brime encore, toute la province et le moindre village centenaire qu'on voulait dépecer s'est lamenté pendant un an.
Il va de soi que la nouvelle au sujet des élections clé en main a été oubliée.
Il y avait tous ces hurlements venant de partout dont il fallait rendre compte. Et, ensuite, on a parlé des ovules de madame Celine (sans accent) pendant la décennie. Ce n'est que tout récemment que les journalistes se sont réveillés (seuls ceux qui enquêtent peuvent porter ce titre les autres ne sont que des fournisseurs de contenus à tasser entre 2 annonces).
Reviendra-t-on à ce climat de paix et de sérénité où on faisait la promotion de l'excellence. Tout en permettant aux vieux maires de têter le bourgeois et aux bourgeois de s'empiffrer de contrats municipaux et provinciaux. On pourrait aussi parler des scolaires.
Encore là, il s'agira probablement d'un hasard qui fut fort satisfaisant pour nos élites (qui ont senti le souffle de la lame aérer leurs nuques) et ce n'est que la force de caractère de notre grand homme qui nous a valu cette grande oeuvre. Qui s'effondra comme le reste.
Le monsieur semblait souffrir d'intempérence agissante. Ou hyperactivité politique. Très bon à écraser les syndicats faibles (infirmières et professeurs), il savait se coucher devant les puissants: médecins, policiers. Et, bien sûr, les milieux financiers.
Si on se rappelle avec quelle élégance, il a résolu le problème de l'autobus de vieillards qui menaçait l'élite des compagnise autobussièrs. Pour ceux qui ne se rappellent rien: un autobus de vieux (c'est un fait et nous le rappelons pour susciter des émotions - ici de la tristesse et de la mélancolie - ces gens étaient allés en pélerinage puis en pic nic et pensaient passer une auter belle journée de leur retraite active mais pour beaucoup ce fut la derniere- le professeur Bulle s'intéresse parfois aux humains quoique, généralement, il les trouve plutôt répugnant) a manqué de frein (l'enquête révéla qu'ils étaient foutus depuis longtemps) le chauffeur était maladroit, endormi et avait trafiqué son livre de bord dans lequel il doit noter ses temps de sommeil - il est obligatoire d'en prendre de temps en temps ce que certains patrons trouvent irritant) Bref, l'autobus, plein de voyageur, descendit à toute berzingue une des belles côtes de la province. Le reste est la simple démonstration des lois de la pesanteur et du transfert d'énergie. Toutes sont très mauvaises pour de simples corps humains. Tous ces gens avaient de la famille. Le scandale commença avec l'autobus en mauvais état, le chauffeur pas mieux, la compagnie de transport sur le bord de la faillite et qui avait, malgré des entorses qui auraient dû voir la révocation de son permis réussit à le faire renouveler on ne sait comment. On commença à bavarder et on appris que des compagnies qui se foutaient des lois et de la sécurité des passagers étaient nombreuses. On allait peut-être savoir combien. On parla de faire une vérification systématique des freins des autobus et, tant qu'a y être, des autobus en entier et puisqu'on y serait des compagnies. On apprendrait des choses passionnantes.
Que s'est-il passé? Pas d'enquête. Au lieu de pointer son regard généralement sombre vers le vilain autobus et ses semblables, le monsieur regarda d'un vilain air la côte. On la jugeau bien côteuse. Même si des gens y montaient et descendaient tous les jours depuis des générations. Et juste avant et un peu après l'accident. Et les gens du coin aimaient le paysage qu'ils trouvaient superbe et apprécié des touristes.
On refit la côte. Mais pas les milliers d'autres semblables ou pires dans la province. On installa même des lits de graviers à coups de millions censé (le joli mot) arrêter un autobus sans frein (pas celui qui venaient d'écrabouiller ses passagers, il était trop tard pour tout le monde). Et juste au moment où on venait de finir les installations (en gâchant le paysage de tout le monde) un autre autobus sans frein arriva. Et faillit y rester parce que le terrain d'atterrissage à autobus ne fonctionnait pas aussi bien que prévu. On le refit. Tout ceci coûta des tas et des tas de millions à la grande joie des entrepreneurs en côte et en asphalte.
On aurait pu épargner tout ce bon $ qui aurait pu servir à payer des profs et des infirmières (toutes ces vilaines filles qui prétendent manger et dormir de temps en temps) en installant provisoirement une police de la route (il y en a ici et là qui pèse les camions au printemps pour leur permettre de défoncer les routes légalement) pour une inspection sommaire des freins et autres machins. En cas de problème, l'autobus est remorqué et inspecté. Et on va voir son propriétaire pour faire un tour. Comme on a fait avec les artisans fromager récemment. Au bout de quelques petits tapages de doigts, d'autobus mis à la ferraille, de quelques compagnies sur le bord de la faillite couiqué et quelques compagnies rentables mais trop près de la piscine de leur patron (ça coûte cher à construire et il faut bien couper quelque part) mis à contribution, on aurait réglé le problème pour un temps. On n'a rien fait de tout ça. Les cercuiels roulants continuent à circuler. Et des morts-vivants plus ou moins chanceux, les habiter provisoirement. Chanceux s'ils se rendent à destination. Moins s'ils y restent.
Mais on a préservé une talle d'entrepreneurs locaux et de futurs petits bourgeois. Comme on a préservé les élites municipales qui auraient été obligés de démissionner ou de faire de la prison. Soupir.
Comme on vient de le dire, les élites eurent une décennie de paix pour engranger le bon grain. Les employés des journaux tenant à leur job comprirent qu'il fallait parler d'autre choses. Par exemple, «le crime». À chaque instant, un voleur de sacoche peut vous voler votre sacoche. Même si, année après année, il y a de moins en moins de meurtres et que la variété de crimes habituels diminuent aussi, on nous donne l'impression de vivre au Liban des bonnes années de meurtres collectifs.
Mais si on parle avec grande lamentation des petits criminels, on évitera avec grand soin les grands.
Et, amusant retour du Destin, on en reparle. Comme un gilet de laine, il suffit de tirer sur un brin pour démailloter tout le reste. Pour le moment, on n'a fait qu'effilocher un bout de manchette.
Voilà qu'arrive à la rescousse les agents d'influence des gens influents.
Bon travail.