dimanche 7 mars 2010
3083. LE PROFESSEUR BULLE COMMENTE
Le gouvernement Canadien a racheté en douce le stock de papiers commerciaux à sa valeur maximale (avant le crash) pas à sa valeur réelle (après crash soit ZÉRO). Sinon, les banques auraient été dans le ROUGE.
Et des tas de gens qui avaient «investis», parfois, sans le savoir dans ces produits dynamiques ont perdu des tas de fric. Ou, s'ils n'ont pas perdu leur capital, dans le moins pire des cas, le taux de rendement sur leur investissement a valu ZÉRO. Intérêt ZÉRO.
Certains disent que durant les derniers mois ils ont pu se refaire. Tant mieux pour eux!
Ce qui n'est certainement pas le cas de la CDP (Caisse de Dépôt et Placement du Québec.)
Et on évite soigneusement de poser la QUESTION: où est allé cet $ ?
Ou, plus précisément, dans la poche de qui?
Quoiqu'on en ait une certaine idée étant donné la migration de certains volatiles.
L'opération commerciale-diplomatique-charitable-mafieuse qui a permis de sauver le secteur financier local a coûté plus de 100 milliards (officiel!), ceci s'ajoute à la «dette» du pays qu'il faudrait maintenant «rembourser».
S'il s'agissait uniquement du cas d'un mauvais élève à fouetter. Ce qu'ont dû payer les USA pour les mêmes raisons et les mêmes causes est inimaginable. Sans compter ce qu'on dû payer les pays solvables du monde.
Il s'agit maintenant de faire croire que nous sommes dans une économie réelle. Et qu'une semblable crise ne pourra pas recommencer parce que disait si bien le journaliste économique si bien peigné, on a imposé des «balises».
Comme disait Eisntein: C'est une forme de maladie mentale de croire qu'en faisant les mêmes choses, on obtient de résultats différents!
Les mêmes gens (secourés des eaux) sont en train de refaire les mêmes choses et on en verra les résultats prochainement, ce qui sera fascinant.
En plus, ici, comme aux USA, le gouvernement a prêté aux banques à ZÉRO % d'intérêt de l'$ pour prêter aux citoyens et compagnies, ce qu'il aurait tout aussi bien pu faire lui-même.
Pour maintenir la fiction d'une économie «saine». (Il faudra étudier ce mot.)
Et les banques ont prêté l'$ reçu gratis à des taux «normaux».
Et le gouvernement a fait semblant «d'emprunter» l'$ qu'il a «repreté» (donné) l'instant suivant aux banques à des taux standards aux marchés financiers (encore les banques). Vous me suivez!
Une grande partie de la «dette» et du «déficit» du pays vient de là.
Après ça, le fait que la Vierge Marie soit tombée enceinte d'une colombe est tout à fait normal et compréhensible. De même que le bon Saint Joseph, son époux, trouve la chose tout à fait normale. Et il n'est écrit nulle part que la Sainte Vierge ait accouchée - elle est donc restée «pure». (Étudions ce mot!)
Sans compter des centaines de milliards en travaux d'infrastructures pour continuer à faire travailler les compagnies (supposément «privées») et les électeurs.
Dont une partie importante est détournée vers la Mafia.
Sans compter les «subventions» aux compagnies.
Il faut rappeler que nous sommes supposément être dans une économie «capitaliste»de «Marché» (Étudions ces mots.)
Il va de soi que comme toute bonne action est inévitablement punie, les Banques-Bourses-Marché réclament maintenant une réduction du déficit gouvernemental.
Que tous les gouvernements s'agenouillent pour s'autoflageller et se mercredidescendriser le front en promettant des coupures qui feront mal (aux citoyens) (tandis que les financiers ont droit à leur confort moral-intellectuel et fessier.)
Et les journalistes se lamentent en se demandant comment nous en sommes arrivés là et étudient le dernier budget fédéral comme on observe les feuilles de thé sans comprendre qu'il s'agit d'une oeuvre de fiction.
Et madame Monique-Jérôme Forget revenu des Limbes se frappent le front et la poitrine et lèvent les mains vers les cieux.
Et voilà monsieur Bouchard en bonhomme Sept Heure, le front pesant et les yeux sombres venu fouetter les fesses rondes des petites filles.
Et des tas de gens qui avaient «investis», parfois, sans le savoir dans ces produits dynamiques ont perdu des tas de fric. Ou, s'ils n'ont pas perdu leur capital, dans le moins pire des cas, le taux de rendement sur leur investissement a valu ZÉRO. Intérêt ZÉRO.
Certains disent que durant les derniers mois ils ont pu se refaire. Tant mieux pour eux!
Ce qui n'est certainement pas le cas de la CDP (Caisse de Dépôt et Placement du Québec.)
Et on évite soigneusement de poser la QUESTION: où est allé cet $ ?
Ou, plus précisément, dans la poche de qui?
Quoiqu'on en ait une certaine idée étant donné la migration de certains volatiles.
L'opération commerciale-diplomatique-charitable-mafieuse qui a permis de sauver le secteur financier local a coûté plus de 100 milliards (officiel!), ceci s'ajoute à la «dette» du pays qu'il faudrait maintenant «rembourser».
S'il s'agissait uniquement du cas d'un mauvais élève à fouetter. Ce qu'ont dû payer les USA pour les mêmes raisons et les mêmes causes est inimaginable. Sans compter ce qu'on dû payer les pays solvables du monde.
Il s'agit maintenant de faire croire que nous sommes dans une économie réelle. Et qu'une semblable crise ne pourra pas recommencer parce que disait si bien le journaliste économique si bien peigné, on a imposé des «balises».
Comme disait Eisntein: C'est une forme de maladie mentale de croire qu'en faisant les mêmes choses, on obtient de résultats différents!
Les mêmes gens (secourés des eaux) sont en train de refaire les mêmes choses et on en verra les résultats prochainement, ce qui sera fascinant.
En plus, ici, comme aux USA, le gouvernement a prêté aux banques à ZÉRO % d'intérêt de l'$ pour prêter aux citoyens et compagnies, ce qu'il aurait tout aussi bien pu faire lui-même.
Pour maintenir la fiction d'une économie «saine». (Il faudra étudier ce mot.)
Et les banques ont prêté l'$ reçu gratis à des taux «normaux».
Et le gouvernement a fait semblant «d'emprunter» l'$ qu'il a «repreté» (donné) l'instant suivant aux banques à des taux standards aux marchés financiers (encore les banques). Vous me suivez!
Une grande partie de la «dette» et du «déficit» du pays vient de là.
Après ça, le fait que la Vierge Marie soit tombée enceinte d'une colombe est tout à fait normal et compréhensible. De même que le bon Saint Joseph, son époux, trouve la chose tout à fait normale. Et il n'est écrit nulle part que la Sainte Vierge ait accouchée - elle est donc restée «pure». (Étudions ce mot!)
Sans compter des centaines de milliards en travaux d'infrastructures pour continuer à faire travailler les compagnies (supposément «privées») et les électeurs.
Dont une partie importante est détournée vers la Mafia.
Sans compter les «subventions» aux compagnies.
Il faut rappeler que nous sommes supposément être dans une économie «capitaliste»de «Marché» (Étudions ces mots.)
Il va de soi que comme toute bonne action est inévitablement punie, les Banques-Bourses-Marché réclament maintenant une réduction du déficit gouvernemental.
Que tous les gouvernements s'agenouillent pour s'autoflageller et se mercredidescendriser le front en promettant des coupures qui feront mal (aux citoyens) (tandis que les financiers ont droit à leur confort moral-intellectuel et fessier.)
Et les journalistes se lamentent en se demandant comment nous en sommes arrivés là et étudient le dernier budget fédéral comme on observe les feuilles de thé sans comprendre qu'il s'agit d'une oeuvre de fiction.
Et madame Monique-Jérôme Forget revenu des Limbes se frappent le front et la poitrine et lèvent les mains vers les cieux.
Et voilà monsieur Bouchard en bonhomme Sept Heure, le front pesant et les yeux sombres venu fouetter les fesses rondes des petites filles.