lundi 1 mars 2010
2823. COMMENTAIRE DU PEUPLE
Bomberdier par la voix de son président, Paul Tellier, ne fait que jouer les regles du jeu.
Le Canada a été un des premiers à jouer la carotte des subventions pour faire venir au pays les usines de Toyota, Honda et Hyundai au détriment des unités de production et des ouvriers de GM et de Ford.
Contrairement à la croyance populaire depuis l'arrivée de l'européen Airbus Industrie au début des années 1970, le secteur aéronautique civil n'est plus régit par les lois de la technologie et du marché.
Airbus Industrie pour se hisser (temporairement) au premier rang des constructeurs aéronautiques devant Boeing a dépensé entre 20 et 30 milliards de dollars américains de subventions illlégales.
Airbus va engloutir un minimum 5 milliards de dollars de subventions et aides camouflées diverses pour le lancement de l'inutile A380 pour le plaisir de détroner le Boeing 747.
Le Brésil a fait de meme pour transformer Embraer d'un assembleur de monomoteurs à hélices Piper en quatrième fabricant d'avions commerciaux.
Bombardier n'a pas le choix comme d'ailleurs Boeing à qui l'état de Washington a consenti des aides directes et indirectes de 4 milliards de dollars américains sur les 20 prochaines années pour assurer la construction de son nouvel appareil, le 7E7, à Everett, Washington.
Au gouvernement canadien maintenant de choisir où sera construit le 100 places de Bombardier? Au Québec ou en Irlande du Nord?
Philippe CAUCHI. Montréal
Le Canada a été un des premiers à jouer la carotte des subventions pour faire venir au pays les usines de Toyota, Honda et Hyundai au détriment des unités de production et des ouvriers de GM et de Ford.
Contrairement à la croyance populaire depuis l'arrivée de l'européen Airbus Industrie au début des années 1970, le secteur aéronautique civil n'est plus régit par les lois de la technologie et du marché.
Airbus Industrie pour se hisser (temporairement) au premier rang des constructeurs aéronautiques devant Boeing a dépensé entre 20 et 30 milliards de dollars américains de subventions illlégales.
Airbus va engloutir un minimum 5 milliards de dollars de subventions et aides camouflées diverses pour le lancement de l'inutile A380 pour le plaisir de détroner le Boeing 747.
Le Brésil a fait de meme pour transformer Embraer d'un assembleur de monomoteurs à hélices Piper en quatrième fabricant d'avions commerciaux.
Bombardier n'a pas le choix comme d'ailleurs Boeing à qui l'état de Washington a consenti des aides directes et indirectes de 4 milliards de dollars américains sur les 20 prochaines années pour assurer la construction de son nouvel appareil, le 7E7, à Everett, Washington.
Au gouvernement canadien maintenant de choisir où sera construit le 100 places de Bombardier? Au Québec ou en Irlande du Nord?
Philippe CAUCHI. Montréal